Félix Niesche a posé la bonne question dés le début. Ce livre n’est-il pas surtout une hagiographie ? La réponse est dans la question.
En effet dans son livre on reçoit l’information qu’il a mieux compris et plus vite que tous les autres le monde d’ aujourd’hui et ceci sans réelles propositions.
Le seul regret de JML date de 1955 et si on écoute bien on comprend que les carottes étaient cuites à partir de ce moment.
Il n’a pas parlé de l’éviction de Bruno Gollnish au profit de sa fille. Il n’a pas compris la nécessité d’ouvrir son mouvement et son discours vers le social (la belle gauche). C’est un légitimiste.
Se revendiquer comme propriétaire du brevet d’ avoir signalé l’immigration comme le principal cataclysme a été son principal et quasi unique argument politique. Sans doute assez engagé dans ses relations personnelles et courageux en amitié, il n’a pas véhiculé d’engagements fondamentaux que lui aurait permis la vitrine politique qu’il s’était créée.
Répondre à ce message