@ roda
“Maintenant faut définir ce qui est vrai et ce qui est faux !”
C’est l’intelligence du cœur par le biais de l’intuition qui t’aide à le définir, j’ “intuite”...
Le besoin de précision absolue est une condition essentielle au fonctionnement d’UNE FORME de pensée. La plus petite incertitude, voire riquiqui, introduit une variation de type grain de sable bien chiant qui perturbe la logique interne de cette forme de pensée ;
Dont le besoin chiant de maîtrise et de contrôle sur l’extérieur qui l’entoure est absolu.
Cette pensée, bien que pénible pour elle-même, n’a pas le dessein de s’opposer ou d’agacer, mais elle s’énerve facilement. Elle ne sait que chercher, chercher et chercher encore à aller au bout du sens des choses, des trucs et des bidules, comme d’un besoin vitale, dans l’incapacité à douter et à lâcher prise sur quoi que ce soit. A l’inverse elle serait fondamentalement dans l’insécurité ; croit-elle.
Et cette forme de pensée, bien peu reposante pour les autres, sait bien pourtant feignant de l’ignorer, que les sens du corps ont été brimés et conditionnés, au point de devenir hermétiques aux autres qu’ils savaient, jadis, percevoir en tout point pareil semblables et qui ont atterri dans la case cognitive vérrouillée d’un vers où... A partir du porche, tout droit, de côté, sur la droite, la gauche, la gauche la droite, surtout pas au centre, etc.
Cependant, néanmoins, et pourquoi pas toutefois, eux - les sens - savent bien qu’aimer n’a aucun sens !
C’est ainsi qu’ils sont libres de sens et de toutes ces mascarades qui cherchent la sécurité.
Maintenant pour définir ce qui est vrai de ce qui est faux, faut définir... Voyez !
Le pied c’est de s’endormir sans y penser :)
Car cette forme de pensée coupée de l’essence de ses sens détruit tout ce qui l’entoure.