Ce brave parachutiste français, Musulman, assassiné avec deux de ses camarades, le monde officiel n’en a cure, la vermine médiatique du pays légal s’en fout.
Nous pas.
Évidemment c’est un soldat, et un soldat porte le karma de la Mort, donnée et reçue, cependant qu’un enfant tué c’est une abomination, et l’abomination de la désolation lorsque l’impuberté s’exhausse du principe Adjuivant, l’adjuvant de l’Élection et de la Grâce.
Enfants juifs morts dont personne, jamais, ne verra les corps (« aussi virtuels que la monnaie qui enrichit les usuriers » écrira Eva [1]), car l’Élection se marque aussi à cette Inviolabilité des corps, telle l’imputrescibilité des Saintes, corpus incorruptum, qui est l’apanage des êtres d’essence sur-humaine, au dessus de la loi commune de la dissection de la chair, autopsiée lorsqu’une enquête judiciaire pour homicide est en cours.
Eux échapperont à cette servitude du scalpel posthume : aussitôt abattus aussitôt ensevelis ! Pour ce faire, rapatriés en urgence, en l’Israël temporel, Terre consacrée seule à même de recevoir leurs cadavres conjecturaux, inseretur cadaver tuum in sepulchrum Patrum tuorum.
C’est dire si ces gens là sont de France.
(Que dirait la petite Adler si quelqu’un s’était avisé d’écrire, comme elle le fit des mamans palestiniennes, en cet hiver 2009-10, durci au plomb lépreux des Nécromants, que « les mères juives mettent leurs enfants en avant pour jouer les martyres dans la cour des écoles » ? )
Et feu Mohamed Merah ira-t-il engraisser la terre de ses ancêtres de ses restes encore fumant, ou bien sa carcasse défigurée restera-t elle une chance pour notre sous-sol, comme sa nombreuse personne fut une chance du Droit du Sol ?
On ne saurait faire griefs à tous ces gens là de nous épargner leurs charognes, puisque Le Premier lui-même, s’il venait à passer de cujus, ce qu’à Dieu ne plaise, ferait peut-être porter ses ossements à Jérusalem, qui sait, en ce « Champ du potier », lieu de sépulture pour les étrangers valeureux, nommé le « Champ du Sang » puisqu’il fut acheté avec l’argent de Judas.
Ou plus certainement à New-York NPD, ou en Hongrie pourquoi pas ? Partout sauf en notre terre de France, qu’il a reconnu ne pas aimer, cela se voit au fait qu’il n’en parle pas la langue.
Or donc, après avoir laissé quelques jours les spécialistes de l’Union des Juifs Etudiant la France (afin de l’avilir), traîner les Goyims dans la fange de leur racisme congénital, [2] trainez, trainez ! il en restera toujours quelques tâches, à l’aide de l’hypothétique Hydre Nazie à la tête perpétuellement renaissante et à l’haleine toujours nauséabonde, le coupable choisi sera finalement une de nos chances soi-disant adepte de l‘Alcoran, qui « voulait venger les Palestiniens. » (Sic)
(Il est aussi fort probable que les Habiles et les demi-habiles, à la tête des Services de Renseignements soi disant « français », n’aient pas pu mettre la main sur des supplétifs blancs nez-haut-naze-hic, suffisamment dociles et crédibles, cependant que nos modernes pouilleries grouillent de ces charmants personnages, les zissus, et en sus remplis de bonne vieille haine, et qui ne demandent qu‘à servir, servir leur Cause sacrée, homogène à celle de l’Empire, puisque c‘est l‘Empire qui les met-bas, les dorlote, les materne, les arme et bagage. Voyez la Libye. )
Que sait-on dès lors sur ce nouveau Laden-Ben, format hexagonal ?
Que, à l’instar du défunt Ben, c’est un Agent Secret capable de prouesses qui font paraître James Bond un gros balourd, le balourd de la déclaration-Balfour.
En effet, bien qu’étroitement surveillé de notre Police-Très-Efficace et de nos Services de Renseignements-Si-Performants, M.M réussit :
À voyager beaucoup : il se serait ainsi rendu en Afghanistan, puis en Irak et en Jordanie, et même en Syrie, pour y étudier l’art du terrorisme et la manière de terroriser.
Il est même allé dans l’Israël, ce qui prouve qu’il avait obligatoirement, au moins deux passeports, puisqu’on ne saurait poser un pied de poussière syrienne encore poudreux sur le Sol des Hébreux.
En plus de faux-papiers il possédait :
Un arsenal à faire pâlir d’envie l’armurier le mieux achalandé ;
Un savoir-faire et un sang-froid dans l’exécution, dignes des plus grands professionnels
Un art de se grimer qui laisse loin derrière les travestissements douteux de Sherlock Holmes, et même les métamorphoses de Grégoire Samsa. Décrit par les témoins comme un homme de type blanc, caucasien, courtaud et trapu, avec un tatouage sur la pommette et des yeux clairs et froids : lui tout craché comme on voit.
Qu’il bénéficiait, en plus de toutes ses autres possessions, d’une indulgence (« coupable ? ») de la part des institutions judiciaires pour ses frasques illégales nombreuses et avariées.
Une seule conclusion s’impose si Merah des gouts et de couleur, est bel et bien le tueur : « il n’a été en mesure de commettre ces meurtres qu’en raison d’une défaillance extraordinaire de la police et des services de renseignement français. » (Alterinfo)
En ce cas, et en ce cas seulement, et à notre corps défendant, il nous faudrait nous rendre à cette pénible évidence, que les Corps de Défense concernés, seraient dirigés par des Jean-foutres.
Qui pourrait croire une telle chose ?
Félix Niesche