Monsieur Soral,
Par ce courriel je tiens à vous faire part de tout mon soutien et de l’immense respect que je vous porte. Mes yeux se sont ouverts sur l’hideuse mascarade qu’était la société dans laquelle nous vivions au moment de l’affaire Morillo et n’ont cessé de s’effrayer de la dérive liberticide et diabolique que prenait le gouvernement au moment de l’affaire Dieudonné. Je suis un étudiant en droit de 22 ans profondément attaché aux valeurs chrétiennes et c’est pourquoi votre lutte au nom de la justice et de l’honneur de notre pays, face aux hordes du mensonge et de la violence, m’inspire quotidiennement.
Je tenais à vous témoigner toute mon admiration pour le travail de réinformation à haut risque que vous effectuez depuis plus de 10 ans et pour lequel vous avez dû traversez tant d’épreuves. Je n’imagine que trop facilement l’impact que cela à pu avoir sur votre vie familiale et les souffrances qu’ont dû endurer vos proches et vous-même. De la même façon je tenais à adresser mes hommages les plus sincères à tous ces hommes de l’ombre qui vous aident et vous secondent au sein d’Égalité & Réconciliation.
Vous représentez l’espoir d’un renouveau vertueux pour notre pays et vous avez su mettre en place une plateforme journalistique réellement libre, ainsi qu’une maison d’édition s’inscrivant dans le même courant idéologique. Pour tout cela je tenais à vous dire merci.
Ayant grandi au sein des classes sociales les moins aisées j’ai pu constater que toutes les communautés ethniques s’astreignaient à une solidarité systématique lorsqu’un de leurs membres étaient dans la tourmente. Toutes sauf celle des français de sang. L’antiracisme institutionnel ayant bien fait son travail de destruction de la fierté nationale, j’ai longtemps senti que ceux qui comme moi portaient avec orgueil le noble héritage de nos aïeux étaient une minorité impuissante au niveau politique. Contrairement à Dieudonné (que je salue avec un immense respect) qui bénéficie d’un soutien communautaire très fort, il est assez « amusant » d’observer que ceux qui possèdent la haine la plus virulente et la plus redondante à l’égard de vos idées et de votre personne sont ceux avec qui vous partagez les mêmes racines ethniques. Bien que ces traitres raciaux soient fortement représentés au sein des médias dominants, vous avez sûrement pu constater à l’occasion de vos nombreuses interventions que la réalité était tout autre au sein de la majorité silencieuse que représente le peuple français. Ainsi sans rentrer dans le tribalisme que vous avez toujours combattu, je tenais à vous réaffirmer tout ma sympathie car vous représentez par vos analyses, votre combat et votre courage, l’élite intellectuelle de ce que la race blanche a pu produire dans l’histoire.
C’est un honneur pour moi de faire front avec des représentants de toutes les ethnies, dans cette lutte pour restaurer l’honneur de notre terre commune. Bien que vous puissiez constater que je suis très fier mon sang et de mon histoire j’ai toujours considéré que l’amour de son peuple ne devait jamais laisser place à la haine des autres. Je vous remercie d’avoir brisé les barrières communautaires et de nous avoir intégré à cette « armée de Spartacus » luttant pour une même cause, malgré nos différences culturelles.
Je finirais en citant notre Seigneur Jésus Christ qui, sur la montagne, déclara à la foule :
« Heureux les doux : ils auront la terre en partage. Heureux ceux qui pleurent : ils seront consolés. Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice : ils seront rassasiés. »
H. J.