Qui trouble la tranquillité Suisse ?
Le journaliste Dominique Botti, signataire du brûlot qui suit, pratique un journalisme irrespectueux de la vie privée des gens, intrusif et agressif. Il s’est déjà introduit par ruse à l’intérieur du domicile personnel d’Alain Soral à Lausanne.
Lorsqu’il cherche à le contacter, lui ou ses avocats, c’est sur un ton d’inquisiteur. Il les harcèle de ses exigences. En bref, il tente de troubler la tranquillité d’Alain Soral dans le canton de Vaud.
La CICAD, de son côté, dont le secrétaire général est un Français ex-bras droit d’Alain Jakubowicz, ancien président du B’nai B’rith France, multiplie les dénonciations et les pressions sur les autorités judiciaires et municipales vaudoises.
Le but étant de provoquer à la haine et à la violence contre Alain Soral, en l’injuriant et en le diffamant. Exactement comme la LICRA et le CRIF continuent de le faire en France avec la complicité de la presse.
Toutes ces associations qui persécutent les penseurs et les écrivains au nom de leur prétendue lutte contre la haine n’ont pas en Suisse le pouvoir qu’elles ont malheureusement en France.
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« Alain Soral continue ses activités en toute tranquillité »
voici un pot-pourri :
Polémique. Condamné pour antisémitisme en France, le pamphlétaire dit qu’il peut vivre et s’exprimer librement à Lausanne. La justice vaudoise n’y trouve rien à redire.
Alain Bonnet, dit Soral, ne s’en cache plus. Dans une vidéo du 9 mai 2021 publiée sur son site, il déclare publiquement avoir déménagé à Lausanne en octobre 2019 pour échapper à la prison en France. L’idéologue antisémite est un multirécidiviste de l’autre côté de la frontière. Il y a dix jours, il a encore été condamné. Cette fois à une peine de 4 mois de semi-liberté pour avoir imputé aux juifs l’incendie de Notre-Dame de Paris.
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L’historien Marc Knobel suit de près Alain Soral. Il en parle d’ailleurs dans son livre, « Cyberhaine. Propagande et antisémitisme sur internet ». « Il ne peut pas sortir une phrase sans y coller les juifs. C’est une pathologie chez lui. »
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Mais le cas du Franco-Suisse interroge plus que les autres. « La Suisse est un pays voisin et ami. Aujourd’hui, il est condamné à payer des amendes. Mais qu’arrivera-t-il s’il doit un jour purger une peine de prison en France. Le cas Soral doit interpeller notre système judiciaire. »
Les réactions se manifestent aussi en Suisse. Pierre-Antoine Hildbrand, municipal de la Sécurité à Lausanne, dénonce une « récidive ». En été 2020, Alain Soral avait multiplié les provocations sur les réseaux sociaux, utilisant Lausanne comme décor de fond.
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Pierre-Antoine Hildbrand dénoncera à nouveau le cas à la justice. La Cicad envisage aussi de le faire. Le conseiller communal PS lausannois Louis Dana ajoute qu’une enquête pénale est nécessaire pour déterminer la légalité de ces propos sur les réseaux. « On ne peut pas tout dire en Suisse. Les discours racistes sont condamnés par notre Code pénal, comme en France. Soral ne peut pas exprimer ses idées extrêmes chez nous en toute impunité. » Contacté, Alain Soral n’a pas répondu à nos sollicitations.
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