@ toto
Bravo toto ! tu viens de découvrir que nous vivons dans une société mercantile ou la majorité des individus ne sont plus autonomes, et sont donc contraints d’acheter ce qu’ils ne peuvent ou ne savent plus fabriquer par eux mêmes !
Je suis le premier à considérer la légalisation du mercantilisme qui consiste à enrichir un capital monétaire sans limites sur une planéte dont les ressources sont limités, et à mettre une valeur marchande sur l’ensemble de nos moyens de subsistance, comme totalement immorale vis à vis de l’environnement que nous allons léguer aux générations futures, et liberticide vis à vis de notre propre perte d’autonomie individuelle et collective causé par la propriété marchande et le salariat !
Mais saches que refuser bêtement toute pratique mercantile (qui prend racine dans l’avidité démeusuré de certains hommes), ne supprimera pas cette avidité aujourd’hui institutionnalisé et légalisé dans l’économie capitaliste.
Et en attendant que l’homme ne soit plus corrompu par l’avidité (pêcheur), ou que le mercantilisme et l’usure soient à nouveau rendu illégale par l’eglise catholique, il faut bien résister d’une manière ou d’une autre, notamment en utlisant et en détournant les armes de nos ennemis contre eux, ce que les membres d’E&R ont justement décidés de faire !
Il est tout à fait légitime de s’attaquer à l’avidité institutionnalisé (mercantilsme), mais tu ne peux pas repprocher à des français qui sont tout comme toi et moi prisonniers d’une société mercantile ou tout leurs moyens de subsistance sont propriété marchande, d’arracher un peu de pouvoir et donc de liberté à leurs maîtres, qui plus est en tentant de ne pas vendre de la merde à leurs camarades de prison.
Garde également en tête, que ces individus qui ont décidés de vendre des produits de qualités fabriqués en France pour des raisons environnementales et sociales, pourraient tout autant les donner généreusement et gratuitement s’ils n’étaient pas eux mêmes esclaves de cette société ou régne la propriété marchande, qu’ils n’ont ni voulu, ni mis en place.
Si tu veux t’en prendre aux véritables responsables de cette légalisation du mercantilsme dont nous sommes tous les esclaves, je t’invite à rendre visite à l’elite prostestante en les interrogeants sur la totale contradiction des pères fondateurs du protestantisme, qui finalement légalisèrent les travers qu’ils repprochaient à une infime minorité de prélats catholiques corrompus par l’avidité.