Egalité et Réconciliation
https://www.egaliteetreconciliation.fr/
 

La démocratie contre les intérêts du peuple

L’autorité spirituelle étant supérieure au pouvoir temporel, de même que la politique n’est que l’application de principes et d’idées religieuses, la bataille préliminaire à mener réside dans le combat entre ces mêmes idées définissant certains clivages et révélant des conceptions du monde opposées : Dieu/Lucifer, Eglise/contre-Eglise, Monarchie/République, Révolution/contre-Révolution etc… La première chose à faire revient à démystifier les fondements et principes de la « Synagogue de Satan » -selon la célèbre expression de l’Apocalypse de Jean-, puisqu’ il nous faut d’abord bien connaître l’ennemi pour ensuite le démasquer. Parmi les faux principes de l’idéologie maçonnique se niche ce système basé sur la volonté de l’homme appelé « démocratie ».

Si la République est le régime politique durable permettant à la secte maçonnique de dominer les nations, la démocratie est son associé. Les deux vont de pair et sont pour ainsi dire devenues consubstantielles. Pire encore, alors que la République est la façade visible de la judéo-maçonnerie, la démocratie est son instrument de domination. Pour régner et nous diviser. Par le vote et les partis. Elle n’est donc pas la solution mais un des principaux problèmes contrairement à ce que croit la majorité silencieuse asservie.

Car la démocratie, quelque soit sa forme (il n’y a pas de bonne ou de mauvaise démocratie), conduit irrémédiablement à la ploutocratie via la propagande étatique et la fabrication du consentement. Les masses sont dès lors manipulées et conditionnées comme l’expliquait Edward Bernays avec justesse : « La manipulation consciente, intelligente, des opinions et des habitudes organisées des masses joue un rôle important dans une société démocratique. Ceux qui manipulent ce mécanisme social imperceptible forment un gouvernement invisible qui dirige véritablement le pays. [...] Et si, selon la formule consacrée, tel candidat à la présidentielle a été désigné pour répondre à une immense attente populaire, nul n’ignore qu’en réalité son nom a été choisi par une dizaine de messieurs réunis en petit comité. » Ce sont des puissances d’argent qui tiennent les mass médias, imposent la couleur de l’information pour finalement fabriquer l’opinion, la façon de penser, de voter, de consommer etc… Partant de ce simple constat, démocratie = ploutocratie = règne de Mammon et plus concrètement : totalitarisme du cartel bancaire.

Cette démocratie, marchepied de la ploutocratie, conduit de facto au culte de Mammon. Ainsi, l’électeur moyen sera régulièrement trahi par l’homme politique qu’il a élu. Car on ne crache pas sur la main qui nous donne à manger. Nos dirigeants politiques étant désormais aux ordres des banques, ils ne peuvent faire à la fois les intérêts du Capital et du Travail. Et dans le cas de la République judéo-maçonnique, ils ne doivent point déroger aux plans de la Synagogue de Satan. L’Histoire a prouvé à maintes reprises qu’on ne s’oppose pas de manière frontale à la marche avant des cartels (Mossadegh, Torrijos, Lumumba, Sankara, Kadhafi…) et, par extension, à l’avancée du Nouvel Ordre Mondial. Alors les marionnettes de la politique -assujetties aux banksters de la Fed- se plient aux exigences de leurs mentors suivant la devise « ordo ab chaos ».

D’après « Le Larousse », la démocratie est un « système politique, une forme de gouvernement dans lequel la souveraineté émane du peuple. » Son étymologie grecque « demos » (peuple) « kratos » (pouvoir) confirme qu’il est bien question du pouvoir du peuple, lequel s’avère être celui du nombre [1]. Nous pourrions donc croire que le peuple est décideur. Sauf que lorsqu’un gouvernement le consulte en appelant au référendum comme ce fut le cas en 2005 lors de la Constitution Européenne rejetée à 55% par l’électorat français, nos oligarques firent passer en douce le Traité de Lisbonne, histoire de nous signifier une énième fois comment il fallait voter… Il y a près d’un siècle, le journaliste Louis Latzarus déclarait : « En démocratie, la politique est l’art de faire croire au peuple qu’il gouverne. » Depuis, tous systèmes politiques confondus et à quelques rares exceptions près, les faits ne cessent de lui donner raison.

Les gouvernements étant sommés d’appliquer les directives de l’Union Européenne, ce sont des membres non élus, des technocrates cooptés par des forces occultes (exemple : Van Rompuy testé par le Bilderberg) qui dirigent indirectement les destinées de notre pays. Et l’on pourrait remonter encore plus haut dans la hiérarchie mondialiste tant ces hauts fonctionnaires ne sont que les hommes de paille interchangeables de l’oligarchie financière khazar.

Rappelons aussi que le règne de Satan sur Terre s’appuie sur l’Homme ; comprendre « la volonté de l’homme se substituant à celle de Dieu ». Il s’agit donc de la démocratie telle qu’on la connaît à notre époque. Celle-ci se base sur la déclaration des Droits de l’Homme du 26 août 1789. Or les Droits de l’Homme, pur produit du catéchisme maçonnique des Lumières, sont la négation des droits divins. Ils s’opposent donc à la volonté de Dieu qui, elle seule, doit primer en vue d’un retour à la stabilité de notre société. Mais ici, nous sommes dans celle de l’homme se croyant l’égal ou le supérieur au Très-Haut. Il s’agit donc encore de ce terrible défaut d’orgueil ayant contaminé l’ange déchu et qui est généralement à l’origine de la plupart de nos maux. Vanité des vanités, tout est vanité…

Autre point important : un peuple ne se gouverne pas lui-même. Il ne se gouvernera jamais de manière autonome. La pyramide mondialiste nous rappelle que nombreux sont les gouvernés et très peu les gouvernants, qu’une élite détiendra toujours le pouvoir temporel, mais qu’elle sera toujours soumise à une autorité spirituelle supérieure. Inversez cette pyramide et cela produira l’effet d’un sablier.

L’auto-gouvernement du peuple est un mythe sorti occasionnellement par certains sophistes à des fins commerciales. Cela ne mange pas de pain et prend le plus grand nombre dans le sens du poil. Les démagogues auront beau faire l’éloge de la démocratie, ils ne pourront avoir raison de l’amusant Roger Dommergue Polacco de Menasce qui affirmait : « Les gens sont zombifiés. Ils mourront en criant : Vive la démocratie ! Il n’y a pas d’espoir. » Pas d’espoir venant de l’humain en l’occurrence. Car l’espoir ne peut venir que d’ailleurs ; de ce qui dépasse le commun des mortels. Dès lors, si le vote est perçu comme un outil de résistance par certains, il est pour nos élites un instrument de domination. Parmi ceux qui l’ont compris, beaucoup basculeront dans le désespoir pendant que d’autres s’en remettront à la prière.

Cet auto-gouvernement est à l’évidence chimérique. Jean-Jacques Rousseau disait d’ailleurs : « S’il existait un peuple de Dieux, il se gouvernerait démocratiquement. » Or la créature n’est point le Créateur. Et c’est encore le péché d’orgueil qui fit que l’humain voulut, suite à l’ignoble complot de 1789, s’accorder d’innombrables droits -la liberté en guise de paravent- tout en délaissant ses devoirs. C’est précisément l’inverse qu’il aurait fallu. Par simple humilité et pur esprit de chrétienté.

1789 avait vu le peuple s’inviter à se libérer des commandements divins. La secte maçonnique avait travaillé sur de longues années à cet accomplissement dont nous subissons aujourd’hui encore les conséquences. Quatre ans plus loin avec l’épilogue du régicide de Louis XVI, on vit le résultat de cette « libération ». Plus tard encore, suite à la guerre civile espagnole de 1936 appuyée par le Komintern soviétique, le Pape Pie XI écrira avec justesse dans son encyclique « Divini Redemptoris » : « Lorsque du cœur des hommes l’idée même de Dieu s’efface, leurs passions débridées les poussent à la barbarie la plus sauvage. » L’Histoire, la véritable, officieuse et honteuse, n’a cessé de confirmer cet implacable constat. Le comble étant de voir toutes ces guerres et révolutions éclater un peu partout dans le monde sous l’étendard prétendument élogieux de la « démocratie ».

L’homme est un loup pour l’homme dans nos sociétés modernes démocratiques. La volonté humaine ne peut donc se permettre de se couper de celle de Dieu. Car l’essence même d’une société est toujours religieuse et la religion d’Etat se substituant à la religion de l’Ancien Régime n’est autre que la laïcité. Le Juif franc-maçon Vincent Peillon l’avoua récemment : « Dans le second Empire, ça germait dans les milieux républicains, beaucoup dans les milieux francs-maçons ; il s’est constitué une alliance religieuse universelle dans laquelle on retrouvait à la fois des Catholiques libéraux, des Protestants libéraux, des Juifs libéraux puisque toutes les dogmatismes sont en crise, mais en même temps des athées, des matérialistes etc… portant un projet de religion universelle, de religion éclairée. Et donc ceux qui vont construire l’école de la République, y jouer un rôle déterminant, c’est le cas de Ferdinand Buisson, sont des gens qui sont venus à la République d’abord en étant des croyants et deuxièmement avec un projet spirituel, c’est-à-dire que la République pour s’établir a besoin de former sa propre religion qu’ils vont appeler d’ailleurs et c’est un paradoxe incroyable : la laïcité. » Un aveu lourd de signification qui devrait interpeller le plus grand nombre, troublera les indécis comme les athées convaincus et confortera les Chrétiens dans leur combat éternel contre la judéo-maçonnerie, ce gouvernement invisible dont les ravages spirituels ne sont plus à démontrer.

Johan Livernette le 5 août 2012

[1] Lire aussi sur le même sujet : « La démocratie contre le peuple » de Philippe Ploncard d’Assac

 
 






Alerter

27 Commentaires

AVERTISSEMENT !

Eu égard au climat délétère actuel, nous ne validerons plus aucun commentaire ne respectant pas de manière stricte la charte E&R :

- Aucun message à caractère raciste ou contrevenant à la loi
- Aucun appel à la violence ou à la haine, ni d'insultes
- Commentaire rédigé en bon français et sans fautes d'orthographe

Quoi qu'il advienne, les modérateurs n'auront en aucune manière à justifier leurs décisions.

Tous les commentaires appartiennent à leurs auteurs respectifs et ne sauraient engager la responsabilité de l'association Egalité & Réconciliation ou ses représentants.

Suivre les commentaires sur cet article

Afficher les commentaires précédents
  • #206895
    Le 21 août 2012 à 02:32 par Cassandre
    La démocratie contre les intérêts du peuple

    Bien que cet article soit fort intéressant et pertinent, je voudrais faire remarquer que la démocratie est devenue une affaire perverse à partir du moment où elle fut exploitée par les libéraux affairistes. J’habite en Suisse pays où la démocratie a une longue tradition, dans les cantons ruraux de Suisse centrale elle fut longtemps (et encore maintenant dans deux cantons) pratiquée sur la place publique du village où les décisions se prenaient à main levée après un débat public. Ces assemblées démoratiques s’appellent Landsgemeinde qui veut dire communauté du pays, dans le sens de village. A petite échelle la démocratie donne un sentiment de pouvoir réel sur son environnment social et économique. Mais dans notre pays, la démocratie se perd aussi et devient de plus en plus une façade, mais pas encore dans tous les domaines. En Suisse, les citoyens sont appelés à des votations sur des sujets divers quatre fois par année. Mais les lois votées sont parfois annulées à cause de l’incompatibilité avec le droit ou les pratiques européennes, comme par exemple en 1980 le peuple avait voté contre l’heure d’été et une année après le gouvernement nous l’a quand même imposée ! D’autres fois les décrets d’application tardent à se mettre en place et il faut mener de nouvelles batailles, et les lobbys du monde économique sont très nombreux.
    Dans un pays qui n’a jamais connu de gouvernement monarchique, ça n’aurait pas beaucoup de sens de renoncer à la démocratie et les gens tiennent à gérer eux même leur commune. Il est vrai que les concepts de droits de l’homme et de laïcité sont venus chez nous (disons dans la Suisse primitive) après que cette tradition démocratique se soit développée. La diète qui est l’ancêtre de notre parlement a pris la décision au 15ème siècle sous l’influence de Nicols de Flue ( canonisé en 1947) de ne plus entreprendre de guerre offensive, seulement défensive ; ce qui fut tenu car à l’époque le vocabulaire n’était pas encore perverti comme maintenant où l’on fait des guerres d’expansion en les dénommant humanitaires ou de prévention etc...
    Et comme le fait remarquer J. Livernette la volonté humaine ne peut se couper de celle de Dieu, si la démocratie est en déclin chez nous c’est lié au développement de l’athéisme et du mode de vie matérialiste qui lui est lié. Donc je dirai pour mon pays que sans retour au spirituel, il n’y a pas de démocratie possible. Petite nuance donc !

     

    Répondre à ce message

    • #207119
      Le Août 2012 à 13:37 par Ultima Ratio
      La démocratie contre les intérêts du peuple

      En effet rien de ce qui est de droit humain ne saurait déroger à ce qui est de droit naturel ou de droit divin. Or selon l’ordre naturel institué par la divine providence, les réalités inférieures sont subordonnées à l’homme, afin qu’il les utilise pour subvenir à ses besoins. Il en résulte que le partage des biens et leur appropriation selon le droit humain ne suppriment pas la nécessité pour les hommes d’user de ces biens en vue des besoins de tous. Dès lors, les biens que certains possèdent en surabondance sont destinés, par le doit naturel, à secourir les pauvres. C’est pourquoi saint Ambroise écrit : "Le pain que tu gardes appartient à ceux qui ont faim, les vêtements que tu caches appartiennent à ceux qui sont nus et l’argent que tu enfouis est le rachat et la délivrance des malheureux." Or le nombre de ceux qui sont dans le besoin est si grand qu’on ne peut pas les secourir tous avec les mêmes ressources, mais chacun a la libre disposition de ses biens pour secourir les malheureux. ."
      Saint-Thomas

      Explication : Affirmer que rien de ce qui est de droit humain ne saurait déroger à ce qui est de droit naturel ou de droit divin, c’est souligner que le droit humain est subordonné au droit divin et au droit naturel. Le Droit Naturel, droit inhérent à la nature humaine, est donc supérieur au droit humain : le droit humain n’est pas absolu à l’inverse du Droit Naturel. Ainsi, les lois que les hommes instaurent doivent être conformes au droit naturel. L’essence de l’Homme a été crée par Dieu, le Droit Naturel est subordonné au Droit Divin. Cependant, Dieu donne la liberté aux hommes car ils les aiment profondément : le Droit Naturel correspond donc à un ensemble de droits obligatoires, Dieu laisse la liberté aux hommes de se gouverner : Droit Positif.

       
  • #207071
    Le 21 août 2012 à 12:13 par abeilles
    La démocratie contre les intérêts du peuple

    très bon article ,qui me conforte dans mes idées ( l’Homme est instruit ,l’Animal est intelligent) qui cherche les personnes enfuient ,dû aux tremblements de terre ,où avalanches ,qui trouve le cancer de la prostate,qui à des perceptions des catastrophes ,même maladie ,où mort avant ,
    Vous allez me dire ,que ce n’est pas l’intelligence ,OUI Mais l’Homme depuis des siècles nous procure des guerres ,des famines ,des agressions illégale ,illégitime ,des tortures de ses semblables inimaginables ,il crée ,des Armes destructive ,détruit la planète ,a pollué,les Mers ,Terre ,,vide complètement son entrailles ,que la Louisiane s’enfonce va disparaître ,l’Homme consomme avec une frénésie sans limite ,jette son repu ,gaspille sans vergogne ,des Sacrilèges ,tous cela en regardant mourir ses semblables avec atrocité ,de famine où agressions ,car aujourd’hui ce n’est plus armée contre armée ,c’est les populations que l’on massacrent ,des génocides que l’on valide pour notre petite vie tranquille ,l’intelligence est où ,dans l’évolution décadente ,dépravée ,sans âme ,que du superficiel ,éphémère

     

    Répondre à ce message

  • #207112
    Le 21 août 2012 à 13:25 par spirit
    La démocratie contre les intérêts du peuple

    La démocratie,en france ou aux USA,est la même qui régissait l’empire romain....celui ci s’est officièlement appellé jusqu’au Veme siècle:Senatus Populusque Romanus (SPQR)...c’est à dire :"le sénat et le peuple romain"...une démocratie de façade dirigé par une oligarchie châpeauté par un "princeps" ;le Cesar romain !
    Le Sénat n’étant qu’une chambre d’enregistrement chargé,entre autre,de légitimer tout les coups d’états !

     

    Répondre à ce message

  • #207208
    Le 21 août 2012 à 15:56 par cleos
    La démocratie contre les intérêts du peuple

    le problème, c’est que ce que cet homme appelle démocratie n’en est pas une...
    Nous ne sommes pas en démocratie, je vous conseille les travaux d’Étienne Chouard sur le sujet.

     

    Répondre à ce message

  • #207274
    Le 21 août 2012 à 17:38 par lumpenproletariat
    La démocratie contre les intérêts du peuple

    Je saute sur l’occasion de cet article pour poser une question aux personnes de sensibilité Royaliste :
    Qui est en droit selon vous d’exercer cette vocation ?

     

    Répondre à ce message

  • #207561
    Le 22 août 2012 à 00:23 par france
    La démocratie contre les intérêts du peuple

    Joli constat
    Et maintenant sur un plan pratique qu’est ce qu’on fait ?

     

    Répondre à ce message

    • #207718
      Le Août 2012 à 10:30 par elmi
      La démocratie contre les intérêts du peuple

      bravo, vous avez passez le cap de la pleurnicherie :)

      cherchez ce que VOUS avez envie de faire, et sur votre chemin vous trouverez bien quelques compagnons d’aventure :)

       
  • #208164
    Le 22 août 2012 à 21:46 par claude
    La démocratie contre les intérêts du peuple

    pas du tout d’accord !!!
    l’Homme peut tout à fait être l’artisan de règles de vie commune saines et équitables. contrats ou pactes sociaux développés à travers les mœurs, lois, institutions etc... et une des façons de gérer le "vivre ensemble" se nomme : la politique !
    et comment se met on d’accord, tous ensembles ? autour de la table ! la bonne vieille méthode quoi !...
    pour la politique, pareil : tout le monde dans l’hémicycle, on en parle, on vote, et y’ a pas plus démocratique !
    utopie me rétorquerez vous !!!
    point mes bons amis, car figurez vous que l’histoire à déjà permis que cela fut !
    je vous présente (certes simplifiée) la démocratie Athénienne !
    qui permis aux riches de... continuer de commercer ; et aux pauvres d’obtenir le pouvoir de décision politique !!!
    en clair, les pauvres ont gouvernés pendant tout ce temps, les riches ; jamais !
    pas rien, non ?! de plus ce système a perduré 200 piges !!!
    alors non ! la démocratie n’a pas été pensé contre les intérêts du peuple, et il ne faut pas confondre un outils de domination avec un outils de gestion, même si on nous a appris à nommer le premier : démocratie...

     

    Répondre à ce message

  • #210936
    Le 27 août 2012 à 13:57 par Loup Espiègle
    La démocratie contre les intérêts du peuple

    La France n’a jamais été en "démocratie" mais plutôt en "république" (pour le cas où vous ne l’avez pas remarqué), c’est un vulgaire abus de langage.

    "Dieu" n’est qu’un outil d’ingénierie sociale. Mais chacun est libre de croire le contraire !...

    Ce n’est pas parce que le peuple s’est éloigné de la religion qu’on est dans la merde. C’est à cause de la "distribution disparate de l’intelligence" au sein de la population : les plus malins contrôlent les autres.

     

    Répondre à ce message

  • #212309
    Le 29 août 2012 à 20:09 par n
    La démocratie contre les intérêts du peuple

    ploutocratie :

    voire la façon dont le maire de new york le milliardaire bloomberg a littéralement acheté son élection a coups de campagnes électorales de plusieurs dizaines de millions de dollars a 2 reprises, et a fait suprimer la loi de l’état de new york interdisant un 3 ème mandat après un référendum précédé d’une campagne de pub financée par ses soins...

     

    Répondre à ce message

  • #212783
    Le 30 août 2012 à 18:56 par Glen_74
    La démocratie contre les intérêts du peuple

    Dieu est évidemment au dessus des lois humaines, et Johan Livernette nous le rappelle d’une belle manière. Cependant ce n’est certainement pas la monarchie qui est la solution au problème ni la féodalité, qui est par essence une forme de despotisme. Des monarchies existaient avant l’avènement du Christianisme en Europe, il s’agit d’un système basé sur des privilèges transmis de père en fils, exactement comme la grande bourgeoisie actuelle, le monde actuel est gouverné par des alliances de dynasties bancaires et financières.
    D’ailleurs on a bien vu comment les monarques pactisent avec les banquiers dans de nombreux pays européens comme le royaume uni, l’œil du cyclone du système de l’Antéchrist, ou encore les Pays-Bas où un prince de Hollande est le cofondateur des Bilderberg...
    Certaines personnes pensent que le pouvoir des Rois Bourbons est accordé religieusement par Dieu. Il n’y a aucune preuve et aucune révélation d’essence religieuse là dedans. Cela me semble plus une auto proclamation qu’autre chose...
    Quand on sait que Louis XVIII est un banquier et donc complice de Mamon, on voit tout de suite qu’il faut passer à autre chose pour contribuer à la renaissance du pouvoir spirituel. Ce n’est quand même pas les aristocrates qui vont revivifier le pouvoir religieux....

     

    Répondre à ce message

Afficher les commentaires précédents