Quelques chiffres parlants, de l’enthousiasme dépassant la raison et encore plus d’inquiétudes doivent traverser l’esprit de ceux qui, lucides au possible, s’interrogent sur l’avenir de notre pays ravagé de l’intérieur par les blasphèmes de la judéo-maçonnerie et de ses alliés objectifs.
La démoncratie fait décidément bien les choses, surtout lorsqu’elle s’en donne les moyens. Suffrage universel oblige, le candidat le plus anti-français et forcément le moins chrétien n’est jamais bien loin de décrocher la palme d’or. En guise de festival, la population extra-européenne fit la java comme jamais, sous les projecteurs du PAF et le regard approbateur de la boboïtude parisienne.
Cette démoncratie est drôlement balaise, il faut l’avouer, pour parvenir à faire idolâtrer un démagogue aussi médiocre, n’ayant concrètement pas le pouvoir et que le peuple n’a majoritairement pas choisi ! En effet, en dénombrant les votes blancs, nuls et l’abstention, le pourcentage descend nettement en dessous des 50%. Enfin bref, allons pour Hollande, ce substitut de dernière minute du détraqué sexuel DSK.
Le vote musulman décisif
Le dimanche 6 mai, 20% des inscrits se sont probablement interrogés ainsi : à quoi bon se déplacer si c’est pour élire une marionnette aux ordres du cartel bancaire ? Tel devrait être la question à se poser lors de chaque élection présidentielle française. Le suffrage universel déclinant en mensonge universel, idem pour la démocratie en ploutocratie, la loi du nombre rejoignant le pouvoir de l’argent (ploutos : richesse, kratos : pouvoir).
Avouons que la Maison Rothschild a fait fort en plaçant à la tête de l’Hexagone un président aussi nul. Une « sacrée » performance qui en dit long sur la lobotomie du peuple de France. Une simple conclusion en découle : les mass médias font élire le candidat qu’ils veulent, font monter ou descendre qui ils veulent, selon ce que les banques veulent, et ça ne date pas d’hier ! En France tout du moins.
Nous ne nous attarderons pas ici sur cet non-événement. Juste préciser que l’écart au second tour ne fut pas bien grand. 51,63% contre 48,37%, c’est une victoire aux points étriquée et peu glorieuse quand on boxe face à un cadavre. Un écart aussi infime que la différence de fond entre ces deux candidats appartenant à la secte du Grand Orient ; une affiliation qui n’est pas un simple détail de forme mais bel et bien le coeur du problème.
Tel un symbole (peu chrétien), l’élection du candidat Hollande fut fêtée sur la place de la Bastille. Elle est surtout due au rejet -et même pire au dégoût- de la population pour Nicolas Sarkozy. Notamment la communauté musulmane qui, probablement irritée par les sorties au Kärcher du sioniste de l’UMP, a voté à 93% pour l’élu 2012. Un chiffre des plus significatifs et même décisif tout comme celui -assez logique- de moins de 4% qui correspond aux Musulmans ayant voté pour Marine Le Pen. Cette dernière s’étant donnée, il est vrai, beaucoup de mal pour leur déplaire.
Le moindre mal est un péché
Non franchement, plus personne ne voulait de Sarkozy cinq ans de plus ; pas même le centre de Bayrou (9%) ni l’extrême-droite nationale de Le Pen (18%) ni certains membres de son parti qu’il s’est amusé à mépriser au cours de son mandat. Que ceux qui s’inquiètent pour lui se rassurent, Sarkozy se verra probablement attribuer une place confortable dans une institution mondialiste, à l’instar d’un DSK au FMI suite à l’élection 2007.
Sur le plan communautaire, si aucun candidat ne défendait les intérêts religieux, il y eut bien un vote catholique et un vote musulman. Les uns ayant opté par défaut pour l’UMP, les autres par rejet en faveur du PS. Ces deux votes bien distincts menaient concrètement dans l’entonnoir Israël. C’est dire la détresse électorale du peuple goy de France et la force du système démocratique.
Car opter pour le moindre mal, pour le « moins pire » entend-on trop souvent, c’est toujours choisir un politicien blasphémateur. C’est aussi cautionner ce système démocratique des plus pervers. Ce fameux « moindre mal » est donc un péché. Tout croyant qui se respecte devrait en prendre conscience.
Le plus dur est pour bientôt
L’euphorie retombant tel un soufflet, Hollande et ses compères vont devoir faire face à la dure réalité de notre époque. Désormais, le Parti Socialiste ne pourra plus se cacher derrière une sorte de fausse opposition puisque les législatives lui donneront prochainement les pleins pouvoirs, tant sur le plan national que régional et local.
Le nouveau président de République française devra gérer la crise aggravée qui s’annonce. Aussi, comment son gouvernement interagira face aux plans d’austérité imposés par la tenaille FMI-UE-BCE et certainement pire encore, si la banqueroute financière venait jusqu’en France ? La guerre civile ne serait alors plus une vue fantaisiste de l’esprit. Un cadeau empoisonné que ce fauteuil de président ? Assurément pour un Hollande qui ne tardera pas à décevoir les espoirs d’une foule toujours plus naïve. Ceci n’est pas un ressenti ni une quelconque supposition, c’est une certitude. Car on ne crache pas sur la main de celui qui nous donne à manger. Et comme le pantin du Grand Orient doit tout à la secte comme à ceux qui l’ont financé, il trahira sans l’ombre d’un doute les promesses démagogiques avancées dans sa soixantaine de propositions (hormis celles réalisables qui s’avèrent anti-catholiques). C’était écrit et planifié, cela se produira comme prévu par ses mentors occultes de la finance internationale.