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Difficile de discuter équitablement avec un anti-Trump de base dans la manifestation parisienne du samedi 19 novembre 2016. Les arguments avancés par le « démocrate » énervé face à notre reporter ressemblent étrangement à ceux préparés par l’oligarchie et ses relais. Quand la pseudo-résistance fait le sale boulot pour la vraie dominance...
La discussion houleuse après l’agression commence à 3’16 :
« Vous êtes des conspis de merde ! [...] Je te vire parce que t’es pro-Soral ! [...] Tu prônes la haine tu prônes la haine ! [...] Les crânes rasés de chez vous, les néonazis, les néonazis ! Moi aussi chuis pacifique mais pas avec vous ! J’peux pas faire la paix avec les néonazis ! »
Ou les ravages de l’intoxication médiatico-politique en direct...
Quelques minutes avant cet échange avec un partisan inconscient de l’oligarchie, Vincent Lapierre se faisait insulter et refouler brutalement de la manifestation des « démocrates » :
La « démocratie », avec de tels défenseurs, a du souci à se faire. Chez E&R, on attend toujours de croiser le fer conceptuel avec le camp d’en face, enfin, de ceux qui se considèrent comme nos adversaires, ou nos ennemis. Élevés au biberon de la détestation de toute pensée différente, ils défendent tout naturellement, avec le coeur et la naïveté qui les caractérisent, la pensée unique venue d’en haut.
Les amateurs de mystère n’auront pas raté l’étonnante apparition de Félix Marquardt derrière Vincent Lapierre (de 7’44 à 7’47 sur la vidéo longue) : la séquence dure trois secondes, mais on reconnaît bien l’activiste américano-sioniste.
Qui a eu l’honneur d’un portrait de Faits & Documents diffusé sur E&R :
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E&R | Octobre 2013 |70 InternationalMédiasPolitique Qui est Félix Marquardt ?
Pour E&R par la revue Faits & Documents
« Il court, Félix Marquardt. Il faut le voir évoluer au Forum économique de Davos, son pèlerinage annuel. Il passe de cocktails en soirées, virevolte de puissants en puissants, sert des mains à la pelle. Quand il repère une nouvelle cible, un patron, un influent ou un politique qu’il ne connaît pas encore, il l’approche, tout sourire, dégaine sa carte de visite, rameute le photographe et les deux (...)
