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Transgenrisme, transhumanisme, néolibéralisme : Soros, BlackRock et Gilead en embuscade

En s’attaquant de front à ce tabou idéologique, les auteurs de cet ouvrage à succès, Dora Moutot et Marguerite Stern, deux anciennes égéries du féminisme ostracisées après avoir refusé de nier les fondements scientifiques de l’existence des sexes, sont aujourd’hui la cible de menaces de mort. Cela leur a d’ailleurs valu un soutien de poids en la personne de J.K. Rowling, l’auteur d’Harry Potter. Quel est leur parcours et quels sont les dangers de ce « projet » dénoncés par ces deux féministes ? Elles répondent aux questions d’Epoch Times.

 

 

Comment vous êtes-vous retrouvées nez à nez avec l’idéologie transgenre durant votre parcours de féministes et quelles ont été les motivations qui vous ont poussées à écrire cet ouvrage en collaboration ?

Dora Moutot : Marguerite et moi-même évoluions dans les milieux féministes sans nous connaitre mutuellement. Pour ma part, après avoir quitté le monde du journalisme, j’ai créé un compte Instagram à succès promouvant une sexualité épanouie des femmes hétérosexuelles, que j’avais appelé @tasjoui. En 2019, des militants queers et transgenristes sont venus me reprocher de ne pas être suffisamment « inclusive » et m’ont enjoint de parler de « pénis de femme ».

Ne connaissant pas véritablement l’idéologie transgenre, j’ai initialement trouvé cette demande farfelue, mais drôle. J’ai refusé, revendiquant un fait simple : il existe deux sexes et être une femme, c’est biologique. À partir de là, mon monde s’est écroulé. Accusée d’être transphobe, j’ai subi un harcèlement lunaire de la part des fous furieux du transgenrisme, qui ont exigé des marques pour lesquelles je produisais du contenu à travers ce compte Instagram de résilier leur contrats partenaires avec moi. Je les ai perdus un à un. C’est par le biais de ces tribulations que j’ai rencontré l’idéologie transgenre.

Marguerite Stern : (...) Dora et moi-même étions les seules féministes bénéficiant d’une certaine exposition dans les médias et sur les réseaux sociaux à avoir osé prendre la parole contre l’idéologie transgenre. Harcelées, menacées, insultées quotidiennement, nous avons fini par nous rencontrer puis nous rapprocher l’une de l’autre, car nous subissions toutes les deux le même traitement.

(...) Et depuis sa publication, Transmania est effectivement la cible de violentes attaques. Notre campagne d’affichage a été censurée par l’afficheur privé JC Decaux, SOS homophobie a porté plainte contre nous et nous avons reçu des menaces de mort à plusieurs reprises.

Vous dénoncez une « esthétique de la violence » faisant partie intégrante du mouvement transgenre et allez même jusqu’à dénoncer des « pratiques fascistes ». Quelles sont les causes de cette violence ?

Marguerite Stern : La violence fait partie intégrante du mouvement transgenriste. Structurellement. On le voit par exemple aux mantras que ses activistes répètent inlassablement : « Kill the TERF » (acronyme de Trans-Exclusionary Radical Feminist : féministe radicale qui exclut les personnes trans), « Une TERF, une balle », « Sauve un trans, tue une TERF »... Cette esthétique de la violence s’observe également au travers de l’apologie de la défense armée. (...)

Aborder les causes à l’origine de cette violence nous conduit à un sujet tabou : la forte occurrence de comorbidités psychiatriques au sein de la population trans (troubles du spectre autistique, troubles de la personnalité borderline, dépression, anxiété...), qui se greffe à des logiques d’embrigadement sectaires.

Enfants et jeunes adultes sont amenés à croire que leurs parents sont transphobes s’ils s’opposent à leur transition. S’isolant de leurs familles, ils rejoignent ensuite une communauté trans formant une sorte de bulle repliée sur elle-même et tournant en boucle toute la journée sur la haine d’un ennemi commun : les TERFs. La désignation d’un ennemi commun est un phénomène bien connu en psychologie, qui permet de créer une psychose collective. Par exemple, Dora et moi-même sommes accusées d’être responsables du « génocide trans » et d’avoir du sang sur les mains. Or, que fait-on lorsqu’on se croit en danger de mort ? On riposte.

[...]

Comment les idéologues transgenres sont-ils parvenus à imposer leur vision du monde dans toutes les strates de la société, que ce soit à l’école, dans les médias, ou encore dans les institutions ?

Dora Moutot : Le phénomène transgenre a connu une accélération notable à partir des années 2010 suite à des investissements financiers colossaux par des groupes de pression en soutien aux revendications de cette minorité. Aux États-Unis, en 2021, un rapport de LGBT Funders nous apprend que 36 millions de dollars ont été investis pour faire avancer ce programme idéologique par le biais d’une nébuleuse d’ONG pro-trans.

Notre travail s’est appuyé sur les recherches menées par la journaliste d’investigation Jennifer Bilek, première femme à s’être penchée sur les investissements massifs de certains milliardaires militant pour les « droits trans ». Parmi eux, on compte Jon Stryker, petit-fils de l’inventeur du lit d’hôpital. Héritier d’une entreprise américaine spécialisée dans la fabrication de matériel médical, qui, en 2022, a généré un chiffre d’affaires de plus de 18 milliards de dollars, il verse chaque année environ 30 millions de dollars à la fondation Arcus, dont il est le créateur, en vue d’œuvrer à la normalisation du transgenrisme.

Autre grand financier de la cause transgenre : Jennifer Pritzker, anciennement « James », héritier des hôtels Hyatt. Pour sa part, il oriente ses fonds vers les hôpitaux et universités. Deux millions de dollars ont par exemple été investis par ses soins pour créer la première chaire d’études sur le trangenrisme à l’université Victoria, en Colombie-Britannique. Parmi les autres « bienfaiteurs » de la cause transgenre figurent également George Soros, l’ex-femme de Jeff Bezos, Peter Buffett, fils de Warren Buffett, ou encore Roy P. et Sheri Disney, héritiers de Walt Disney.

Pour institutionnaliser le transgenrisme, ces individus fortunés créent en premier lieu des fondations, elles reversent ensuite des fonds à diverses ONG agissant au quotidien dans divers domaines tels que la politique, le juridique, le médiatique, etc. Par exemple, l’association américaine qui s’occupe du lobbying auprès des médias se nomme GLAAD (Gay & Lesbian Alliance Against Defamation). Financée en 2020 à hauteur de 17 millions de dollars, elle a mis au point, en association avec Associated Press, l’équivalent de l’Agence-France presse (AFP), un guide et un lexique visant à faire en sorte que les journalistes emploient la novlangue transgenre.

Sur le plan politique, l’entrée au gouvernement de Rachel Levine au poste de secrétaire adjoint à la Santé des États-Unis a été rendue possible grâce au travail de lobbying du LGBTQ+ Victory Institute, un institut qui a reçu 10 millions de dollars de l’Arcus Foundation pour former et faire élire des politiciens LGBT. Malgré les scandales sanitaires retentissants qui ont éclaté au sein la clinique du genre Tavistock en Grande-Bretagne ou de l’hôpital Karolinska en Suède, cet homme transféminin fait publiquement la promotion de la transition des enfants et des bloqueurs de puberté, soutenant par exemple en 2022 que « les soins d’affirmation du genre sont essentiels pour la jeunesse trans et peuvent sauver des vies ».

Les ONG transgenristes comptent également parmi leurs investisseurs des laboratoires pharmaceutiques, comme Gilead, désireux de booster les ventes de son médicament préventif contre le sida, le Truvada, auprès de la population transgenre. D’après Global Philanthropy, les hommes trans sont 49 fois plus susceptibles de contracter le VIH que les autres adultes... Il y a aussi le laboratoire AbbVie, fabriquant du Lupron, un bloqueur de puberté. AbbVie verse des dons, notamment au Trevor Project, qui soutient les jeunes LGBT, et au GenderCoolProject, association promouvant le transgenrisme chez les enfants.

Il faut savoir que certains des laboratoires produisant ces hormones de synthèse utilisées pour la transition, comme Endo Pharmaceuticals, sont les mêmes qui ont été condamnées en justice pour marketing trompeur lors de la crise des opioïdes, responsable du décès de plus de 500 000 personnes...

Le lobbying transgenriste a aussi produit ses effets au niveau du monde de l’entreprise. En France, dans certaines d’entre elles, il faut par exemple accepter de prononcer le pronom « iel ». Aux États-Unis, de plus en plus de sociétés font la promotion de leurs assurances remboursant les transitions sexuelles. Pourquoi ? Car leur niveau d’inclusivité est noté à travers le « système d’indice d’égalité des entreprises » (CEI), créé par la Human Rights Campaign (HRC), une association financée, entre autres, par la fondation Soros et le géant pharmaceutique Gilead.

Ce CEI entre dans le cadre du mouvement ESG (Environnemental, Social et de Gouvernance d’entreprise), que les fonds d’investissement comme BlackRock et Vanguard suivent de près pour savoir s’ils décident ou non d’accorder des investissements... Résultat, alors qu’en 2000, seulement 3 % des entreprises du classement Fortune 500 intégraient l’identité de genre dans leurs politiques de non-discrimination, elles étaient 83 % en 2024. On peut dire que la HRC a bien bossé.

Lire l’article entier sur fr.sott.net

Condamné à de la prison ferme pour avoir tenu tête au lobby LGBT

L’offensive mondiale de la secte trans

 






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  • Se battre contre l’idéologie transgenre et le wokisme, c’est s’attaquer frontalement à l’appareil Anglo-saxon et à son agenda orchestré lors de leurs divers forums, qui vise à la pérennité de leur système financier avec lequel ils assoient leur hégémonie sur le reste du monde. Le wokisme en est une composante, l’une des marches qui prélude à dépénalisation de la pédophilie, puis au stade "final" dit du « transhumanisme ». L’ aboutissement d’un vieux rêve luciférien d’hommes bouffis d’orgueil reniant et oubliant le créateur de toutes choses, qui cherchèrent de tout temps à devenir l’égal de Dieu puis pourquoi pas, à le surpasser, car il aurait fait lors du processus de création des erreurs "inacceptables" rendant l’humain trop fragile . Puis, bien entendu ce nouveau rôle d’élève dépassant le maître générera en passant, son lot de profits privés et de contrôle d’une petite clique sur le reste de l’humanité, ou ce qu’il en restera.
    À chaque époque leur système doit se renouveler et avoir de quoi se mettre sous la dent pour mousser les profits et viser l’expansion économique à tout prix sinon, c’est leur perte. Je cite pêle-mêle : Les guerres, le féminisme, accès au crédit, modes passagères, obsolescence programmée, le LGBT’ isme, Le WOKE’isme, La CANCEL culture, les mouvements, les révolutions de couleurs. Et bien entendu, inventer et encourager toujours plus la création de nouvelles catégories sociales, de nouvelles « identités » puis les mettre en opposition. Ensuite profiter du manque de cohésion sociale, créer de nouvelles lois applicables aux nouvelle catégories et réalités mises de l’avant pour se servir de la justice comme d’un levier pour imposer de force cette réalité non-désiré et sans cesse modelée selon les intérêts d’un groupe sans cesse restreint épris de pouvoir et de contrôle.

     

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  • Des mots mêmes du patron de blackrock :
    https://9gag.com/gag/aZZP44Q
    Ce qui explique le wokisme / lgbtisme ambiant chez toutes les entreprises... sinon tonton Larry il donne pas les soussous.
    Bon bien sûr c’est que pour les gueux, le conseil d’administration de blackrock par exemple n’y est pas soumis, cela va sans dire...

     

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    • Les mots sont en train de changer, mais la stratégie demeure en place.

      Le New-York Times vient de pondre un article notant que les multinationale américaines sont en train d’effacer toute trace de l’acronyme DEI (Diversité, Équité, Inclusion) de leurs documents corporatifs, par crainte de l’éveil politique que cela a généré, et par crainte de poursuites judiciaires pour discrimination, mais que l’agenda demeure en place, et sera désigné par une terminologie vertueuse plus neutre. Bref, le grand patronat sent qu’il a été trop arrogant à l’endroit des conservateurs qu’il veut éliminer, en mainenant il veut continuer son travail de sape en l’emballant dans une plus grande épaisseur de novlangue.

       
  • #3363394

    " Endo Pharmaceuticals, sont les mêmes qui ont été condamnées en justice pour marketing trompeur lors de la crise des opioïdes, responsable du décès de plus de 500 000 personnes..."

    Il me semble qu’elle se trompe, c’est Purdue Pharmaceuticals, entreprise appartenant à la famille Sackler, qui a été reconnu comme responsable et coupable concernant les problèmes majeurs produits par les opioïdes, comme l’oxycontin.
    Ils ont été condamné à verser des milliars de dollars, mais ils n’ont jamais mis les pieds en prison, évidemment...

     

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  • La transsexualité n’existe pas, il y a au mieux des travestis mutilés.
    Ces gens font absolument tout ce qu’ils veulent, mais personne ne m’obligera a voir une femme dans un travesti, et a me comporter en conséquence.

    C’est comme obliger le monde a considérer un lambda comme le président de la république et lui octroyer le droit de diriger la France par ce que c’est comme ça que lui se voit.

    Je crois que l’apothéose de ce délire totale, c’est durant une interview aux USA un type avait déclaré qu’il ne sortirait jamais un travelo, et cela a suscité un tollé !

    Même un femme n’exigera jamais d’un homme qu’il sorte avec elle.
    C’est la tyrannie des déviants.

     

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    • #3363771

      Effectivement, comme l’avait mentionné AS, il est impossible biologiquement et physiologiquement pour un homme de devenir une femme, ou pour une femme de devenir un homme.
      Cela me fait penser à la chose qui a gagné l’eurovision, cette créature non binaire qui nie un fait simple et connu depuis la nuit des temps : on est soit un male, soit une femelle, point barre.
      Ils sont dans un tel déni, mais le mur de la réalité va très vite leurs revenir en pleine poire.

       
  • Après des menaces de morts délivrées par des transgenres et consorts, les manifestants de Paris de samedi, seraient sans doute fort aise de discuter dans une saine confrontation d’idées avec cette clique. Il y a peu, j’ai vu une vidéo d’un flic de l’Est riposter à trans agressif, c’était ’’’rafraichissant’’ de voir un rappel à l’ordre patriarcal effectué de main de maitre ..

     

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  • Son livre je l’ai commandé direct sur Amazon juste après qu’elle révèle qu’ils le cachent dans les Fnac.

    Je ne lis pas de livre mais je lui achète juste par solidarité

     

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  • Covidisme, Ukainisme, LGBTisme, Transgenrisme, Transhumanisme : tous des stratégies mondialistes de la tension et du chaos pour détruire la famille, déstabiliser la société et abattre l’Etat souverain. Pour ne rien dire du projet de dépopulation (voir le travail de Pierre-Antoine Plaquevent sur la question) qui promeut les sexualités non-reproductives et le prétendu changement de sexe, qui n’est que castration, ou fabrication d’eunuques.

     

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  • #3363626

    Il y a Soros, et il a tout les cartels qui le pompent juste au dessous dans la pyramide des influences , voir le dernier reportage d’Arte sur les nouveaux goûts musicaux de la populace mexicaine zombifiée par l’amour du crime organisé, là bas c’est la population générale, chez nous c’est uniquement les racailles et les chances qui représentent quand même grosso modo 30 pourcent de la France ... Je serais curieux de savoir combien de melanchonistes écoutent du rap de narcos... Tellement de pognon découlant du narco trafique, c’est un État dans l’Etat, voir l’Etat réel , vu que nos policiers sont aujourd’hui moins bien armes qu’eux ...au moins au Mexique et en Amérique du Sud ils ont les moyens de défendre les non narco et de se défendre les gardiens de la paix , donc qui représente les globules blanc face aux virus d’un un système immunitaire sain, ici tout le système actuel les fait se faire détester par le peuple , et valorise uniquement la culture racaille reliée elle même au pro palestinianisme , quoi qu’on en pense c’est la réalité ...du Hesbollah au Hamas c’est le narco traffic qui raque les armes , et qui fournit en came les milices pour la "liberté".... Mais ne rien dire la dessus vu que c’est officiellement "le camp du bien" pour le peuple ... De la came du cul et des jeux et tout ira bien pour les pro palo anti génocide ...la bonne blague cosmique

     

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  • L’imposture et la manipulation repose sur le contrôle du vocabulaire, pour nous déposséder des termes qui peuvent nous permettre d’opposer une résistance, et pour nous forcer à utiliser les armes terminologiques de l’ennemi pour nous exploser le libre arbitre et la capacité de jugement.

    Quand on y réfléchit, en réalité il n’y a pas de "femme-trans". Un homme qui se met du rouge à lèvres, une jupe, des faux ongles et une perruque, c’est "un homme qui se met du rouge à lèvres, une jupe, des faux ongles et une perruque", ce n’est pas une femme-trans, et encore moins une femme.

    Le fait de nous interdire de dire que c’est "un homme qui se met du rouge à lèvres, une jupe, des faux ongles et une perruque" n’en fait pas une femme, ni une femme-trans, tout comme un bœuf aux hormones ne sera jamais une vache.

    En utilisant le terme "trans" nous acceptons de croire au Père Noël progressiste, même si on ne lui écrit pas de lettre. Moi désormais je coupe court à toute conversation en disant qu’un homme hormoné qui se maquille et met une minijupe c’est un homme hormoné qui se maquille et met une minijupe et en aucun cas une femme.

    Le transisme est une forme de violence psychologique pour détruire les capacités de discernement.

    En réalité il y a les femmes, et il y a ceux qui acceptent d’imaginer une femme-trans en voyant un homme hormoné-maquillé ; un déni de réalité reste un déni de réalité que ce soit sous hormone, sous le bistouri, sous la contrainte ou sous la menace.

     

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  • #3363929

    J.K. Rowling tout d’un coup devient la protectrice des deux sexes après avoir été la promotrice de la sorcellerie qu’elle voulait faire passer dans le camp du bien. Or, que sont les sorciers et sorcières, sinon les ennemis de l’Eglise et les serviteurs de Satan ?
    Qu’elle se décide, soit elle est progressiste soit elle est conservatrice. On ne peut pas être les deux à la fois.

     

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