Est-ce dû aux radiations atomiques de Dimona ? Au réchauffement climatique provoqué par les Africains qui montent du sud vers le nord ? À la nomination de l’enfant Attal(i) au poste de Premier ministre d’une France en lambeaux ? À l’enquête complotiste d’Emmanuelle Anizon qui propage l’ignoble rumeur transphobe selon laquelle Brigitte serait une femme ? Toujours est-il qu’on voit de plus en plus de femmes à barbe. Ce qui était, à l’époque de Freaks, encore une incongruité et une créature de cirque, devient une réalité sociétale perturbante pour les enfants (et nous).
Aujourd’hui, les jeunes changent de sexe comme de chemise. L’opération, qui avoisine les 36 000 euros, est prise en charge par la Sécu, alors que pour les lunettes et les dents de tout le monde, faut ramer.
Cependant, on ne peut pas changer 15 fois de sexe : ça couterait trop cher aux travailleurs solvables qui financent ces lubies et l’opération est irréversible. Ceux qui reviennent en arrière se retrouvent dans un état physico-psychique assez inquiétant.
Donc bien réfléchir avant de passer de l’autre côté du rubis con : parfois, quand on se sent mal dans son corps, ça n’est pas un problème sexuel, mais psychologique, une phase normale de l’adolescence. Mieux vaut agir en douceur sur le psychisme d’un candidat à la transition que de le laisser détruire son propre sexe dans une charcuterie esthétique tenue par des margoulins ou Véran.
Moi ce que je propose, c’est qu’on avance entre nous, on fait tout ce qu’on peut pour protéger nos enfants et on ne fait plus attention à eux et à leur monde.
Ils ont le droit d’être comme ils sont.
On a le droit de les ignorer et de vivre « à l’ancienne »
Soyons indifférents… pic.twitter.com/qeEfZ6fpmM— AuBonTouiteFrançais (@VictorSinclair3) April 5, 2024
Après ce témoignage époustouflant (on vous doit la vérité : on n’a pas trop capté si c’était un homme ou une femme à barbe), on passe à Morgan, né dans un corps de femme (une prison), qui nous explique comment il a réussi à devenir barbu : à force de persévérance, d’injections d’hormones et de rasages répétés. Le résultat est tout bonnement extraordinaire. : on dirait presque quelqu’un avec des poils sur les joues !
« J’ai eu une première puberté dite féminine, pendant laquelle je n’ai pas développé de barbe. Pourtant, je me rasais déjà, pensant que ça aiderait à la faire pousser. Je pensais naïvement qu’elle allait se développer une fois adulte. J’ai commencé une transition dite médicale, avec un traitement hormonal, à la fin de mes 17 ans.
À mesure que je prenais de la testostérone, j’ai vécu une sorte de deuxième puberté avec différents changements. J’ai commencé à développer une pilosité plus importante, et vivais chaque poil supplémentaire sur mon visage comme une petite victoire. Si le duvet de ma moustache s’est rapidement épaissi, ma barbe a pris plus de temps à se former, restant très éparse jusqu’à mes 19 ans.
L’avis de la Rédaction
Selon nous, une transition médicale ne devrait pas avoir lieu avant au moins 40 ans, soit l’âge de raison. Jusque-là, les candidats à la transition n’ont qu’à se déguiser dans le sexe de leur choix (carnaval, boîte de nuit, mardi-gras, TPMP). On sait que les jeunes croient tout savoir, mais ils sont dans leur écrasante majorité plutôt cons et se trompent toujours, sauf sur le complotisme (pour faire chier la bande des 4).
Le problème de ces têtes dures, c’est qu’elles sont généralement vides : impossible de leur faire entendre raison, par exemple de ranger leur chambre ou garder leur sexe de naissance. Ils sont Têtu.
Crazyden explique aux gonzesses devenues des mecs comment « obtenir une bonne barbe » :
« Comme tu peux voir, la moustache est un petit duvet »
Les transsexuels barbus sont-ils des hommes comme les autres ?
Verra-t-on un jour un barbu né glabre dans un XV de France jouer comme Sébastien, le Yéti français ?
La pilosité n’a pas toujours été exclusivement masculine. Aujourd’hui, c’est vrai, beaucoup de femmes se rasent les poils visibles, mais portent encore une barbe discrète. Cela fera l’objet d’une autre étude sérieuse.