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Marche des fiertés LGBT : "Facho, salaud, les gouines auront ta peau"

Avant, on disait les « pédés », mais on mélangeait les homos et les pédos. Depuis, les premiers ont (plus ou moins) pris leurs distances avec les seconds, et d’autres tendances de l’Évolution sexuelle progressiste se sont branchées sur le tronc : les queers, les bisexuels, les trans et les intersexe. Maintenant on a un « + » en queue de peloton, et on ne sait pas trop ce que ça recouvre. Peut-être la branche oligarchique, ou alors people avec le palmadisme...

Marche (forcée) des fiertés

 

 

 

Élisabeth Lévy sur X : Des milliers d’ « antifascistes » applaudissent au tabassage de 10 jeunes femmes munies de pancartes. La patronne de la CGT applaudit la foule lyncheuse pour avoir « repoussé cette agression fasciste ». Sans rire. À mille contre dix, ces « résistants » n’ont même pas eu peur.

Ce samedi 29 juin 2024, la somptueuse marche des fiertés était consacrée à la lutte contre les fachos, qui menacent de prendre le pouvoir le 7 juillet 2024. Mila a été enfarinée, et Vincent Lapierre s’est fait piquer son matos. Les LGBT ont vaincu le démon. Ils peuvent désormais s’emmancher à foison dans les rues, faire les chiens ou les poneys devant les enfants, les old school, les musulmans et les cathos. La liberté sexuelle jetée au visage des prisonniers sexuels...

 

 

LGBTQIA+GPT

Ce qui est intéressant, du côté des gauchistes qui sont théoriquement les champions de la tolérance, c’est qu’ils n’aiment pas les gays venus de l’extrême droite. Conclusion : le facteur facho prime le facteur homo.

Seuls les gauchos ont le droit d’être homos. Les fachomos n’ont qu’à faire une thérapie de conversion, à l’américaine.

 

 

Avant, le peuple de Paris, c’était les petits métiers qu’on lisait dans Le Ventre de Paris ou, un cran social au-dessus, dans les aventures du Rastignac de Balzac : les forts des Halles, les marchandes des quatre saisons, les apaches, les artisans, les mendiants, les artistes aussi...
Aujourd’hui, tout ce petit monde a été éjecté de la ville lumière éteinte, et les travailleurs – il reste trois rempailleurs à la Roquette, maintenus en vie pour que les bobos de la com’ fassent « oh, oh » – ont été remplacés par les migrants, les voyous par des racailles qui squattent les boîtes VIP et les artistes par des financiers.

Paris était une fête, c’est devenu une purge. Les hétéros, eux, ont été déportés en petite et grande couronne, quand c’est pas dans la terrifiante province, au profit des homos qui ont colonisé le centre, les quatre arrondissements historiques. Même les juifs ont dû se bouger (dans le XVIIe pour les plus riches, XIXe pour les autres) !

Paris 1234, c’est leur fief, loin de la France profonde, qu’ils haïssent et qu’ils considèrent comme un repoussoir physique, culturel et politique.

Le problème, c’est que dans les urnes, les fiers font 2 % et les beaufs 40.

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