Les habitants de Bobigny ont de la chance : ils ont eu droit à un spectacle gratuit d’hommes déguisés en femmes. Les parents présents ont adoré, et les enfants, captifs, ont apprécié le spectacle des gros clowns.
« On n’a pas grand-chose de différent avec une princesse. »
« Le père Noël aussi, c’est du lavage de cerveaux. »
Ce week-end se tenait à Bobigny le "Family pride festival", financé par la Dilcrah, Barclays, Pierre&Vacances et Chloé. Un spectacle de drags queens "adapté aux enfants" au "regard pur et qui ne trahit pas" y était proposé
Vidéo (c) @KonbiniFr pic.twitter.com/nK3E2hx3mR— Jean Robert (@Jean_Robert_29) May 21, 2024
La Family Pride ou comment embrouiller les mômes
Cette petite vidéo pédagogique a pour voix off celle d’un enfant. C’est très étrange qu’il soit aussi au fait de toutes les particularités des nouvelles parentalités... Ça doit être grâce aux cours d’éducation sexuelle à l’école et à la générosité de la DILCRAH !
« Les messieurs qui se déguisent en femmes, j’aime beaucoup, c’est très bien fait. »
Le Family Pride Festival à Pantin
Le Parisien a donné de la visibilité à cette espèce de « fierté » écrite de manière bizarre avec des points et des e qui se baladent.
Quelque 4 000 personnes sont attendues ce week-end à la Cité fertile à Pantin à l’occasion de la troisième édition du Family Pride Festival. L’événement se présente comme « le premier et le seul festival français dédié aux parentalités LGBTQIA + (NDLR : lesbienne, gay, bisexuel (le), trans, queer, intersexe, asexuel (le) et plus) et leurs allié.e.s ». Il est organisé par le Collectif Famille. s dont le but est d’« inclure les familles LGBTQIA + au cœur de la vie des citoyen.ne.s, des milieux éducatifs, professionnels et médico-sociaux et les faire rayonner ».
« L’intérêt de ce festival est de se rencontrer, de donner de la visibilité à nos familles, explique Stéphanie Chartier, une des membres du collectif organisateur. L’évènement est gratuit et ouvert à tous. » De nombreuses animations se dérouleront tout au long du week-end. « On a un programme varié : des tables rondes, des ateliers pour les adultes et les enfants, un plateau d’humour le samedi soir, un drag show le dimanche… », énumère-t-elle.
Le cœur nucléaire radioactif de cette instrumentalisation des enfants et du public, c’est Paris, la capitale LGBT. On peut admirer ici son maire, qui trébuche de phrase en phrase sur le réel. Hidalgo est pourtant interrogée par une journaliste de France 3 qui croit aux statistiques publiées par l’Intérieur, alors que la moindre des choses, c’est de vérifier ces chiffres sortis des associations concernées qui vivent (grassement) de la victimisation ! Admirons ce duo formé par un faux journaliste et un faux maire pour tous.
"Je crois que nous sommes dans une société où les messages de haine se diffusent, souvent à travers les réseaux sociaux, et que c'est à nous de porter en permanence ces messages", explique #AnneHidalgo. pic.twitter.com/gVm1nvuxql
— Enzo Morel (@mtwit75) May 21, 2024
Marianne a justement sorti un article assez meurtrier sur la politique parisienne vis-à-vis des communautés ou associations militantes. Le titre et la photo valent à eux seuls le détour :
Du 21 au 24 mai prochain, l’assemblée des élus de la capitale se réunira pour décider des grandes ambitions de la ville. Les Parisiens s’attendront sûrement à avoir quelques éclaircissements sur la politique d’Anne Hidalgo, dirigée dans le silence feutré de son cabinet. Que nenni, le Conseil de Paris se grimera pour l’occasion en guichet social de luxe, attribuant des subventions en veux-tu en voilà, à des associations idéologues ou parfois loufoques. Chroniques d’une mairie atteinte de subventionnite aiguë.
Financer les agressions contre les Parisiens
On connaît tous le copinage en règle qui règne à la mairie et qui permet à des assoces fondées par des amis de recevoir un fric immérité, souvent pour des projets ou objets bidon, sinon antifrançais. Marianne rappelle qu’il y a ainsi 192 assoces de défense des droits des réfugiés qui vont toucher le pactole. De l’autre côté de ces magouilles progressistes, ce sont les Parisiens qui en payent le prix dans les rues et les transports. On ne compte plus les agressions émanant des enfants chéris des assoces contre les contribuables parisiens.
Arroser les amis avec le fric public, c’est une maladie française. Si on était malhonnêtes, on créerait l’AAMVPDP (l’association des amis des migrants voleurs persécutés dans leur pays), on toucherait 100 000 balles et on laisserait la rue parisienne se débrouiller avec eux.
Marianne donne l’exemple édifiant des Pierrots de la nuit.
L’association Les Pierrots de la Nuit, dirigée par Emmanuel Coblence, membre de la majorité municipale, a également reçu la coquette somme de 100 000 € pour une activité que d’aucuns qualifieraient de « minime ».
On a été jeter un œil sur leur mission...
1. Sensibiliser et responsabiliser les noctambules au respect de l’environnement nocturne et du cadre de vie des riverain-e-s
Concevoir et diffuser des outils de sensibilisation pour contribuer à l’évolution des pratiques (Campagne « Sans respect, la Nuit disparait ») : en dépôt dans les lieux de vie nocturne et diffusés auprès des noctambules par les médiateurs-trices.
Créer et déployer des interventions artistiques et sociales de nuit : les représentations des artistes des Pierrots de la Nuit, articulées avec l’intervention de médiateurs-trices. D’avril à octobre, les artistes et les médiateurs-trices des Pierrots de la Nuit sillonnent les rues les plus festives de Paris pour rencontrer les noctambules aux abords des lieux de vie nocturne et les sensibiliser de façon poétique et humoristique aux nuisances sonores.
Il s’agit d’un certain Emmanuel Coblence, conseiller écolo de Paris. Il n’a pas souhaité, nous dit sa fiche, transmettre sa déclaration de patrimoine. À cause des 100 000 balles ?
Lorsque le LGBT Romero lui donne la parole, on sent qu’Emmanuel bosse dur pour les Parisiens :
On ne va pas aller plus loin, on n’a pas envie d’énerver plus nos lecteurs, qui sont déjà légèrement remontés contre le projet manifeste de démolition morale et physique de la capitale, et de la France, plus généralement.