Un article paru dans Science [1] fait beaucoup parler de lui en ce moment : on aurait trouvé une cause à la sclérose en plaque. Et ce serait un virus (le virus Epstein-Barr, le fameux virus de la maladie du baiser de type herpès).... Encore un virus.
Pour trouver ce virus, on s’est servi d’un nouveau joujou : le Virscan, un super test PCR qui remonte le temps, capable de vous dire si vous avez eu une infection par le passé. Jusque-là tout paraît très scientifique, et ceci dans un journal de renom, et surtout, qui sommes-nous pour critiquer ?
Toutefois, on découvre assez vite en feuilletant les dizaines d’articles sur le sujet dans les revues de vulgarisation scientifique [2] promues par le pouvoir que Moderna planche sur la fabrication d’un « vaccin » ARN contre ce virus... Un « virus » qui serait répandu chez 90 % des adultes de plus de 40 ans ! Un beau potentiel financier, donc.
Les virus de type herpès déchaînent les passions en ce moment : Pfizer et BioNTech travaillent d’ailleurs sur des « vaccins » ARN contre le zona [3], qui serait lui aussi provoqué par un virus de ce type.
On en vient à se demander : ne seraient-ils pas en train de nous fourguer un virus tenu pour responsable d’une maladie neurodégénérative pour vendre des vaccins ? Il suffisait pour cela de créer un test PCR rétroactif... Tiens, ils viennent de le faire !
Les fabricants de vaccins ARN connaissent bien les maladies neurodégénératives, il paraît même que les gens atteints de la maladie de la vache folle se multiplient... Arrivera-t-on un jour à boucler la boucle ?
Hypothèse : on provoque une maladie neurodégénérative via un « vaccin » ARN sous prétexte de sauver les gens d’un virus. Comme on ne veut pas se faire choper, on prétend que c’est un vieux virus datant de votre enfance qui provoque cette maladie et on vous vend le « vaccin » ARN contre ce virus... Ça peut continuer comme ça longtemps !
On comprend mieux pourquoi la vitamine D est de moins en moins à la mode « scientifique », voire carrément considérée comme un perturbateur endocrinien. Imaginez, comme le prétendent certains scientifiques, qu’elle ait un effet prophylactique sur la sclérose en plaque [4], ou sur le zona [5]. Ce serait un manque à piquer (et à gagner) considérable !