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L’héritage du docteur Alois Alzheimer

Le croiriez-vous ?, la maladie d’Alzheimer n’en est pas une. Cette maladie est un fantôme, un mythe qui dure depuis plus de 100 ans. Nous devons les prémices de ce sinistre legs à Alois Alzheimer, neurologue bavarois, ainsi qu’à sa patiente Frau Auguste Deter. Atteinte de façon précoce de démence à l’âge de 51 ans, madame Deter, est en effet connue comme le premier cas d’Alzheimer dans le monde. Elle est passée à la postérité sous le non d’Auguste D, pour devenir malgré elle l’emblème de la maladie. Mais bien d’autres responsables leurs ont emboîté le pas pour parvenir à cette effrayante édification.

Cet article retrace l’histoire de la création d’un mythe, construit sur la définition de maladie, sur la recherche du médicament – le « chemical fix » – qui en est le corollaire, et sur les dégâts que représente le cortège de peurs que la simple évocation du nom d’Alzheimer engendre dans l’inconscient collectif. À la lumière des travaux de Philip Whitehouse [1], nous découvrirons que sous ce terme se cache un diagnostic inhumain ne reposant en fait sur aucune certitude.

 

La découverte

En décembre 1995, le docteur Konrad Maurer, professeur de psychiatrie à l’université de Francfort, et deux de ses collègues, fouillant dans les entrailles de l’hôpital universitaire Goethe à Francfort tombaient sur une boîte en carton remplie de vieux papiers et dossiers, datant du milieu du XIXe. Un des collègues de Konrad remarque un dossier bleu plus vieux et plus usé, et le sort de la boîte : « C’est Auguste D ! ». Les neurologues racontent à quel point ils se sont sentis comme des gamins excités face à un trésor enfoui depuis des siècles. C’est qu’ils avaient mis la main sur un des repères historiques de la médecine du XXe siècle : l’observation initiale du docteur Alois Alzheimer contenant les notes manuelles de sa malade la plus célèbre. Le matériel comportait une trentaine de feuilles de papiers, comprenant le compte rendu d’admission, quelques attestations et trois versions, en latin, en allemand et en anglais. Au passage, ce degré de culture est un fait suffisamment rare pour être remarqué. Il illustre la qualité et le sérieux du travail du docteur Alzheimer pendant toute cette période de 1901 à 1906. La lecture de ses notes révèle le clinicien accompli qu’il était, son niveau de sérieux, et son dévouement envers ses patients.

 

Alois Alzheimer

 

La rencontre

Le docteur Alois Alzheimer, un homme puissamment bâti, naît le 4 juin 1864 à Marktbreit, en Bavière. Diplômé en 1886, il axe ses recherches sur l’histologie et il établit des observations exceptionnelles dans les domaines suivants : épilepsie, tumeurs cérébrales, maladie d’Huntington, delirium tremens, syphilis, et ce qui est maintenant connu sous le terme de maladie d’Alzheimer. Il est engagé à l’âge de 24 ans à l’hôpital psychiatrique Agaplesion Markus, à Francfort, doté de remarquables installations, où il fera la rencontre de sa patiente. Le 26 novembre 1901, Alzheimer tombe sur le dossier d’Auguste D. Cette patiente dépressive présente des anomalies inédites. Son esprit vagabonde. Il constate un dérèglement de sa mémoire, elle parle de la mort et accumule les négligences domestiques. Épouse d’un employé de chemin de fer, la patiente accuse son mari de sortir avec des femmes du voisinage : on est en présence d’un délire congruent avec l’humeur. Les délires dans les états dépressifs peuvent être compris comme une aggravation de l’état la maladie, et l’exagération de l’humeur triste est probablement liée à la condition organique du cerveau. Le moins qu’on puisse dire est que les très nombreux symptômes observés ne permettent pas de statuer clairement sur la nature de sa maladie, qui semble d’ailleurs varier dans le temps. Mais, fait marquant, la malade est jeune. Alzheimer conclue à une dépression modifiée par un vieillissement précoce. Elle décède le 8 avril 1906.

Un an après l’évaluation d’Auguste D, la ré-étude par le docteur Alzheimer du dossier d’admission fait ressortir son incertitude manifeste : sous la rubrique « cause de la maladie », il inscrit « athérosclérose ». Dans la partie « description », il inscrit « atrophie athérosclérotique cérébrale ». Le tout est assorti d’un point d’interrogation inscrit dans la marge ! En bref, on nage en plein brouillard. La lecture de l’original allemand, formé des notes cliniques, démontre clairement que le docteur Alzheimer éprouve beaucoup de difficultés à interpréter ses entretiens avec Auguste D. Ils sont loin de fournir une vision claire de la maladie qu’ils sont censés décrire, et l’impression d’ensemble reste très confuse. Ce que la redécouverte du dossier en 1995 met en lumière, c’est l’aléatoire et le flou du diagnostic. Le livre de Whitehouse révèle l’incertitude d’Alzheimer, qui a longtemps douté et hésité. Ce problème du diagnostic le poursuivra pendant des années. Il existait pourtant, dans ce qu’on appelle les Research Diagnostic Criteria, une catégorie suffisant à tout classifier sous le terme de « syndrome cérébral organique ». À tel point que Winokur et Clayton parlent de maniérisme à propos de ce diagnostic dans The Medical Basis of Psychiatry.
Comble de l’ironie quand on considère l’effet provoqué par la seule évocation de cette maladie, la note terminale de ce précurseur mondial était… « trouble mental simple » !

 

Des repères anatomopathologiques incertains

Les traits cliniques fondamentaux et les données d’anatomopathologie montraient des signes aussi trompeurs pour Alois Alzheimer et ses collègues qu’ils le sont pour nous un siècle plus tard. À côtés de troubles de l’humeur importants et des troubles cognitifs, on observait chez la patiente une aphasie, une apraxie, des délires et hallucinations, ainsi que des pertes de neurones et des modifications de types athérosclérotiques, découverts à l’autopsie. Mais notez bien que l’ensemble est absolument identique aux symptômes cliniques des pathologies de démences séniles. Le premier article original en allemand peut très bien évoquer une forme dégénérative d’une maladie de type dépressive, voire bipolaire, évoluant vers une destruction neurologique et neuronique.
Alzheimer a bien remarqué la présence de plaques séniles, qui sont considérées depuis les travaux du pathologiste américain George Glenner en 1984, comme étant constituées majoritairement de protéine bêta-amyloïde. Mais malgré cette description, les chercheurs restent dans le brouillard : on ne sait toujours pas comment la plaque amyloïde fonctionne. Certains avancent l’idée qu’il pourrait s’agir d’un processus d’autoréparation du corps.

 

Plaques amyloïdes

 

Le nœud de l’affaire

Qu’est-ce qui, dans le continuum de la sénilité-démence, permet de séparer une maladie spécifique du vieillissement normal ? Le seul élément particulier retenant l’attention étant le relatif jeune âge de la malade, Alzheimer évalua plus tard trois cas de démence présénile supplémentaires, avec l’aide de son élève et collègue italien Gaetano Perusini. Ces patients avaient respectivement 46, 60 et 65 ans. Mais malgré tout, pour ces chercheurs, la même interrogation demeurait : ces patients avaient-ils une maladie spécifique, ou présentaient-ils simplement des symptômes de sénilité plus rapidement que les autres. La véritable question qui se pose, le nœud de l’affaire est l’évaluation de ce désordre comme une entité en soi. La différence est de taille, et aura d’énormes implications.

 

Apparition d’un nouveau personnage dans l’élaboration du mythe

Personnage central dans la création du mythe, Emil Kraepelin est à l’époque une autorité internationale en psychiatrie. En 1883, Kraepelin avait déjà publié des manuels de psychiatrie, et ses livres étaient connus dans le monde entier. Nous verrons qu’en réalité, il est le vrai père de la maladie d’Alzheimer. En 1902, Kraepelin propose un poste à Alzheimer dans sa clinique à Heidelberg. Pour Alzheimer, la perspective de collaborer avec un chercheur de ce niveau était une source d’excitation et d’intérêt. Plus encore, cela laissait entrevoir la possibilité d’obtenir une chaire à l’université, ce qui a sans doute ajouté à sa motivation. À l’automne 1906, Kraepelin nomme Alzheimer médecin-chef, une promotion qui détourne malheureusement ce dernier de son travail et de ses recherches scientifiques. Plus tard, au cours d’une conférence, Alzheimer se prononce sur un processus particulièrement sévère de maladie du cortex cérébral à la 37ème assemblée des aliénistes allemands à Tübingen. Cette conférence n’est rien de plus que l’exposé devant 90 de ses collègues du cas d’Auguste D et de ses désordres cognitifs progressifs, hallucinations, délires, troubles psycho-sociaux et symptômes focaux en rapport avec une anomalie du cortex. Il en profite pour projeter des diapositives de plaques amyloïdes trouvées à l’autopsie. Mais le bilan est maigre. Pas d’effet extraordinaire, ni rien de bien concret n’est sorti de cette réunion. À tel point que les comptes rendus et les notes de la conférence étaient qualifiés « d’impossible à adapter pour un compte rendu résumé ». Il n’y a eu d’autre part aucune question de l’assemblée, et pas de discussion. Le journal de Tübingen relate simplement que le docteur Alzheimer de Munich avait rapporté un processus particulièrement grave ayant causé une dégénérescence des cellules nerveuses, dans un laps de temps de 4 ans et demi. Ceci était plutôt à considérer comme un échec pour Alzheimer, et a probablement augmenté son doute sur la réalité d’une maladie autre qu’une démence sénile, et ce malgré l’âge des patients. Pourtant, c’est là que commence à apparaître dans l’ombre le « label Alzheimer ».

 

Kraepelin tranche en faveur d’une maladie séparée

La malade est difficile à classer. Est-ce une maladie particulière, qui présente des traits caractéristiques dans ses aspects histologiques et cliniques ? Ou bien doit-on simplement l’assimiler à la démence sénile elle-même, en particulier face à l’absence du moindre bio-marqueur qui viendrait souligner cette différence ? [2]. C’est Emil Kraepelin qui va trancher. En 1910, ce dernier fabrique officiellement le terme de « Alzheimer Krankheit » [3], avec cette phrase loin de briller par sa valeur explicative : «  l’interprétation clinique de la maladie est pour le moment non claire (unclear) ». Alzheimer quant à lui s’est senti très mal à l’aise avec cette étiquette éponyme, car il avait fait couramment allusion à ses réticences. On lui a forcé la main ! En effet, tous les documents montrent l’attitude d’un scientifique refusant d’y voir une forme particulière de démence, qui prendrait une place à part dans une catégorie séparée. Pour lui, il n’y a pas de raisons tenables : il hésite toujours, ne serait-ce que par l’absence de biomarqueurs. D’ailleurs, la « Nun study », qui a fait la couverture de Time en 2001 avait montré que certaines nonnes étaient très claires d’esprit, tout en ayant des plaques amyloïdes, alors que d’autres qui en étaient dépourvues étaient pourtant séniles [4]. En effet, il faut savoir qu’il y a des formes jeunes de démence sénile, comme des formes atypiques.

 

 

Rivalité et compétition

Pourquoi une référence en psychiatrie telle que Kraepelin, d’une grande rigueur professionnelle et fondamentalement attaché à la méthode scientifique, voit une maladie clairement séparée quand son collègue lui-même n’y voyait qu’une variété intermédiaire entre la démence sénile et présénile ? Selon Whitehouse, une des théories plausibles implique l’orgueil, le prestige, et la réputation, et les questions financières. Ces facteurs décisifs dans le monde de la recherche ont très certainement influencé la décision de Kraepelin. Mais il y avait autre chose. Une concurrence acharnée entre l’équipe d’Arnold Pick à Prague d’une part, et l’équipe de Kraepelin et Alzheimer à Munich de l’autre, pour déterminer qui serait le roi de la psychose et des maladies mentales en Occident. À la même époque, on cherchait à minimiser l’influence de Freud. Kraepelin partageait l’avis d’Alois Alzheimer sur les maladies du cerveau contre la théorie freudienne sur le psychisme. Le Text Book of Psychiatry de Kraepelin était déjà mondialement connu. La maladie d’Alzheimer était une aubaine de prendre la main, et de récolter plus de fonds pour continuer les recherches. Ainsi, donner le nom de la maladie d’Alzheimer, c’était marquer son territoire. Et Kraepelin faisait passer un message par la même occasion : Alzheimer, c’est mon équipe. En d’autres termes, l’origine du mythe s’explique en grande partie à travers une rivalité scientifique.

 

Naissance de l’empire Alzheimer

En réalité, on faisait beaucoup de bruit pour rien. En effet, de 1926 à 1935, seulement 9 articles avaient été publiés sur cette maladie. Mais distiller dans les esprits que la maladie d’Alzheimer est une maladie permet de laisser entrevoir la perspective d’un traitement. Le concept de maladie soignable va ainsi s’opposer à cette « croyance à éradiquer » que le déclin cognitif vient du vieillissement. Les cliniciens en privé reconnaissaient le contraire. Et dans la pratique, on ne posait pas le diagnostic avant 60 ans. Ainsi, la stratégie utilisée sera le mensonge scientifique. Brandir la menace de l’épidémie, qu’il faut désamorcer au plus vite, permet d’accélérer le mouvement. En effet, alimenter la peur permet de récolter des fonds auprès de ceux qui tiennent la clé du coffre-fort. Et pour avoir des fonds, il faut de la presse. Dans cette optique, ce sont les journaux grand public plutôt que les journaux scientifiques qui rendront compte des avancées. Comme toujours, on fait des effets d’annonce : Bob Buttler en 1970 nous promet de résoudre le problème d’ici cinq ans. David Pierce fait partager ses espoirs de nombreuses découvertes, mais comme toujours, ce sera sous la condition de se doter de moyens financiers adéquats. Les neuroscientifiques servent ainsi de courroie de transmission pour distiller ce concept biologique dans les esprits et le rendre indépassable. Comme souvent, c’est l’étiquette réductionniste, autrement dit un des postulats – pour ne pas dire une des croyances non éprouvées – du paradigme matérialiste qui rend la chose possible.
Pour arriver à ce résultat, il fallait une maladie, et non pas un processus naturel. Car la maladie autorise la prétention d’enlever les stigmates de sénilité par un traitement.

 

Stratégies thérapeutiques

Sans grande surprise, c’est le médicament qui devient le médium de la recherche, et non pas l’état de santé. Whitehouse travaille sur l’acétylcholine et se pose des questions de bon sens : pourquoi donner un bloqueur de l’acétylcholinestérase comme l’Aricept, qui n’est d’ailleurs plus aujourd’hui sur le marché ? Pourquoi ne pas donner plutôt le précurseur, c’est-à-dire les phosphatidylcholines (du jaune d’œuf et non pas du soja, NDLR) ?
Whitehouse témoigne du fait qu’il a vu sa relation avec l’industrie pharmaceutique changer dès lors qu’elle a disposé de drogues à mettre sur le marché. Et pour cause, ce scientifique de renom international préconise plutôt… des recettes naturopathiques ! « Ils voulaient me convaincre que ces médicaments étaient bons pour mes patients » raconte-il. Comme attendu, ils ne cherchaient, non pas des progrès pour le malade, mais des molécules à vendre. C’est la raison pour laquelle il a choisit par cesser d’être consultant pour les laboratoires.

 

Faire croire qu’un jour on guérira

Jusqu’à aujourd’hui se pose la même question : est-ce vraiment une maladie ? Ne serait-ce pas simplement un vieillissement accéléré du cerveau ? Établir ce diagnostic, en le séparant du vieillissement est inhumain. Car l’alternative est simple :
- Si c’est un vieillissement, on n’en guérit jamais, ou bien l’on serait immortel. Mais on peut développer une politique de prévention qui ne passe pas par un traitement ;
- Si c’est une maladie, trouver un traitement est peu crédible. Le mythe, c’est de faire croire qu’un jour on guérira ! Et le mythe est bon pour le commerce. C’est ainsi que les patients ressortent avec a) une sacrée dose de peur, et b) une ordonnance. La crainte du verdict entretient la peur, et la croyance qu’on a « attrapé » une sale maladie.

 

 

Conclusion

Tout cette histoire se résume à peu de choses : réduire la maladie d’Alzheimer à une catégorie, pour une gloire potentielle et pour l’argent. Kraepelin et ses successeurs sont partis en guerre contre une entité qui n’existe pas et qui a été créée de toute pièce.
Les médicaments « anti-Alzheimer » ne sont plus remboursés en France par la Sécurité sociale depuis le 1er août 2018, enfin reconnus pour leur inefficacité, voire leur dangerosité par les autorités de santé. C’est le contexte idéal pour mener une réflexion de fond. Ne pourrait-on pas pour une fois s’occuper du vieillissement humainement et gentiment plutôt que d’agiter un énième épouvantail à moineau ? Sans même parler de prévention, au-delà du facteur biologique, n’est-il pas urgent de prendre en compte les facteurs biosociaux qui permettent de limiter les dégâts, et mieux servir les patients et les familles lorsqu’ils abordent la dernière partie de leur vie ? Agnès Buzyn au moment du déremboursement avait annonçait que le gouvernement « mettrait cet argent sur un accompagnement des malades d’Alzheimer ». Qui sait ? Affaire à suivre…

« On pose aujourd’hui au médecin des questions qui ne sont pas proprement d’ordre médical, mais philosophique, et auxquelles sa formation ne l’a guère préparé »

(Victor Frankl)

Le mot de la fin est ironique. Il faut savoir que de son vivant, le docteur Alzheimer a atteint beaucoup plus de célébrité et de notoriété pour l’hydrothérapie et les traitements balnéaires qu’il a développés pour calmer les patients maniaques et les états d’excitation paralytique, que pour la maladie qui porte son nom. En Allemagne, les médecins prescrivent toujours des séjours dans les stations balnéaires pour soulager leurs patients…

– La Section Santé d’E&R –

 

Notes

[1] The myth of Alzheimer’s, what you aren’t being told about today’s most dreaded diagnosis, Peter J. Whitehouse, M.D., Ph.D., édition with Daniel George, M.Sc.

[2] Zeitschrift for Die Gesampt neurologie und psychatrie, en 1911.

[3] À la page 627 de la huitième édition de son célèbre textbook de psychiatrie

[4] Linguistic Ability in Early Life and the Neuropathology of Alzheimer’s Disease and Cerebrovascular Disease : Findings from the Nun Study

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33 Commentaires

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  • #2244838
    Le 22 juillet 2019 à 11:11 par TruthION
    L’héritage du docteur Alois Alzheimer

    Article fort intéressant.
    J"avais lu une étude il y a quelques temps sur les origines hypothétiques de la maladie d’Alzheimer qui disait que la plupart des patients atteints par cette dégénérescence cognitive avaient tous gardé en eux un secret de famille. De ce fait, ils aurait vécu toute leur vie avec un poids sur la conscience qui finit par entamer le cerveau, rongé par les remords peut être, et qui vient obstruer l’hippocampe. En quelques sorte, ce serait une maladie auto-immune avec un rapport de somatisation .
    Je trouvais cette thèse fort pertinente, car me concernant, je n’ai dans ma famille que deux personnes qui ont été atteintes de cette " maladie " (qui ne se guérit pas hein ) et effectivement, elles partageaient toutes deux un lourd secret familial ( datant de l’époque 39/45 ) .

     

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  • #2245010
    Le 22 juillet 2019 à 15:26 par Mais non Manon
    L’héritage du docteur Alois Alzheimer

    Le comble dans cette histoire ainsi que dans ce qui pourrait se rapporter à d’autres affections du cerveau tel que la schizophrénie ou les crises d’épilepsie par exemple est que tout se résumerait à des études épidémiologiques, et donc, pour certaines personnes, il n’y aurait jamais eu aucun mystère concernant les causes de ces pathologies cérébrales. Emil Kraepelin... Redécouvrir les publications d’Auguste Forel ? Une histoire d’hygiène de vie et non plus raciale ? On se fait tous enculer par les fascistes depuis le début du vingtième siècle, aujourd’hui blottis au sein d’entreprises ou d’associations totalement intouchables puisqu’elles auraient le pouvoir de limiter les dégâts au niveau de la santé publique ou de tous nous permettre à continuer de jouir d’un confort de vie dont la plupart des citoyens ne peuvent plus se passer ? L’automobile, le téléphone, l’alimentation, la chimie, la santé, les médias, les transports... Esclaves du fric. Il pleut du fric mais ça s’évapore avant d’arriver au sol. Vous avez déjà vu une pyramide dont les fondations sont inondées ? Pas folle la guêpe. Par contre, nous les fourmis... Voir l’excellentissime film d’horreur "Les Temps Modernes".

     

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  • #2245029
    Le 22 juillet 2019 à 16:00 par Paul82
    L’héritage du docteur Alois Alzheimer

    Voilà une histoire tristement banale.

    Je savais déjà que la prolifération de malades d’Alzheimer est surtout du à la demande des établissements de santé pour avoir plus de subventions. Et un certain snobisme aussi : c’est tellement mieux que de dire "c’est un vieillard sénile".

     

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  • #2245256
    Le 22 juillet 2019 à 21:45 par Inuit
    L’héritage du docteur Alois Alzheimer

    Article très intéressant !
    Je ne suis pas médecin ni prof de santé, mon avis personnel n’engage donc que moi. De ce que j’ai lu et entendu, en particulier le professeur Christopher Exley, d’après lui, l’Alzheimer, l’autisme et un certain nombre de maladies neuro-psychiatriques sont aussi dus... À l’aluminium vaccinal. Il a montré et démontré, à travers des autopsies de malades, comment l’aluminium vaccinal était transporté dans le cerveau à travers les macrophages par voie lymphatique et générait de l’inflammation. Le professeur Romain Guerardi en arrive à la même conclusion à travers ses études sur les souris dont on a injecté de l’hydroxide d’aluminium vaccinal marqué par des marqueurs fluorescents. L’aluminium est transporté jusqu’au cerveau par voies lymphatiques et générent des disfonctionnements et de l’inflammation, on en retrouve aussi en quantité dans les reins, la rate etc...
    Perso, je pense que les saloperies qu’on nous injectent jouent de concert avec les ondes électromagnétiques qui nous bombardent. Corrigez moi si je dis une connerie en disant que les métaux lourds type aluminium, mercure etc... Peuvent être d’excellents récepteurs pour les ondes électromagnétiques. L’association "Robin des toits" en tout cas le pense.
    Un certain nombre de chercheurs qui se penchent sur les maladies neuro-psychiatriques disent que l’auto-immunité et l’inflammation, en plus d’éventuelles infections, jouent un grand rôle dans ces maladies en perturbant la neurotransmission et en générant de l’inflammation chronique, perturbant au passage, les récepteurs neuro-dopaminergiques. Il existe bien entendu des facteurs génétiques liés à une sensibilité propre, mais cela ne veut absolument pas dire que ces maladies se seraient développées sans éventuelles perturbations, il s’agit là simplement d’un terrain plus propice que d’autres.
    Autre chose très importante qui va dans le sens de l’inflammation : Un certain nombres d’études concluent que la nicotine seule (sans les autres substances du tabac) joue un rôle anti-inflammatoire important dans le cerveau. Les personnes qui en prennent voient leur maladie d’alzheimer ralentir.
    Il semblerait qu’il existe des liens troubles entre infection et réponse immunitaire, certains parasites peuvent aussi influencés les neurotransmetteurs et donc l’état psychique d’une personne, c’est le cas par exemple de "toxoplasmose". Quand on sait que dans les vaccins on nous injecte et des virus et des substances sur-stimulantes pour l’immunit

     

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  • #2245278
    Le 22 juillet 2019 à 22:14 par Inuit
    L’héritage du docteur Alois Alzheimer

    Étant plutôt de nature pudique, je profite quand même du relatif anonymat d’E&R pour raconter ce qui m’est arrivé, dans le but premier et presque exclusif d’informer ceux qui se posent des questions sur les vaccins. J’ai développé des troubles cognitifs et disons mentaux assez proches de ce qui s’apparente à de l’autisme et de la dépression suite à une série de vaccination. J’avais déjà eu les mêmes symptômes survenus immédiatement suite à une autre vaccination avant ça . Lorsque une même action donne les mêmes effets par deux fois, on peut raisonnablement faire le lien de causalité sans problème.
    Vaccinations survenues au début de l’âge adulte, chez un jeune homme plein de vitalité et d’envie de vivre qui m’ont plongé dans les abîmes de la souffrance, de la frustration et du ressentiment. J’arrive aujourd’hui à la fin de la vingtaine sans entrevoir le bout du tunnel, tout juste des gros moments de stabilité où je redeviens fonctionnel en prenant d’énormes précautions : sport, alimentation etc... Qui calment certainement l’inflammation et les réactions auto-immunes.
    J’en ai parlé à un immunologiste qui m’a presque fait comprendre que je divaguais et que je me cherchais des excuses avant que je ne lui ramène un certain nombre de preuves scientifiques qui appuyaient par a+b mon argumentation : comment toutes les maladies psy et neuro étaient liées à l’inflammation en particulier au niveau neuronal et de la neurotransmission et comment les vaccins et les saloperies qu’ils contiennent pouvaient justement chez certaines personnes générer ces troubles. Il est passé suite à mon exposé de la condescendance/moquerie, à la contestation pour finir par accepter que c’était tout à fait plausible.

    Tout ça pour dire qu’il n’y a, je pense, aucun doute dans mon esprit que l’autisme et un certain nombre de troubles psys sont bien causés par les vaccins. Lorsque des centaines de milliers de parents à travers le monde sans concertation, attentifs à leurs enfants disent que la vaccination a plongé leurs enfants dans les abîmes de l’autisme, il n’y a même pas besoin de rechercher des preuves scientifiques pour les croire. Leurs seuls témoignages concordants et non concertés suffisent...

     

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    • #2245921
      Le Juillet 2019 à 12:19 par Patricia
      L’héritage du docteur Alois Alzheimer

      Inuit. Je suis touchée par votre témoignage et je vous remercie d’avoir osé partager cette expérience douloureuse ainsi que le fruit de vos recherches et de votre compréhension de cette situation que vous subissiez... Pour ce qui me concerne, il y a très longtemps que je me suis éloignée de tous les "outils" de cette matrice qui nous broie et nous tue à petits feux... car intuitivement, j’aspirais à retrouver la maitrise de ma vie personnelle. Je voulais aussi comprendre, comment et où je me situais dans cet ensemble qui nous sert de société... et qui en fait n’en est pas une, mais est un système de bric et de broc construit sur des idéologies matérialistes et relativistes... les voies d’accès à la transcendance et au Sacré ayant été barrées et dévoyées. En vérité, la vraie vie s’est réduite, avec le temps, à une "peau de chagrin." Une société digne de ce nom, se situant dans les traces de ce que l’on nomme "les sociétés traditionnelles" enfin, ce qu’il en reste encore ! Par exemple, je me suis intéressée aux Méditations qui favorisent l’élimination des tensions récentes et anciennes, dans la physiologie et le système nerveux afin d’apaiser le mental ; réharmoniser la psychée, avec le temps. Ce qui, par voie de conséquence, ouvre à l’expérience vécue de la transcendance et relie à la Loi Naturelle... Je pratique une technique de méditation depuis bientôt 40 ans. Je me suis aussi intéressée aux médecines traditionnelles : naturopathie et Ayur Véda. Toutes ces médecines holistiques, prennent en considération le corps, l’esprit et l’âme... de la personne. En occident, nous avons Les Tempéraments d’Hippocrate qui sont fort utiles pour soi et aussi dans la relation à l’autre. Bref, je ne demande plus l’autorisation de vivre ma vie, en conscience, aux représentants ou aux relais de ce système mortifère qui fait de nous des esclaves du berceau jusqu’à la tombe... Comme on disait jadis : "écoute ton coeur." ou encore : "Va vers toi-même." Ct 2, 10. Je vous souhaite une bonne continuation, jour après jour. "Seule la vérité rend libre. St-Jean.

       
    • #2246612
      Le Juillet 2019 à 18:01 par Bakloe
      L’héritage du docteur Alois Alzheimer

      @inuit

      L’alluminium serait en cause.

      Le Dr Elminger, médecin homéopathe suisse, a obtenu d’excellents résultats sur des patients victimes des effets secondaires vaccinaux par l’isothérapie séquentielle. Vous devriez trouver son site sur le net, il y relate des cas.

      Cette thérapie consiste à retracer la chronologie vaccinale et traiter chaque étape par la prise du nosode adéquat (les granules seront fabriquées à partir du vaccin correspondant).

      Cette thérapie est applicable à tous les champs, d’autres chocs pouvant venir s’imbriquer dans le désordre biologique causé par la vaccination... d’où la necessite d’un minutieux entretien, une des spécificités de la doctrine homéopathique.

      Des médecins homéopathes français la pratiquent, ils sont répertoriés.

       
    • #2247321
      Le Juillet 2019 à 18:18 par Inuit
      L’héritage du docteur Alois Alzheimer

      @Patricia et Bakloe
      Merci pour votre compassion et vos conseils, ça fait toujours chaud au cœur que des gens soient empathiques et comprennnent l’autre et ne sortent pas les habituels poncifs de "mais fait des efforts, soit plus fort que ce que tu ressens".
      Bakloe, je n’ai pas essayé l’homéopathie et à vrai dire je me méfie pas mal de beaucoup de méthodes dites "alternatives" qui pourraient être éventuellement du charlatanisme. Ce serait embêtant de perdre du temps et surtout beaucoup d’argent pour ne trouver au final presque pas de résultat ou du moins des résultats fragiles et temporaires.

       
  • #2245373
    Le 23 juillet 2019 à 06:08 par rie
    L’héritage du docteur Alois Alzheimer

    Pour info comme beaucoup d ;entre nous cherche a comprendre et surtout prevenir et guerir.

    S’interesser au decouvertes du Dr Hamer (Medecine Nouvelle Germanique). Pour l’avoir etudie depuis presque 20 ans, ses decouvertes expliquent beaucoup de choses notemment le lien de cause a effet entre les traumatismes emotionels de la persone, son impact au niveau cerebral et organique.

    Ici avec la patiente d’Alzeimer, il dit qu’elle parlait de son mari qui la trompait. Selon Dr Hamer, conflit de frustration sexuelle qui touche la partie gauche du cortex cerebrale. Cette partie du cerveau regule la production d’estrogene et creer ce qu’on appelle des phenomene de bipolarite (etat maniaco-depressif).

    Hamer explique que la maldie d’Alzeimer est un conflit repetitif de peur d’etre separe. Cette partie du cerveau est donc tres fortement sollicite pendant des annees et au bout d’un moment n’arrive plus a se regenerer.

    Les conflits de serparation creent des troubles de la memoire et de concentration. Un enfant qui vit le divorce de ses parents et est separe de l’un des 2, developpe tres vite des troubles de concentration et de comportement.

    L’expereince montre que lorsqu’on resous ces conflits emotionels, la memoire revient et les troubles du comportement disparaissent.

     

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    • #2245657
      Le Juillet 2019 à 19:35 par Inuit
      L’héritage du docteur Alois Alzheimer

      C’est exactement l’argumentaire renvoyé à la figure de ceux qui se posent des questions sur les causes réelles et profondes des maladies par les pouvoirs publics : "circulez vos maladies sont dus au mauvais sang".
      Vous rendez vous compte de l’absurdité de ce que vous dites ? Une déception amoureuse, trop cogiter, une blessure psychologique entraineraient des maladies type alzheimer, schyzo etc... Dans la même veine on a dit que l’autisme était du à un manque affectif de l’enfant vis à vis de ses parents, faisant culpabiliser au passage des parents aimants.
      Je ne nie pas l’importance d’une vie stable et des facteurs affectifs qui peuvent affecter l’état physique et psychique d’un individu mais ils sont eux mêmes largement tributaires d’un bon fonctionnement physiologique. Certaines personnes en ont bavé pendant de nombreuses années et ont vécu des situations très difficiles : décès, divorce, prison, perte de domicile et de travail, dette etc... Et n’ont pas développé pour autant de l’Alzheimer, une Sep ou un trouble psy.
      Vous ne vous êtes pas dit que c’est justement son état et sa maladie qui l’ont amené à cette forme de parano et d’asthenie psychique ?
      Ceux qui nous empoisonnent et nous affaiblissent avec des poisons et des perturbateurs bien réels (médocs, vaccins, ondes, sucre, mal-bouffe, pesticides, OGM etc...) ne veulent justement pas que l’on sache que ce sont leurs m*rdes qui sont responsables de nos états de santé, ils préfèrent psychologisé, "freudisé" la maladie pour taire tout le reste. On se retrouve donc avec eux à bouffer leurs médocs de m*rdes (excusez ma vulgarité mais le qualificatif est hyper pertinent) et suivre des "thérapies psychologiques" bidons qui ne font qu’engraisser les labos ou donner du travail au personnel de santé tout en perdant soit même 20 ou 30 ans de notre vie pour au final ne récolter aucun résultat.
      Quand un jeune gosse de quelques années seulement devient autiste ce n’est pas parce qu’il a besoin de plus d’affection et d’un suivi psycho-machin-bidule, on essaye d’ailleurs d’adapter tout un système d’apprentissage et de sociabilisation aux autistes sans grand résultat, mais c’est parce qu’on lui a injecté un poison qui perturbe très gravement son fonctionnement physiologique.

      Cessez donc de raconter les bêtises officielles si votre but est vraiment sincère !

       
  • #2245374
    Le 23 juillet 2019 à 06:24 par rie
    L’héritage du docteur Alois Alzheimer

    En complement de mon commentaire precedent :

    Le phenomene Alzeimer augmente depuis l’age industriel ou on a vu la liberation des moeurs et l’arriver des divroces. Le couple n’etant plus un gage de securite, les personnes sont donc constamment dans une peur d’etre separe et de se retrouver seul.

    Le cerveau dans la zone du cortex sensoriel est donc en stress en permanence et se degere plus vite. La zone sensorielle etant tres proche de la zone de la memoire, cet impact cerebral par le conflit emotionel de separation cree des troubles de la memoire et de concentration.

    Si s’y rajoute un conflit d’effondrement existenciel avec vide social et familial (qui touche le relai cerebral des tubes des collecteurs renaux dans le tronc cerebral) , on observe une perte de repere chez la personne qui ne sait plus ou elle est.

    Tout ceci sont les decouvertes du Dr Hamer (Medecine Nouvelle Germanique). A apprendre absolument pour toute personne qui cherche la vraie prevention et guerison.

    PS : pour l’histoire, le Dr Hamer a ete persecute toute sa vie pour ses decouvertes, la France et l’Allemagne l’ayant condamne pour de la prison a vie. Il a du s’exiler pour echapper a la justice Francaise et Allemande.

     

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    • #2245456
      Le Juillet 2019 à 11:39 par anonyme
      L’héritage du docteur Alois Alzheimer

      Le divorce ne serait il pas dû à un manque de sincérité et d’abnégation religieuses dans l’union, lui même du au positivisme et à Luc ferry ? Ne dit on pas à l’église : pour le meilleur et pour le pire, dans la joie ou la douleur, dieu vous unis, et à la mairie : vous vous mariez aujourd’hui, pour divorcer demain voici la procédure ! Je penche encore pour la thèse du Dr Gernez pour ma part.

       
    • #2247153
      Le Juillet 2019 à 13:52 par paramesh
      L’héritage du docteur Alois Alzheimer

      Le phenomene Alzeimer augmente depuis l’age industriel




      parce qu’avec les progrès de la médecine les gens vivent de plus en plus vieux, donc les cas de sénilité pathologique augmentent, c’est mathématique, plus facile de réparer le physique que le mental. (passé 85 ans, pratiquement tous les pensionnaires d’ EPAD tombent dans la sénilité chronique par perte d’activité intellectuelle et déprime, il suffit d’aller regarder)
      Cela dit bravo pour cet article qui démolit parfaitement ce mythe d’une maladie qui n’est n’est pas une.

       
    • #2247345
      Le Juillet 2019 à 18:48 par Inuit
      L’héritage du docteur Alois Alzheimer

      @Paramesh
      Je pense que si le but de cet article est de dire que la maladie d’Alzheimer est une dégénérescence sénile classique et ne doit donc pas être classée comme maladie à part entière, cette conclusion est largement erronée. L’Alzheimer est une pathologie lourde avec des symptômes connus et très handicapant : "plaques amyloides" etc...
      Tous les vieux même sénile ne la développent pas, il faut voir dans quel état se trouve les patients atteints de cette maladie pour se convaincre qu’il n’y a rien de naturel à ça. Bien entendu l’âge avancé est le principal facteur de risque mais je pense qu’elle se développe bien avant en amont dans l’âge, un peu comme le cancer ou la SEP.
      Comme je l’ai dit plus haut en réponse à @Rie, les autorités médicales aiment mettre en avant 2 causes qui expliqueraient selon eux les maladies : l’hérédité et l’influence psycho-sociale, pour justement cacher tout le reste. Facteurs environnementaux : nourriture (sucre, manque de micro-nutriments etc...), medocs, vaccins, ondes, pesticides, OGM etc... Bien entendu chaque terrain génétique est différent et a forcément plus de susceptibilité propre, le groupe sanguin par exemple peut favoriser plus facilement telle ou telle maladie : le groupe O l’obésité par exemple, le groupe AB les maladies cardio-vasculaires et les troubles neuropsychiatriques. Mais cela ne veut pas dire que la génétique ou le groupe sanguin sont directement pré-disposant. La majorité porteuse du groupe O n’est pas obèse et la majorité porteuse du groupe AB n’est pas cardiaque ou dément. Il y a simplement statistiquement plus de risques liés à ces facteurs, ce n’est donc pasune pré-disposition presque inéluctable telle que l’on nous le rabâche à longueur de journée.
      Le deuxième pilier de l’enfumage officiel est de "psychologier", "freudiser" à outrance. Selon la psychanalyse, l’Alzheimer, l’autisme ou les maladies psys sont à aller chercher du côté d’un traumatisme émotionnel, affectif et d’un besoin non-comblé. Tout le travail des psys est d’aller faire remonter ces traumatismes à la surface de sorte qu’ils soient acceptés et "digérés". Je reconnais bien évidemment l’importance d’une vie sociale et affective épanouie mais ces méthodes psychanalytiques n’ont jamais donné de résultat significatifs sur des patients souffrants de ces lourdes maladies . Un malade d’Alzheimer ou un autiste ne guérira pas de sa maladie en racontant sa vie à un psy, ça donnera simplement du boulot à ce dernier.

       
  • #2245450
    Le 23 juillet 2019 à 11:26 par Frank
    L’héritage du docteur Alois Alzheimer

    Le cerveau est composé à 75% de cholestérol. Vous commencez à voir le problème ?
    La chasse au cholestérol par le secteur médical, l’élimination en particulier des œufs, du beurre et des graisses saturées de notre alimentation a suprimé les sources de cholestérol. Il en va de même d’ailleurs du chlorure de magnésium, éliminé du sel (sauf Guérande), et pière angulaire de notre système immunitaire. Rétablissez deux œufs par jour, éliminez fluor, toutes les huiles "modernes", mangez du beurre en lieu de margarine. Et arrétez avec les risques cardio : le sud ouest, avec ses foies gras et confits de canard affiche un des plus bas taux d’accidents cardiaques en France.

     

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  • #2247553
    Le 27 juillet 2019 à 01:20 par alderic-dit-le-microbe
    L’héritage du docteur Alois Alzheimer

    Les études scientifiques font état de bactéries de forme bâtonnet dans les cerveaux des malades, mais à part ça, ce n’est pas une maladie. On note aussi une déficience en tryptophane, ce qui explique l’incapacité d’éviter l’oxydation au sein du cerveau, ainsi que les problèmes d’insomnie des malades, tryptophane que ces mêmes bactéries doivent sûrement boulotter, mais à part ça, ce n’est pas une maladie.

    Ce qu’il ne faut pas lire . . .

    Cette maladie est aussi étroitement liée à la classe sociale, comme bcp de maladies. Mais, non, elle n’existe pas. On va ranger ça dans la normalité. Les mecs sont transformés en poissons rouges à 30 ans pour certains, mais c’est normal, c’est la vieillesse ... Je ne suis pas certain que tout le monde avalera ce genre de propos sans broncher et sans riposter furieusement.

     

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  • #2249020
    Le 29 juillet 2019 à 16:22 par LiliDesBellons
    L’héritage du docteur Alois Alzheimer

    Bonjour camarades. Félicitations pour ce nouvel article passionnant ! (ce sujet de "fabrication de maladies" trouve un autre bel exemple avec le cas du lobby du sucre, qui pendant des décennies, a tout fait pour que les méfaits du sucre ne lui soient pas attribués -caries dentaires, "cholestérol"... https://www.prescrire.org/fr/3/31/5...).
    Ceci dit le pharmacien que je suis pense avoir relevé une tite coquille : L’ Aricept (donépezil) a bien, comme tous les médocs indiqués dans la maladie d’Alzheimer, été déremboursé, mais il a conservé son AMM et est toujours présent sur le marché français... Si je ne m’abuse.

     

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