La question des effets secondaires liés aux vaccins revient souvent, mais dans un monde où Big Pharma domine et dans lequel les États paieront les indemnités à sa place, il est difficile de trouver des articles qui essayent de montrer pourquoi l’effet secondaire est possible. Comme si le vaccin était le seul médicament qui n’en avait pas...
Récemment, un article d’Anthony R. Mawson et Ashley M. Croft [1] est venu nous renseigner. Il s’agissait pour eux de chercher si un mécanisme pourrait être à l’origine des effets secondaires plus ou moins graves des vaccins.
Ils rappellent d’abord que plusieurs articles ont montré que les effets secondaires ne sont pas un fantasme de complotistes.
• Une enquête [2] [3] a choisi d’étudier les effets délétères des vaccins sur des familles faisant l’école à la maison pour obtenir de vrais groupes contrôles non-vaccinés. Sur un échantillon total de 666 enfants, 261 (39 %) représentant le groupe contrôle, n’étaient pas vaccinés. Les vaccinés étaient significativement plus susceptibles d’avoir eu :
1. Rhinite allergique
2. Eczéma
3. Une infection de l’oreille moyenne
4. Pneumonie
5. Un trouble neurodéveloppemental
Les vaccinés étaient également plus susceptibles d’avoir utilisé des médicaments contre les allergies, équipés de tubes auriculaires de ventilation et d’avoir passés une ou plusieurs nuits à l’hôpital. Les enfants partiellement vaccinés avaient un niveau intermédiaire de diagnostic de rhinite allergique, d’eczéma et de trouble neurodéveloppemental, suggérant une relation dose-réponse entre les vaccinations et ces effets indésirables.
• Une relation linéaire a été observée entre le nombre de doses de vaccins administrées en une seule fois et le taux d’hospitalisation et de décès des nourrissons après avoir été vaccinés [4]. Le taux d’hospitalisations dues aux vaccins est passé de 11 % pour deux doses à 23,5 % pour huit doses. Le taux de létalité a augmenté de manière significative de 3,6 % pour 1 à 4 doses à 5,4 % pour ceux recevant 5 à 8 doses.
• Les États-Unis ont le taux de mortalité infantile le plus élevé parmi 33 autres pays, ils ont aussi le nombre le plus élevé de doses de vaccins requises pour les nourrissons parmi ces pays. Un examen des calendriers de vaccination de ces 34 pays a montré une forte corrélation entre le taux de mortalité infantile et le nombre de doses de vaccins administrées en routine [5].
• Dans une étude comparant les résultats de santé chez les enfants américains vaccinés et non vaccinés nés entre 2005 et 2015, sur la base des dossiers médicaux de trois cabinets médicaux, la vaccination avant l’âge de 1 an était significativement associée à des retards de développement, à l’asthme et les otites [6].
• Une étude a examiné l’association entre la proportion d’enfants recevant les vaccins à l’âge de 2 ans dans chaque État et la prévalence de l’autisme ou des troubles de la parole. La proportion d’enfants recevant les vaccinations recommandées étaient directement liées à la prévalence de l’autisme et des troubles de la parole. Une augmentation de 1 % du taux de vaccination dans chaque État était associée à un ajout de 680 enfants ayant l’une ou l’autre survenue [7].
Dans la suite de leur article, Mawson et Croft montrent qu’il existe aussi de graves effets secondaires plusieurs années après les injections chez certains militaires ayant eu un ou plusieurs vaccins. Le syndrome de la guerre du Golfe (1990-91) touche 25 % des vétérans, non seulement pour les militaires qui ont été déployés mais aussi ceux qui ne l’ont pas été.
Ce syndrome comprend toute une panoplie de symptômes, on retrouve : les allergies, infections fréquentes, troubles cognitifs (y compris troubles de la mémoire), douleurs musculosquelettiques chroniques, fatigue, faiblesse musculaire, maux de tête, anxiété et dépression ainsi que des problèmes respiratoires, gastro-intestinaux, dermatologiques et reproductifs [8]. Mais aussi un risque accru d’apparition de maladies chroniques telles que d’hypertension, taux de cholestérol élevé, crises cardiaques, diabète, accidents vasculaires cérébraux, arthrite et bronchite chronique [9].
• Une enquête menée auprès de plus de 4000 anciens combattants britanniques masculins de la guerre du Golfe a révélé que la vaccination contre la guerre biologique et de multiples vaccinations de routine ont été associées au syndrome [10].
• Parmi 1548 vétérans, les vétérans qui n’ont pas été déployés sur le terrain et qui ont été vaccinés avaient des taux significativement plus élevés de douleur chronique, neurologique, et des problèmes gastro-intestinaux, et une probabilité presque quatre fois plus élevée d’avoir le syndrome que les vétérans non déployés qui n’ont pas reçu de vaccins. Il a été conclu que les vaccins « étaient un facteur contributif de morbidité excessive chez les anciens combattants de la guerre du Golfe. » [11]
• Une étude de suivi basée sur les dossiers médicaux des anciens combattants britanniques six à huit ans après leur déploiement a signalé que la réception de plusieurs vaccins était associée à une probabilité multipliée par cinq d’avoir ce syndrome [12].
• Une étude portant sur près de 8000 membres des forces britanniques pendant la guerre du Golfe a révélé que le nombre de vaccinations reçues était directement associé à des scores plus élevés pour des affections de la peau ou des affections musculosquelettiques [13].
• Une étude des résultats parmi 1456 vétérans australiens déployés et un groupe témoin de 1588 anciens combattants qui n’ont pas été déployés a montré que le nombre de symptômes signalés au cours du dernier mois par les anciens combattants est associé aux vaccinations de manière dose-dépendante. Ceux avec le plus grand nombre de symptômes ont eu au moins 10 vaccinations. [14]
Les effets secondaires sont logiques
Nous avions montré [15] [16] que le problème devait venir de l’inflammation artificielle provoquée par le vaccin ; ici Mawson et Croft enfoncent le clou en suggérant que le syndrome de la guerre du Golfe et les effets secondaires vus chez les enfants se rapprochent d’une pathologie connue : l’hypervitaminose A.
Après avoir constaté que les vétérans atteints du syndrome de la guerre du Golfe présentaient une augmentation des enzymes hépatiques et une augmentation des maladies du foie, y compris une probabilité 7,5 fois plus élevée d’avoir une maladie obstructive du foie par rapport aux vétérans sans maladie multisystémique [17], et que les enfants vaccinés contre l’hépatite B ont un risque accru de développer une maladie du foie [18], ils émettent l’hypothèse que la ou les vaccinations en provoquant une inflammation artificiellement, en s’aidant certaines fois d’adjuvants toxiques comme l’aluminium, peuvent déclencher une cascade de problèmes dans le foie conduisant à la libération anormale dans le système sanguin de dérivé de vitamine A, en passant par des lésions hépatiques.
Stockée essentiellement dans le foie, la vitamine A et ses dérivés sont des régulateurs importants de l’immunité, mais lorsqu’ils sont présents en excès dans le corps, ils la dérèglent à court et long terme et sont impliqués dans les douleurs chroniques, les problèmes neurodéveloppementaux, certaines maladies respiratoires, fatigue, maux de tête, maladies gastro-intestinales, suspectés fortement sur l’autisme… En somme, les effets secondaires des vaccins retrouvés chez les enfants et/ou les vétérans de la guerre du Golfe.
Comme les effets secondaires existent et qu’ils sont logiques, le vaccin risque de subir une grosse crise de foi.
Bonus
Un témoignage d’un homme en parfaite santé qui a reçu l’injection de plusieurs vaccins en même temps, et qui a eu de gros problèmes, entre autres un foie qui ne marche plus correctement. Ce qui ressemble à l’hypothèse de Mawson et Croft :
Éric Daoust qui a produit cette superbe vidéo sur les vaccins https://t.co/huOkIx7h5k . Voici son histoire, vous aller comprendre pourquoi il a le couteau entre les dents !! ( 2 min ) pic.twitter.com/gQUwpm2rle
— Denistheyoung (@Denistheyoung) August 1, 2020