Quelques idées intéressantes développées par l’intervenant principal, mais dans le public on a quand même affaire a des gens bien formatés par le système : le vieux prof de fac qui trouve Onfray d’extrême droite, la conseillère en santé publique qui se scandalise qu’on laisse la parole aux "antivax" sur internet, Jacques Toubon le justicier de l’égalité sociale... L’ambiance est pesante comme toujours avec ces gens là : la terreur du "dérapage" plane, synonyme d’excommunication.
En ce qui concerne les petits bourgeois post-pubères dénommés wokes, l’analyse est assez bien vue, c’est dommage qu’elle n’aille pas jusqu’au bout : ils ne sont pas woke malgré que ce soit absurde, ils sont woke PARCE QUE c’est absurde. C’est pourquoi il est TOTALEMENT inutile de leur opposer une argumentation logique car ils sont bien conscients que rien ne tient dans leur discours. Mais Ah que c’est grisant quand leur petite crise d’hystérie va remettre en cause l’autorité de leurs professeurs, de leurs parents, de leur chef d’équipe ou maitre de stage Ils peuvent déclencher un lynchage médiatique, des poursuites judiciaires... Et tout ça, sans aucun effort, juste en se laissant dorloter par le système et en dénonçant les réfractaires. Oui, les médiocres se placent toujours du côté du manche. Tous ces incompétents de plateau qui ont craché sur les professeurs Raoult, Montagnier, Peronne, nous l’ont bien montré depuis 2020. Chez les jeunes, les fils / filles à papa ont toujours cherché à emmerder le monde pour justifier leur statut social et leur tête enflée. Quand j’étais étudiant (années 90) les fils des classes moyennes allaient en fac de science et les fils de bourges en fac de droit. J’en ai revu quelques uns, je ne les envie plus. Bourdieu n’a pas eu complètement tort, mais il a oublié la dialectique de classe. Les wokes veulent oublier les lois de la nature, ils ont tort, elles sont impitoyables.
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