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Y a-t-il un lien entre transidentité et criminalité ?

Les fact-checkeurs vous rassurent

Un fait divers macabre, mêlant dysphorie de genre et parricide, ravive une théorie conspi selon laquelle les membres de la communauté trans auraient des prédispositions pour le pétage de plomb et les bains de sang. Légende urbaine ou réalité statistique ?

 

Le 1er juillet dernier aux États-Unis, le Dr Abbey Horwitz était retrouvé inanimé dans sa maison de Virginia Beach (Virginie), de nombreuses plaies de couteau sur le corps [1]. Homme respecté au sein de la communauté juive locale, le dentiste ne suscitait pas moins de sympathie en dehors. À l’inverse, il s’était bâti une solide réputation dans la région de Tidewater, en prenant notamment la présidence de l’Académie hébraïque locale et celle de la Fédération des Juifs unis. Pas d’ennemi connu donc, mais pas de chance non plus. Puisque, en fait d’attaque antisémite comme on aurait pu s’y attendre dans un monde aussi vil que le nôtre, Abbey a été trahi par la chair de sa chair : son propre fils Michael. Et par fils, il faut entendre « fille ».

Car Michael a cédé sa place à Norah à l’état civil et est désormais une femme transgenre de 34 ans. Une femme transgenre qui, quand elle monte sur les planches, devient Menorah Horwitz, charmante drag-queen qui, pour se démarquer sur scène, se grime en Anne Franck lors de ses shows...

Tout cela n’est pas très digeste, mais ces détails sont nécessaires pour poser le décor et comprendre le débat. Car cette passion au goût discutable pour le cosplay shoatesque a piqué l’attention de l’alt-right américaine. Cette dernière, qui doutait déjà ouvertement de l’équilibre psychologique des transsexuels, a ainsi cru déceler une énième preuve de leur démence perverse dans ce drame familial.

 

Le tireur de Colorado Springs s’identifiait comme non binaire.
Le tireur de Denver s’identifiait comme trans.
Le tireur d’Aberdeen s’identifiait comme trans.
Le tireur de Nashville s’identifiait comme trans.
Une chose est TRÈS claire : le mouvement trans moderne transforme les activistes en terroristes.

Depuis quelques temps en effet, on voit fleurir sur la toile des publications qui désignent la communauté trans comme outrageusement criminogène et disproportionnellement représentée dans les affaires de meurtres. Pour donner de l’eau au moulin des droitards américains, une nouvelle tuerie perpétrée par un homme s’identifiant comme femme avait lieu quelques jours à peine après le meurtre d’Abbey Horwitz, glanant les gros titres de la presse alternative [2] et les manchettes des médias-menteurs. La question se pose donc : ce double massacre n’est-il qu’un malheureux hasard amalgamant injustement une population pleine de bonnes gens ? Ou est-il l’illustration que les personnes atteintes de dysphorie de genre sont statistiquement plus portées à violer la loi que le commun des mortels ?

C’est dans ces moments-là qu’on est heureux d’avoir Reuters. L’agence de presse, premier fournisseur mondial de dépêches pour les journalistes qui ne sont pas des chômeurs, a ainsi analysé quinze ans de données criminelles étasuniennes [3]. Elle en a conclu que les transgenres représentaient à peine 0,11 % des auteurs de fusillades mortelles enregistrées (3 morts ou plus) durant la dernière décennie et que ce nombre passait à 2 % sur la période 2016-2020. Le phénomène trans est tout de même assez récent et la participation de ses représentants aux tueries de masse semble aller croissant cette dernière décennie, mais Reuters, qui pourtant ne cache pas que « 0,5 % des adultes américains s’identifient comme transgenres et environ 1,3 % des 13 à 17 ans », en conclut que « la plupart des fusillades de masse ou des attaques violentes à l’arme à feu aux États-Unis sont le fait d’hommes cisgenres », oubliant vite la récente surreprésentation de leurs protégés. Ou comment faire des stats et s’asseoir dessus aussitôt pour conclure comme on pensait le faire avant même de regarder les chiffres.

Ouf ! Conclusion conforme, merci Reuters. Voilà qui devrait rassurer les esprits chagrins et mettre un terme aux allégations mensongères imputant une surcriminalité aux membres de la communauté « T ». Inutile donc de perdre du temps à éplucher le reste des statistiques criminelles afférentes. En particulier, pas besoin de s’attarder sur le chapitre des crime sexuels chez les trans ni de s’interroger sur le fait que 45 % des prisonniers transgenres au Canada sont en cellule pour viols ou agressions sexuelles [4]. C’eût été certes de bon aloi pour embrasser pleinement l’extraordinaire complexité du sujet. Et quels risques auraient pris les fact-checkeurs, puisqu’ils se sont fait une spécialité et un devoir de (tenter de) maintenir l’illusion que le monde est comme ils pensent qu’il doit être.

 

 

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30 Commentaires

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  • #3230096
    Le 15 août 2023 à 23:35 par Tom
    Y a-t-il un lien entre transidentité et criminalité ?

    Le 1er crime d’un transgenre est d’avoir rejeté, haï, mutilé et assassiné l’individu de son genre biologique

     

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  • #3230099
    Le 15 août 2023 à 23:53 par Iris
    Y a-t-il un lien entre transidentité et criminalité ?

    Je ne crois pas qu’il y ait de lien entre la transidentité et la criminalité, je n’ai d’ailleurs le souvenir d’aucun acte criminel par un trans dans un passé lointain !!
    En revanche, il pourrait y avoir un lien entre la transidentité forcée par la propagande et la criminalité. Des gens qui se sont laissés prendre par le doute semé dans leur esprit et qui au final se sentent encore moins bien dans leur nouveau corps. Des gens ordinaires à la base qui après leur transition en veulent à la Terre entière d’avoir été bernés.

     

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  • #3230123
    Le 16 août 2023 à 04:41 par Palm Beach Post : "Cult !"
    Y a-t-il un lien entre transidentité et criminalité ?

    "Y a-t-il un lien entre transidentité et criminalité ?"

    lol, pourquoi s’arrêter en cours de route

    autant y aller à fond
    bien sûr, qu’il y a plus qu’un lien
    déjà, tu te fais du mal à toi-même...
    alors, les autres comptent pour du beurre

     

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  • #3230134
    Le 16 août 2023 à 04:54 par Palm Beach Post : "Cult !"
    Y a-t-il un lien entre transidentité et criminalité ?

    "Menorah Horwitz, charmante drag-queen qui, pour se démarquer sur scène, se grime en Anne Franck lors de ses shows..."

    sérieux ?
    - la psychopathie de la psychopathie
    ça va trop loin, je ne peux plus suivre

    non, là, c’est trop
    peux pas
    help !

     

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  • #3230138
    Le 16 août 2023 à 05:18 par Zom
    Y a-t-il un lien entre transidentité et criminalité ?

    En même temps que l’Allemagne veut banir l’afd
    Pour sauver la democracie,
    Le monde nous explique qu’il faut laisser l’industrie polluer,
    Pour sauver le climat.

    https://www.lemonde.fr/planete/arti...

    Inversion totale.

     

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  • #3230173
    Le 16 août 2023 à 08:13 par giuo
    Y a-t-il un lien entre transidentité et criminalité ?

    Je pense à la difficulté de la police pour mener une enquête : Selon l’ADN recueilli sur la scène de crime le tueur est un homme, il nous faut donc enquête sur l’ensemble de la communauté, les hommes, les femmes, les non genrés, etc, etc...

     

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  • #3230181
    Le 16 août 2023 à 08:29 par amny
    Y a-t-il un lien entre transidentité et criminalité ?

    Vous ne devriez pas traduire les bouts de Tweets aiussi simplistes, tout le monde en France a recu les bases scolaires pour arriver a lire des textes anglais aussi courts et simples.

    Laissez un peu les lecteurs entretenir leur anglais ca les rendra moins cons.

     

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  • #3230233
    Le 16 août 2023 à 11:03 par buffalo grill
    Y a-t-il un lien entre transidentité et criminalité ?

    il est évident qu’il y a des liens entre volonté de changer de sexe et psychopathologie. Un proche médecin m’avait expliqué qu’actuellement les tests de personnalité préalables aux démarches de transitions avaient été refaites, que les anciens tests donnaient généralement des profils qui avaient « peu à voir avec une personnalité féminine dans une corps d’homme » mais des profils psychiatriques particuliers.
    Dans le même cycle de conférence, une conférencière évoque « l’auto-gynophilie » très répandue, et souvent confondue avec les dysphories de genre. Ils s’agit d’hommes excités par le fait d’être habillés en femme (il s’agit de fusionner avec l’objet de son désir…le simple fait d’enfiler des bas peut provoquer un orgasme), elle fait ensuite référence aux viols commis par ces "trans" incarcérés dans des prisons de femmes.

    La fiction (inspirée par la réalité) a souvent dépeint ces profils (Buffalo Bill dans le silence des agneaux, Norman Bates, ou encore, je vous recommande, l’excellent court de la série des 60’ "Hitchcock hour" dont il a repris la maison pour Psycho, « an unlocked window », une de ses oeuvres les plus flippantes.

    La figure tueur en série en travesti semblait véritablement ancrée dans l’imaginaire des années 50 à 80.

     

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    • #3230714
      Le Août 2023 à 03:14 par oui oui
      Y a-t-il un lien entre transidentité et criminalité ?

      Intéressant et réaliste point de vue.

      Effectivement, la Bête utilise le désir de fusion des hommes et des femmes pour l’utiliser dans son projet de déstruction de l’humanité.
      Finalement la plupart des trans sont en réalité les premier féministes à la base ..et se font piéger dans une fusion totale et irrémédiable ensuite.

      La propagande anti masculine n’aide certainement pas les enfants garçons à se projeter en hommes, élèvés par des mères masculinisés par la toute puissance éducative qui leur est offerte et dont elle n’ont pas non plus les épaules pour fusionner avec...

      Les trans hommes sont le résultat de femmes qui n’ont plus rien de féminin autre que leur corps.

      En d’autres termes, beaucoup d’hommes se disent qu’ils feraient de meilleures femmes et de meilleurs mères que leur propre mère.
      Tout en étant interdits, forcément , d’être l’un ou l’autre, quand le système fabrique des femmes qui pensent pouvoir jouer tout les rôles, et qui leur donne tout les rôles.
      Quand les pères ne peuvent être que feminisées ou toxiques.

      Ça mène à des gros pétages de câbles des hommes , forcément.
      Plus ou moins meurtrier ou et plus ou moins suicidaires les pétages de câble.
      En amont du phénomène stérilisation trans, il y a donc eu la déstruction volontaire du model paternel.

      Ça donne des hommes qui se réfugient dans les bas des femmes pour jouir, sûrement une parabole de la volonté de retourner au chaud se branler dans la chatte à leur mère.
      Alors que les femmes ne rêvent que de posséder une bite pour prendre le pouvoir fécondant de leur père, qu’elles haïssent en même temps.

      C’est l’eschatologie des genres... Le haut est en bas et le bas en haut...
      Le cul c’est dégueulasse ici bas, c’est pour ça que c’est a côté de l’anus , pour ne pas qu’on l’oublie.

      Pour s’élever de ça, il faut comprendre que ce désir de fusion incontrôlé par l’homme ne peut s’accomplir sans gros dommages collatéraux, même si une vie d’homme qui ne remplie pas celle d’une femme, est une vie innacomplie.
      D’où le malheur de la majorité des hommes, quand les femmes se remplissent de tout les hommes possibles dans leur hypergamie compulsive pour ne pas avoir à être remplie de l’amour d’un seul homme, qu’elles adorent appeler "masculinité toxique" , pour mettre sous le tapis de leurs vices leur instinct fondamental.

      Bien connaître l’objet de son désir de fusion, pour ne pas se faire tuer son amour de la femme par une mante religieuse ou une autre.

      C’est peut être la leçon des travelos

       
    • #3230842
      Le Août 2023 à 09:51 par Talon
      Y a-t-il un lien entre transidentité et criminalité ?

      J’ai déjà parlé de ça par le passé
      la confusion entre les désirs de l’identité et les désirs de l’altérité est sans doute là où il faudrait chercher pour expliquer ces perturbations mentales. Décider d’être/de ressembler à quelque chose ou désirer le posséder/conquérir, ce n’est pas la même chose ;
      Etre ému par la douceur et la grâce féminine, ou admirer la prouesse masculine, ça ne touche pas au même endroit normalement, et on n’a pas le désir de s’emparer de ces choses-là de la même façon. Seulement, il y en a qui aiment se perdre dans ces labyrinthes, cela doit sans doute correspondre à la manière dont ils ont appris à jouir de l’Etre : en trichant/jouant avec lui, plutôt qu’en obéissant à ses formes et ses figures.

      Dès le départ, l’accouplement est là pour effacer les frontières (dépolariser/unir l’homme et la femme).
      Et le sexe en soi (non tourné vers la reproduction) est encore plus sujet à l’imaginaire : n’ayant plus de fonction, son emploi est à réinventer toujours. Il est à la fois un lieu fragile (donc sujet à l’inquiétude du jouir, de l’excitation, d’une recherche toujours plus profonde dans l’inconnu) et aussi où se révèlent et se résolvent les antagonismes (mort/naissance). Il est naturellement désinhibiteur et transgresseur. Pour ça que les religions veillaient à civiliser les mœurs (mariage, fidélité), dans l’optique d’obtenir une société relativement stable. Pour ça que le péché originel à souvent été confondu avec le péché de chair : tout semble partir de là.

      C’est clairement un endroit métaphysique qui, s’il est laissé à l’abandon, à la créativité irréfrénée, conduit au chaos et à la dissolution de l’être le plus rapidement et le plus en profondeur. De mauvaises rencontres, assez jeune, peuvent être fatales. Et les conséquences semblent irréversibles.

      Vous découvrez ces choses à propos de l’arnaque transhumaniste, mais l’arnaque est déjà présente dans la prétendue homosexualité, qui dans sa partie la plus théâtrale et la plus "assumée" consiste je le rappelle à faire s’accoupler un homme avec un autre homme déguisé en femme. Vous n’en avez pas marre d’être pris pour des imbéciles ?

       
  • #3230275
    Le 16 août 2023 à 12:28 par Ledaron
    Y a-t-il un lien entre transidentité et criminalité ?

    Vouloir devenir une " chose OGM" est dans l’ordre du nihilisme,donc rien d’étonnant à voir ces êtres qui ne se reproduisent heureusement pas, à susciter après eux le déluge.

     

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  • #3230374
    Le 16 août 2023 à 14:04 par calal
    Y a-t-il un lien entre transidentité et criminalité ?

    des enfants gates qui ont toujours reussi a faire ceder leurs parents en faisant des crises de nerfs. Puis ils deviennent adulte et ce qu’ils desirent de peut plus etre fourni par leur parent,il faut qu’ils l’obtiennent d’un tiers,notamment de la part des femmes.Donc des hommes que la theorie blackpill qualifierait de sub5,avec un appetit sexuel decuple et completement irrealiste a cause d’une consommation addictive de pornographie qui se voient rejeter par toutes les nanas qu’ils ont "innocemment" approches... Et qui decouvrent l’homosexualite comme moyen d’assouvir a un cout plus faible leur addiction a l’orgasme masturbatoire... Les femmes me rejettent mais je peux attirer des hommes et avoir facilement des rapports avec eux : je vais donc devenir une femme et alors je pourrai devenir la femme que j’aurai aime baise...

    Marrant puisque les red pill americains disent que les femmes se sont transformes en l’homme qu’elle aurait voulu epouser et donc les mecs se transforment en la nana qu’ils auraient voulu baiser...

    "tout est permis,rien n’est possible" ...l’impuissance,les nevroses qui se repandent dans la societe pour contrebalancer le stress cree par le capital.Alors qu’on peut dire "non",non a certains de ses desirs,non aux desirs alienatoires proposes par la marchandise...

     

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    • #3231209
      Le Août 2023 à 20:02 par talon
      Y a-t-il un lien entre transidentité et criminalité ?

      Totalement en phase avec toi. L’imposture manifeste des transsexuels est juste un stade plus avancé de l’imposture dite "homosexuelle".

      On pourrait aussi rapprocher ça des affres du comédien qui ne se sent parfaitement complet, parfaitement lui-même que quand il est quelqu’un d’autre, sur scène. Le dogme de cette religion ( je SUIS ce qui me fait du bien) est à la source de toute perte d’objectivation (cf mon commentaire plus haut)
      La vie réelle, remplie de contradictions, d’impuissances, de rêves avortés, est d’une saveur bien mièvre en comparaison de cette dilatation de l’identité dans une forme idéale, parce qu’étrangère.

      Tous les rebus, les asociaux, les inadaptés, mis au contact de cette possibilité transformiste se trouvent face à ce choix : rester dans le terrain vague et fragilisé d’un désir complexe et contrarié en même temps que travaillé par toutes les tentations et facilités de l’époque ; ou bien rejoindre le continent LGBT avec son hymne et son drapeau, son armée, sa famille sociale, ses privilèges, ses sensations extraordinaires. C’est ne plus être seul, c’est exister à nouveau, participer à cette vengeance contre l’ordre de Dieu. C’est pouvoir reporter la faute de tous ses manques et ses échecs passés sur un défaut de discernement et une aliénation sociale hostile à sa nature.

      Après l’euphorie, la dure réalité ne tarde pas à revenir, et ils n’ont plus qu’à prolonger plus loin cette expérience morbide (changement de sexe, suicide, débauche,..).

      A noter que cette perversion a plus de prises dans une société hypersexuée (catégories mâles et femelles aux traits appuyés, aux codes exaspérés). Autant de costumes kitch, de caricatures à enfiler, à subvertir inlassablement pour les déréaliser. C’est le SOLVE ET COAGULA alchimique leur méthode, pour faire passer l’humanité d’un état à l’autre. D’abord coagulations en normes strictes, puis dissolutions saturnales. Répéter le procédé à l’infini pour effacer l’ancienne forme...

      L’Ennemi de l’Etre. Le Mal a l’état pur.

       
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