Pour un jeune homme de 22 ans, 11 années de détention équivalent à une sentence de mort de sa Jeunesse.
Avons nous pris la mesure du coup d’Etat de l’Ibère à Sion ? L’instauration d’un État policier, avec délit d’opinion, avec délit d’intention. Il n’y aura plus que des procès politiques !
Esteban et son camarade ont été condamnés pour leur être non pour leur acte. Pour ce qu’ils sont, des jeunes gens courageux, et non pour ce qu’ils ont fait : se défendre.
Dans ce procès sous la pression de la rue, les « Jurés » ont retenu les circonstances aggravantes de violence avec arme et en réunion. Quoi ? l’utilisation d’une arme a été retenue ? Sur quelle base ? Leur sale conviction intime aussi douteuse que leurs parties intimes ? Des médecins légistes, des « experts », se sont dits incapables de confirmer l’utilisation d’un poing américain sur la victime. En 2018, à l’époque du Boson de Higgs, la médecine légiste ne sait pas déceler l’utilisation d’un poing américain, qui provoque d’importantes et caractéristiques blessures...
On atteint ici des sommets d’impéritie..... ou de soumission.... De toute manière, en Droit, si je ne m’abuse mon cher docteur, le doute concernant une preuve matérielle devrait profiter à l’accusé, non ? Au lieu qu’ici on l’ignore délibérément.
Mais on est où, là ?
Vengeance de larves !
Avec cette haine de la virilité : l’avocat général a criminalisé l’attitude des jeunes nationaux, en ces termes :
« Il y a chez les accusés, amateurs de violence et de haine, une montée d’adrénaline, de fierté mal placée ». « Plutôt que de passer (leur) chemin », ils se sont précipités « au-devant de leurs adversaires. Une, deux, trois, quatre…sept secondes, voici le temps pendant lequel des coups sont échangés » a-t-il commenté, indigné !
On savait déjà que les phobies, ne sont plus des pathologies mais des crimes. C’est au tour maintenant des hormones surrénales. Montée d’adrénaline = accès de fâchisme ! 7 secondes de fierté = 11 ans de prison ! La seule fierté permise sera donc la fierté LGBT de mon Q ?
La plupart se refusent à admettre que ce qui nous tombe dessus est la gynocratie déchaînée. Qui n’est pas la douceur contre la brutalité, ni une répulsion envers la violence, mais une violence cent fois pire, celle des lâches et des faibles, l’hystérie agressive de l’antifa petit-bourgeois, la frénésie de haine d’essence F, haine rageuse de la virilité dans tous ses aspects. Physique, intellectuel, moral.
- La quoi ? Proxénétocrature ?
- Connais pas ce mot.
Rappelons qu’une répugnante criminelle, qui a assassiné son mari pendant son sommeil, a été libérée au bout de quelques semaines, graciée par Culbuto !
Seuls les flics et la soldatesque ont le droit d’être armés, on a vu leur utilité au Bataclan et à Nice. Merci encore ! Et maintenant seuls leurs supplétifs dits « antifas » auront le droit de se défendre ? Telle est la Loi nouvelle dans l’État policier d’Ex-France.
L’antifa est le vrai fasciste du présent ! Une race putride de fâchisme abâtardi, qui n’est lui même que le bâtard dégénéré de l’antifascisme stalinien, tondeur de femmes ! La raclure antifa se pare d’une anachronique et risible rébellion contre un paléo-fascisme, comme disait Pasolini, qui n’existe plus, l’archeo-fascisme terrassé et enfoui sous les décombres, et pas près de se relever d’au milieu des ruines ! Ce sont des bourgeois, ennemis des prolétaires comme Esteban, les descendants des muscadins, les fils à maman à gourdin, la milice supplétive du fascisme financier. Mais comme se sont des poltrons et des fragiles, tout juste forts en gueule, il était nécessaire de les protéger de la critique concrète par le faux droit de l’In-justice.
Les vrais coupables ne sont-elles pas ces canailles qui poussèrent un leucémique à se mettre en avant dans des rixes de rues ? C’est ça la « camaraderie » antifa ?
Garde, un sceau, vite, que je vomisse !