Bonjour,
Je suis un sympathisant convaincu d’E&R depuis 2010. Merci à toute les équipes d’E&R pour leur superbe travail.
Ci dessous mon texte à l’attention d’Alain Soral, dont j’ai commencé à suivre les analyses depuis les élections européennes de 2009.
Certains affirment, avec justesse, dans nos milieux : « De la France, de son histoire, je prends tout. » Eh bien j’affirme dans la même veine : d’Alain Soral, de son histoire, je prends tout. En ces temps d’aliénation généralisée, la tiédeur ne peut être de mise face à son langage de vérité, ses engagements qui ont simplement fait tant de bien à tant de monde.
Alain, ton courage et ta virtuosité oratoire ne pouvaient être le résultat d’un parcours classique et tristement borné, mais bien les fruits d’une histoire personnelle vécue sans cesse sur la brèche et sa nécessaire capacité à rebondir comme corollaire. Ta flamboyance est brute de décoffrage de même que tes failles, qui t’ont rendu humain, trop humain à nos yeux.
Sous la loupe grotesque des journalopes, tu n’en finis pas d’accréditer notre volonté de dissidence et de révolte contre cette époque bien singulière… Alors je jette en pâturage cette simple question : combien seront ceux qui comprendront trop tard que notre soutien – quel que soit sa nature – envers Alain Soral doit être affirmé ici et maintenant et visible a minima dans le quotidien de chacun d’entre nous ?
Dès lors, ce serait avec honneur que je prendrais une partie de ton fardeau sur mes propres épaules ; celles-là mêmes qui portent des errements similaires à ceux dont il t’est fait griefs par les social justice warriors du Net sans pouvoir le moins du monde revendiquer l’immense et sublime travail de prise de conscience dont tu peux en toute légitimité proclamer haut et fort la réalisation. C’est bien de la gratitude et du respect pour la soif de savoir suscitée et ses multiples facettes métapolitiques dont il est question dans ce témoignage.
Puisses-tu Alain continuer à nous bluffer par tes déroutantes analyses et insuffler cet élan de Vie que tu réanimas, réanimes et réanimera en chacun de ceux qui, comme moi, peuvent affirmer avec certitude et panache : « D’Alain Soral, de son histoire, je prends tout ! »
J.