Cela fait déjà deux ans que je prends plaisir à suivre assidûment le site et les vidéos de M. Soral. Je suis le « jeune homme éveillé » dont le courrier a été diffusé il y a déjà plus d’un an, le 23 mars 2015.
Habitant Rennes, je me devais de proposer à E&R ma vision des conséquences de la loi faussement appelée El Khomri, un bien trop grand « honneur » fait à cette « dame », cette loi ayant vu le jour dans le bureau du Bruxellois-Français (la dénomination majeure venant en tête) Nicolas Philiponnet.
J’habite en plein centre-ville de Rennes, où je loue avec ma concubine un appartement de 40m². J’ai 24ans et me considère (à l’abri de la bien-pensance et de « l’ouverture » ou « progrès », soit l’évolution forcée des mœurs) comme un vieux con, terme rendu célèbre en 68 et qui n’a jamais été, enfin je crois, plus d’actualité (galvaudé) qu’aujourd’hui.
Je vois au cœur de ma ville des pantins (antifas, anarchistes et jeunes « trous du cul ») se « battre » contre la ligne du PS, la loi du travail et le TAFTA sans qu’une seconde ils ne réalisent la responsabilité de Bruxelles, de l’Europe et des enjeux macro-économiques qui nous menacent. Ils ne font que revendiquer une Europe nouvelle, une Europe démocratique, régulée, juste… Ils se battent contre des chimères et rêvent que d’autres les remplacent. Ils rêvent de tours de magie et refusent d’en connaître les secrets, portent un programme tant qu’ils n’en voient pas les coulisses...
J’aimerais presque en être arrivé à ce stade de rêverie ; je pourrais enfin dormir tranquille après avoir renvoyé une ou deux bombes lacrymogènes à son envoyeur (preuve de contestation ultime après le casse de vitrine, le pillage de magasin et la dégradation de bien public).
En ce jeudi 26 mai, à Rennes, le cortège de manifestants a même été stoppé par une forte pluie, c’est dire la force d’esprit et l’obstination dont fait preuve cette « opposition » au pouvoir en place... Ces « jeunes » n’ont rien à dire, sinon ils parleraient.
Remarquez comme à l’ère du « pas d’amalgame » il est facile de scander « flic-assassin » ou « un bon flic est un flic mort »… Fort-heureusement, on ne peut remplacer flic par aucun autre signe d’appartenance (ethnique, religieuse ou professionnelle) sans craindre les foudres du gouvernement qui nous soumet… Comme quoi, on peut se défouler sur le punching-ball, s’en sentir grandi et même s’en enorgueillir ! À croire vaincre sans péril, on ne triomphe plus du tout… on sombre dans la couardise !
On croirait presque voir un ersatz de réconciliation s’enclencher dans ce monde parallèle qu’est « la manif » où petits crétins de bonnes familles et islamo-racailles se trouvent une passion commune, taper du flic, dévaliser les boutiques, taper du poing sur une table qui n’appartient plus à la France depuis 1993. Pourtant, personne n’est dupe.
Les seules victimes de ces manifs (n’en déplaise au cyclope lanceur de briques, « victime » du flashball fasciste) sont les dissidents authentiques, ceux qui ne répondent pas à la violence politique (financière) par la violence sur ses forces policières, ces patriotes qui ont su garder une certaine propension à réfléchir et qui s’en servent !
Je pense parler au nom de tous en disant que l’on ne remerciera jamais assez Alain Soral pour son travail, sa pugnacité et son implication au sein du premier site internet français de la ré-information en tant que président.
Merci d’apporter aux citoyens français votre clairvoyance et votre courage.
S.D.