M. Soral bonjour,
Je me présente, B., j’ai 23 ans, je vis actuellement chez mes parents à Persan dans le Val d’Oise. J’ai récemment décroché ma maîtrise de recherche en histoire médiévale. Je pense que nous partageons cette même passion pour l’Histoire de France.
M. Soral, cela fait maintenant plusieurs mois que je vous écoute au travers de vos vidéos sur le net. Au départ je me disais : « Cet homme parle bien mais son discours pue et transpire la haine et la paranoïa complotiste »... Je me trompais, comme beaucoup. J’ai été élevé dans une famille de gauche, d’extrême gauche. Pourtant je me reconnais dans vos discours et je partage bon nombre de vos points de vue. Ces analyses et ces opinions qui tranchent avec cette bien-pensance puante et nauséabonde qui inonde notre quotidien.
Sur les Femen, ces putes hystériques qui ne cessent de blasphémer et de profaner des lieux de cultes, des églises, des cathédrales datant pour certaine du XIIIe siècle [exemple : cathédrale de Strasbourg, XIIe siècle, photo ci-dessus – NDLR], je vous rejoins bien qu’étant athée. Elles ne respectent rien ni personne, ni culture, ni patrimoine.
Sur de nombreux points : féminisation de la société, lobby américano-sioniste, je vous rejoins également. La France n’est plus la France, elle se prostitue. Elle n’est plus le plus puissant royaume d’Occident (pendant tout le Moyen Âge), n’est plus la première puissance mondiale (ce qu’elle fut sous Louis XIV).
Je serai bref, ce message est d’abord adressé à un homme qui se bat pour ses idées (même si sur certains points je ne vous rejoins pas totalement), qui se bat seul contre tous dans une société qui ne veut que sa mort psychique et physique. Je vous adresse donc mes plus sincères encouragement. Ne lâchez rien ! Vos analyses sont pertinentes et nous éclairent sur le monde qui nous entoure.
Prenez soin de vous et continuez le combat ! Mon plus grand souhait serait que l’on puisse de nouveau vous voir à la TV (cette grand prostituée du système) et que vous reveniez en grâce car des idéologues comme vous sont nécessaires à la société, pour le débat, pour la diversité des idées et des points de vue, bref pour la démocratie.
Très cordialement,
Non pas un admirateur mais un jeune homme curieux, qui souhaite s’instruire par toutes les manières possibles en croisant (déformation professionnelle oserai-je dire) les sources et les idées.
B.