Cher Monsieur Soral,
J’ai passé mes vacances en votre compagnie (Internet). Je n’ai pas perdu mon temps, et j’ai gagné de mieux analyser notre dangereuse situation nationale et mondiale.
Je ne vous connaissais pas : je connais maintenant un homme juste pour qui je prie. Je suis un vieux curé d’une pauvre et petite paroisse de Marseille. J’ai été surpris de découvrir que vous exprimiez des convictions qui sont les miennes depuis longtemps sur notre société de plus en plus loin de Dieu, c’est-à-dire de moins en moins humaine.
Je sais ce que l’on vous fait endurer... Sachez que Dieu bénit votre loyale quête de justice, de vérité et de fraternité.
Je vous estime et prie pour vous.
Père R. S.