Non, la « théorie du genre » [1] n’a rien à voir avec la gauche. Ceux qui la laissent se répandre en croyant défendre des victimes sont au mieux des irresponsables, mais ceux qui en font la promotion officielle, aux plus hauts niveaux de l’État, sont des traîtres à toute la tradition vitale de la gauche, des agents d’un narco-trafic innommable.
Dans l’ombre et la discrétion, la théorie du genre est financée, promue, exaltée, alors qu’il s’agit d’un nouveau terrain d’entraînement au lavage de cerveau, et au-delà, puisqu’il s’agit de briser notre être primordial, de brider notre conscience sexuée, et plus encore de rendre erratique notre inconscient réactif, notre instinct de survie collectif. La théorie du genre n’est pas quelque chose de marginal ni de superficiel. L’importance qui lui est donnée à l’université le prouve, si besoin était, ainsi que le projet d’en faire un enseignement obligatoire depuis le plus jeune âge. Mais, se demandent les gens naïfs, pourquoi toutes ces histoires, pourquoi maintenant ? ?
Qu’est ce que notre classe politique aspire à gagner avec cette offensive qui ne correspond à aucune demande sociale, qui ne provoque que malaise et division ? Ce que l’on veut nous cacher, c’est à quoi peut bien servir ce corpus de sophismes raffinés : en fait, il s’agit d’une discipline destinée à fournir l’enrobage idéologique masquant l’essor d’une activité criminelle appelée à se développer : le baby business. Il faut obtenir une soumission idéologique générale et préalable, avant de lancer des opérations commerciales d’envergure.
Comme toutes les autres grandes poussées commerciales mondiales, depuis l’exploitation industrielle de la canne à sucre, négoce criminel tirant son profit de la combinaison de 2 esclavages, celui des producteurs (Africains déportés par millions) et des consommateurs (Européens drogués au sucre, alors qu’ils s’en passaient parfaitement jusque-là, ce qui préservait leur santé de toutes sortes de calamités), le nouveau business vise des profits exorbitants par rapport aux activités normales, ou disons, auxquelles on est habitués.
Ce sont, pour résumer, les producteurs de la matière première eux-mêmes qui payent, de leurs économies et de leur personne ! Donateurs de sperme, d’ovules, femmes pauvres dans des pays pauvres, orphelinats, jeunes inconscients : tous bradent une denrée infiniment précieuse : la vie, la condition de la perpétuation de l’espèce. Il s’agit d’une denrée rare, à en juger par le taux d’échec des techniques GPA, et par les années de patience pour ceux qui veulent devenir parents adoptifs. Conditions idéales, irréelles, pour le baby business ! Les prix peuvent monter et varier tranquillement, les gogos de gauche n’y voient que du feu, il supplient sans en être conscients leurs gouvernements de donner un coup de pouce à ce juteux marché si plein d’avenir, mus simplement, comme par un ressort mécanique, par la vieille habitude de faire la nique à l’Église.
Le baby business repose sur l’adoration monstrueuse du profit au détriment de la moindre considération morale ou religieuse, mais il a besoin de se faire passer pour un « progrès » libérateur, et c’est là que ça coince.
La réalité, c’est que la contraception massive et croissante, devenue, plus que libre, obligatoire, plus la course au travail forcené, font que la fertilité et fécondité diminuent dans des proportions gardées secrètes, et qu’il est interdit de faire connaître : la gauche s’évertue à couper le sifflet par tous les moyens à ceux qui ont les statistiques, extrêmement alarmantes, sous prétexte que ce sont des cathos, des intégristes, des fanatiques. Et ceux-ci s’enfoncent en aveugles dans la caricature qu’on leur renvoie. Mais le secret principal, c’est que la courbe est exponentielle. Que personne ne découvre le pot aux roses ! Cette sournoise castration en douceur,à partir du « modèle » occidental, c’est précisément le phénomène que veulent renforcer les magnats du baby business : qu’on ne puisse plus se passer de leurs services pour faire des gosses.
Selon la logique mafieuse élémentaire, ils nous vendent d’abord la pilule – avec performances immédiates, mais jamais de réflexion sérieuse sur ses effets retard – et l’avortement remboursé à 100 %, puis les bébés sur mesure, quand notre organisme n’arrive plus du tout à faire ce que la nature commande.
Les eugénistes, malthusiens, partisans de l’extermination des races inférieures, et autres bien-pensants, adhèrent discrètement au projet, moyennant ristournes, probablement. Ce qui confirme, comme sur bien d’autres sujets, la connivence droite-gauche. Les écologistes, sous prétexte de surpopulation de la planète, ferment les yeux sur une alchimie qui vise, à terme, à privatiser la reproduction humaine, comme cela se fait avec la reproduction des animaux, désormais tous promus au rang de bétail à gérer, comme on prétend le faire avec les végétaux. On s’apitoie sur les animaux et les plantes castrés en masse, et on ne voit pas que le même projet avance, en catimini, et que c’est nous qui sommes traités en gibier d’élevage.
La théorie du genre, sophistique imparable, très bien financée dans les universités, dynamise le marché à la marge, chez les LGBT qui s’ennuient vite, à tourner en rond devant leur triste miroir, et qui prétendent nier leur inconfort moral en arborant un statut de victimes officielles, voire d’espèce à protéger.
L’idéologie du genre, répandue par médias et ONG jusqu’aux confins de l’univers, est très efficace pour casser la reproduction spirituelle des peuples. Ainsi tout se conjugue. Effectivement, rien dans la constitution d’un pays comme le nôtre, par exemple, ne précisait que le mariage était réservé au couple un homme une femme. Et c’était le cas partout où jusqu’à présent, cela allait de soi, et où il était inimaginable qu’il en aille autrement, parce que c’est le socle spirituel de toute société vivante. Églises et États, puissances spirituelles et temporelles reposent, et reposeront toujours, sur cette loi naturelle.
Le projet colonial, dit « globalisation », se trouve bien requinqué, avec la propagande « gender ». Les principes primordiaux des sociétés traditionnelles sont visés, toute leur pyramide spirituelle s’effrite, se pulvérise, devant le dernier cri de la mode qui arrive de l’Occident riche, séduisant, et si merveilleusement consensuel. La théorie du genre est faite pour leur retirer le nerf de la résistance,les empoisonner jusqu’à l’âme.
Et voilà pourquoi votre fille est muette, depuis les partis politiques de droite et de gauche, jusqu’aux institutions religieuses, parfaitement corruptibles comme tout un chacun.
J’accuse la gauche de se vendre à la mafia du baby business, de trahir le combat des peuples pour leur libération, de trahir les masses populaires et de vendre le peuple au grand capital, pieds et poings liés par les agences de com. Le néo-libéralisme donne ici toute sa mesure : il s’attaque à l’intimité du monde entier, avec un seul objectif : le profit maximal, et avec des armes d’une puissance inégalée : le consensus dit de gauche, et la servilité de dirigeants de gauche corrompus jusqu’à la moelle.
Les peuples sauront faire payer très cher sa trahison à la gauche occidentale.
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