« Quand on emprisonne quelqu’un, c’est toujours un échec. Les gens ne sont pas des braqueurs de gaieté de cœur, des violeurs de gaieté de cœur, des pédophiles de gaieté de cœur, des antisémites, des négationnistes... Il faut être un peu dérangé pour braquer des gens, pour violer des petites filles ou pour dire que les chambres à gaz n’ont pas existé.... Il faudrait expliquer pourquoi le délire de ce monsieur est insupportable. »
L’ancien philosophe devenu islamologue Michel Onfray ne serait-il pas en train d’amener l’idée qu’il faut traiter Alain Soral de la même manière que certains « malades » de la société ? Si la prison est un échec, comment régler les « problèmes » causés par « ces gens-là » ? La psychiatrisation peut-être ? On sent que tu y penses, Michel. Quelle belle âme de « gauche » !
S’il y a un délire, ne résiderait-il pas dans les comparaisons douteuses de Michel Onfray ? Que doit-on comprendre ? Qu’Alain Soral est l’égal d’un pédophile, d’un braqueur, d’un violeur ? Qu’est-ce qui permet à un « intellectuel » d’en qualifier un autre d’antisémite et de négationniste tout en admettant ne pas vraiment connaître son travail, ne pas l’avoir lu ?
De plus en plus positionné dans le débat public comme le Zemmour de gauche, nous avons la désagréable impression que Michel Onfray est en train de proposer une alternative au Système pour en terminer avec le cas du « dérangé » Alain Soral. Pas de prison, enfin ! Plutôt des soins psychiatriques... Comme Knut Hamsun et Ezra Pound, pas dérangés mais très dérangeants en leurs temps. Une belle besogne de lâche et de soumis de la part du faux philosophe Onfray. Au fait, Michel : est-on un imposteur de gaieté de cœur ?
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