« Les manifestations sur la voie publique sont interdites » a annoncé le Préfet de police de Paris après les carnages du vendredi 13, dans le cadre de « l’état d’urgence ».
Hier, après le Spectacle de la Tuerie-hebdo, on avait appelé la Populace à descendre dans la rue, pour qu’elle fasse sa Charlie.
Aujourd’hui on la redoute un peu quand même, comme on craint les réactions d’une brave grosse bête quand on touche à ses petits.
D’autant qu’on lui promet : C’est que le début d’accord ? Ça va saigner encore et encore !
Cambadélis sur France Info :« Nous entrons dans les années de sang, il y aura des morts, il faut que tout le monde en soit conscient. »
On est surtout conscient que ça sera pas le sien, de sang !
« La France est en guerre », renchérit le Hollanderführer devant députés et sénateurs au garde-à-vous. « Sa guerre » à lui, n’est-ce pas, celle qu’il a lui-même déclarée, qu’il fait avec la peau des autres, et sans nous demander notre avis.
Et c’est pour ces gens-là que nous mourrons.
Non seulement pour eux, mais par eux, par la main contaminée de sang de leurs propres agents.
Qui « faisaient du bon boulot » aussi, en Syrie, t’en souvient-il Charlie ?
Que sont les Charlie devenus
Qui gambadaient le long des rues
Tout excités ?
Je crois l’État les a ôtés
C’est Dictature !
De par le joug de cette Ordure
Ces géôliers
N’en êtes vous pas humiliés
Ô mes amis ?
Ne sentez vous pas l’Ennemi
En haute sphère ?
Et de partout nous fait la guerre
Au temps d’hiver
Sa Loi Macron et son gender
Sa puantise
Pour votre plus grande méprise
La Vérité ?
Ils ont désertés la cité,
Marianne est morte
Dès que balles sifflent aux portes
Du Bataclan
Sortir et serrer les rangs
Sinon Mourir
Renverser, sinon mourir,
Gouvernement
Le coup d’état est permanent
Marianne est morte
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