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Oscars 2025 : Emilia Perez, le film trans de Jacques Audiard, ravit Hollywood

On va faire tout de suite dans l’honnête : on n’a pas vu le film, d’ailleurs, on n’ira pas le voir, pas question de refiler un centime au wokisme. Mais son pitch est partout, et il fait peur : le boss d’un cartel mexicain producteur de drogues de synthèse veut changer de sexe. Le héros est incarné par un trans, Karla Sofia Gascon, prononcez Gasconne.

 

 

Au moment où l’Amérique renverse le woke pour mettre Trump sur le trône, au moment où Dan Crenshaw, un ex-Navy Seal, déclare la guerre aux cartels qui fabriquent de l’OxyContin ou du Fentanyl, Hollywood, le dernier bastion anti-Trump, célèbre le changement de sexe pour ses Oscars, la plus grande fête juive selon Woody Allen.

Certes, le fils Audiard n’est pour rien dans ce mauvais timing (bon selon la gauche culturelle), mais ses obsessions LGBT qui affaiblissaient déjà sa filmo, éclatent désormais au grand jour. Déjà, dans Un prophète, la romance homo n’était pas nécessaire, mais tous ces durs, Corses et Arabes, devaient certainement faire fantasmer le réal, sans oublier le parrain Niels Arestrup, dit le Tarteur, tarteur de gonzesses dans la vraie vie et de son Arabe de service dans le film. Hum, hum, sexisme et islamophobie ?

Tout se mêle, fiction et réalité, les frontières géographiques et sexuelles s’effacent, et comme par enchantement, la Californie brûle, des studios sont évacués. Los Angeles part en fumée grâce à trois énormes lesbiennes qui se sont assises sur les bornes à incendie et sur l’embauche de pompiers.

 

 

Là-dessus, ce nazi de Trump déclare qu’il n’y a plus que deux genres aux États-Unis. Alors qu’est-ce qu’on fait de ces deux oiseaux ?

 

 

Oiseaux, oiseaux, on dirait plutôt deux dodos, le poulet qui n’a pas vécu longtemps parce qu’il était trop gras, trop lent, et qu’il arrivait pas à décoller.

Nous vivons la fin d’un règne, celui du woke, que les peuples abhorrent, mais qui était le choix des oligarchies, toutes, on peut le dire aujourd’hui, complètement pourries. Pourries moralement avec, entre autres, ce goût immodéré pour la pédophilie, ce qui horrifie les gens normaux. Eh oui, c’est aussi le retour de la normalité et de l’anormalité.

En psychiatrie, on a beau triturer le concept dans tous les sens, essayer de soigner autrement ou de « comprendre » les fous, il y a une normalité et une anormalité, et derrière, une sacrée souffrance dans l’anormalité. Mais là où les fous sont différents des oligarques, c’est que les premiers ne font souffrir qu’eux-mêmes (on met de côté les familles, qui en chient), alors que les oligarques torturent les autres, ceux qui ne sont rien, pour reprendre l’expression du « taré » du Château.

C’est pas nous qui le disons, mais le jeune Ruffin, qui pensait devenir président en 2027, alors qu’il a tout sauf le niveau. On le voit effectivement mal négocier avec Trump, Poutine, Xi et même ce salopard de Netanyahou. Le seul qui pourrait tenir tête à ce carré d’as, c’est Villepin. Lui ne fait pas honte. Et puis, les étoiles s’alignent : Trump fout Trudeau et bientôt Macron à la poubelle (on attends les révélations de Candace), Poutine est en train de gagner la guerre contre l’OTAN, la Chine s’approche de Taïwan, ou rapproche en loucedé l’île du continent, et surtout, Sarkozy est hors-jeu, pris dans les filets libyens.

Merci à Mediapart de nous avoir débarrassés de ce traître à la nation, et merci aussi à Villepin d’avoir fourni des dossiers clés en main à Plenel et à son bébé Arfi. C’est toujours mieux, quand on enquête, de recevoir les munitions sur un plateau. Ce sera la vengeance de Villepin, qui avait été poignardé par Sarko à l’époque, pas seulement avec l’histoire du CPE, mais avec l’affaire Clearstream, et c’est ce pauvre Denis Robert qui avait servi d’exécutant.

Aujourd’hui, le couple franco-allemand se reforme pour faire pièce à Trump, mais Macron, qui n’a aucun honneur, tend la main au représentant du pays « ami » qui a affaibli son industrie et sa production d’électricité nucléaire.

 

 

Et le cinéma, là-dedans ? Les treize nominations pour la bluette d’Audiard, fils LGBT d’un père facho, grand amateur de Céline ? Pour le coup, c’est Le Figaro qui dit tout, mais qui, tyrannie culturelle gauchiste oblige, n’ose pas commenter. Et pourtant...

L’article est de Constance Jamet, probablement la fille de Dominique, qui était lui aussi très mal-pensant, au sens célinien. Constance n’a pas marché sur les traces idéologiques de son père, alors que le sujet s’y prêtait. Par exemple, Adrian Brody fait encore joujou à Shoah : ce coup-ci il n’est plus pianiste mais architecte, et survivant, bien sûr.

 

 

Pendant ce temps, le cinéma français continue de se vautrer dans le woke...

 

Cinéma d’antan et cinéma dantesque

 






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32 Commentaires

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  • Le dernier film de Canet "Ad vitam" est une grosse bouse.
    "Le jardinier", film avec Vandamme, Youn, Ragnar le Breton , j’ai visionné 5 min de la version doublée en Anglais, je conseille ça vaut le détour, âmes sensibles s’abstenir.

     

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    • #3483248
      Le 24 janvier à 08:41 par la France derrière son écran
      Oscars 2025 : Emilia Perez, le film trans de Jacques Audiard, ravit (...)

      C’est plutôt l’inverse... le film avec Canet sur le GIGN est mieux que les films de Beineix, les goûts et les couleurs...
      Par contre quand j’ai vu l’affiche de l’autre avec Kaaris, Le Banner... à chier. Mais bon c’est gratis alors on zappe !

       
    • Le film avec Canet ça ne vaut même pas 3/10, rien à voir avec les gouts et les couleurs, c’est mauvais à tous les niveaux c’est tout.
      Y’ a pas de scénario, les dialogues sont mauvais, les acteurs ne font même pas le minimum, tout sonne faux, la gonzesse à une semaine d’accoucher qui éclate des mecs des forces spéciales en un contre un, succession de scènes d’action merdiques, forcément le quota diversité obligatoire , etc, etc.
      Qu’on aime le film c’est une chose, de la à dire que c’est un bon film il y a un gouffre. Cela fait bien longtemps que je n’ai vu un bon film Français, et surtout avec des Français dedans.

       
  • Je vous rejoins : le seul qui a le niveau en France, c’est Villepin.

    Mais il est isolé.

     

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  • « Nous vivons la fin d’un règne, celui du woke, que les peuples abhorrent, mais qui était le choix des oligarchies… »
    Petite « anecdote » : Dès décembre 1917, Lénine proclama le principe de la liberté sexuelle et dépénalisa l’homosexualité. Il instaura le « bureau de l’amour libre ». La sexualité dite de groupe fut propagée. On voit que le principe de la gestion infantile (et contre-nature) des masses, cher aux socialistes, sont des thèmes récurrents. L’avortement fut légalisé et le viol devint commun. Mais le dénouement de cette expérience mérite d’être médité. Une fois les normes de la moralité transgressées, la sexualité fut prohibée « La sexualité est l’ennemi de la Révolution », Ainsi, une fois la société russe transformée en un troupeau de bétail, il fallait le laisser périr et le repeupler différemment avec d’autres esclaves.
    Comme disait Edgar Faure (qui était l’un des rares politiciens français parlant russe et dont on connaissait sa « sympathie » pour l’Union Soviétique) dans « Humanisme et Culture » en 1964 : « Le système capitaliste de l’Occident et le socialisme de la Russie cheminent l’un vers l’autre, vers la solution de synthèse. ».
    Vive Trump ! Vive Poutine !

     

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  • Il est quasiment certain que ce film ( un narco trafiquant qui se change en fille, et ce n’est pas une comédie ! ) aura l’Oscar surtout que Trump à été élu et qu’il faut l’emmerder, et d’ailleurs nous allons glorifier ce nouveau chef d’oeuvre français à n’en pas douter, c’est pourquoi il faut rester prudent er se calmer, ni crier au clap de fin du wokisme, en tout cas pas tout de suite,

    PS : comme pour Blier, là encore, entre le père Michel Audiard, dialoguiste génial et le fils il y a le fossé des années 70, autres temps, autres moeurs, quand l’idéologie ou la vulgarité, remplacent l’intelligence et la finesse !

     

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  • Quand on pense au film "Faut pas prendre les enfants du bon dieu pour des canards sauvages ." de son père dans lequel Mario David joue une tarlouze à la tête d’un gang de tarlouzes , on se dit que ce film serait interdit aujourd’hui avec les approbations du fils !

    Réplique de Fred (André Pousse) :
    "Pour moi la Rosemonde(Mario David) et sa bande de gouines c’est rien que des prétentieuses !"

    Les chiens ont fait un chat !

     

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  • Stupide qui va vouloir regarder une histoire à dormir debout ou on énonce la probabilité qu’un chef de gang mafieux va vouloir devenir une femme . C’est incroyable et ridicule .Bon c’est mon avis .

     

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  • Grâce à un très éclairant précédent article de la rédaction d’E&R sur Jacques Audiard j’ai finalement compris l’essence de son cinéma en regardant son-a dernier-e film-e : la putasserie profonde et intégrale. Il pose du lourd, du qui écrase et dévaste, du narco, du lgbtx, du migrant, de l’arabe, etc. donc t’as l’impression que ça va être réel, mais c’est un institutionnel donc un gens du Bien pétri du fion à la fontanelle par de très fortes convictions anti/[reac-fasciste-raciste-antisemite], c’est un agent du Bien qui à ce titre a droit à la prédation d’Etat, aux prélèvements obligatoires, aux articles, aux interviews etc. Donc il te ballade un peu puis annule le réel -qu’il a montré avec talent- par sa négation, c’est pourquoi l’inhumain narco mexicain est en même temps le top du Bien de l’humanité post-moderne déconstruite : le trans LGBTx. C’est ça le moteur logique de son cinéma. Le gars est fort cinématographiquement et ça marche pas mal : t’es emmené dans l’ouverture des possibles crée par les enchaînements d’annulations. C’est putassier, ça te manipule, ça reste dans le Bien mais c’est malfaisant parce qu’au total le réel a été anéanti, quand la chose est son contraire et le contraire est la chose, il ne reste rien, il reste le néant : il n’y aucune édification dans les films de Jacques Audiard, que du putassier qui fait son boulot de bonne pute, te faire juter de l’attention pendant un moment.

     

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  • Et pourquoi ce n"est pas le même acteur qui joue Manitas et Emilia Perez ?
    N’est -ce pas la preuve de l’escroquerie du transexualisme ?

     

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  • #3483601
    Le 25 janvier à 05:05 par Bismillah France Jesuis Israël
    Oscars 2025 : Emilia Perez, le film trans de Jacques Audiard, ravit (...)

    Ok pour les trans et les dits " normaux" , il faut bien poser des bases ...
    J’ai une question en tant que psychiatrisé qui fait effectivement chier tout ceux qui se prennent pour des "normaux",...
    Où commence la norme, avant ou après 11 vax à des nouveaux nés ?
    Avant ou après 4 vax meurtriers ?

    Les normaux, c’était les soignants qui refusaient de se faire piquouser et de piquouser, ou bien ceux qui ne refusaient pas d’etre des gros fdp psychopathes ?
    Dans vos familles de normaux , ce fou que vous avez tous été qui a été accusé de l’être pendant 3 ans, qui s’est donc fait psychiatrisé par tout les normaux...ça vous a fait quoi ? Un peu plus c’était l’HP pour vous aussi il s’en est fallu de peu.’..

    Qu’est ce qui vous prouve que ce que vous appelez les fous ne sont pas plus proche de la normalité de ce que devrait être l’humanité, car il n’y a pas que le covidisme qui est passé pour la normalite auprès de la majorité depuis l’existence de la psychiatrie communistes...

     

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  • Si être bien adapté dans une société d’atheo psychopathes est nécessaire pour ne jamais connaître la psychiatrisation communiste (la psychiatrie n’a jamais existé dans aucune société traditionnelle, c’est une idéologie de classification strictement athéisto-communiste) , je suis fier d’être considéré psychiatrique , d’etre mis par les nazi communistes en impossibilité de faire partie de ce moule à merde pour le restant de mes jours sur terre.
    Les tortionnaires psycho nazi communistes, je pénètre leur cerveau formaté à leurs normes avec le sourire .
    Eux ne pénétreront le mien qu’après l’autopsie.

    En attendant, inspirez vous librement, mais n’oubliez pas que rien n’est gratuit, tout se paye sous une forme ou une autre.

     

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