Cette utilisation des femmes pour pousser l’agenda mondialiste rappelle le film sataniste Emilia Perez. Le protagoniste, chef de cartel, est en réalité une sorte de Baphomet, ce démon aux deux sexes vénéré par les templiers, qui avait comme tête celle d’un monstre hideux (traditionnellement la tête d’un bouc).
Sous sa forme masculine, il peut faire le mal de façon violente, mais il doit se cacher, vivre dans l’ombre, la nuit. Il fait peur au peuple qui le craint, il est traqué. L’acteur trans transformé en ’’homme’’ est d’ailleurs hideux et sa tête rappelle celui d’un monstre, d’un bouc, il fait peur, physiquement répugnant.
Il engage donc une sorte d’antechrist à la Soloviev, une avocate qui a les apparences d’un squelette, une avocate brillante mais ratée, qui voit la corruption, mais rêve surtout de gloire et succès, en y sacrifiant sa féminité. Celle-ci va aider Baphomet à passer de l’ombre à la lumière, pour que le mal se répande autrement.
Ce démon veut plutôt apparaitre sous ses traits féminins, pour mieux tromper le peuple, faire croire qu’il oeuvre pour le bien (sa campagne pour aider les victimes des cartels se nomme Lucecita, la petite lumière, une référence grossière à lucifer, celui qui apporte la lumière). Lors d’une soirée pour Lucecita, Emilia Perez fait un discours devant des notables mexicains. L’avocate se met alors a danser frénétiquement de façon sexuelle, alors que les invités sont figés. Elle nomme alors tous les crimes de ces personnalités puissantes en se caressant : meurtres, pédophilie, etc. Baphomet ne cherche pas à les faire tomber, il les contrôle pour assurer sa puissance et répandre son mal. À la fin de cette scène, la terre tremble, comme si Dieu se fâchait, et les invités se défige et font une salutation moqueuse au Ciel.
Le but est de détruire la famille, le patriarcat, la tradition et l’hétérosexualité (littéralement malmené tout le long du film).
Mort brûlé vif à la fin du film, Baphomet, tel un messie ou un saint, est alors célébré par la populace qui chante en espagnol une chanson de Brassens, pour nous rappeler qu’Audiard a mis un élément français afin d’en tirer quelques centimes en subventions.
L’Ironie de la fin est très intéressante : Baphomet, sous sa forme masculine, est le vrai responsable de la mort de tant d’innocents, mais le peuple le célèbre sous sa forme féminine en croyant qu’il leur veut du bien. C’est exactement ce qui réjouit les élites (et nous rappelle Greta/manifs pro-choix/les femen...)
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