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ONLI Hebdo #17 – La pédophilie et le cinéma

Les médias dominants salissent votre esprit ? De Brague & Korias sont de retour et nettoient désormais l’info chaque semaine !

 

Au sommaire de cette émission :

- Pédophilie : ouvrons la boîte de Pandore jusqu’au bout !

 

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39 Commentaires

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  • #2364614
    Le 14 janvier 2020 à 21:01 par Greh
    ONLI Hebdo #17 – La pédophilie et le cinéma

    J’aurais pu vous écouter des HEURES, trop courte en effet ...

    Pourquoi tant de Haine ????

     

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  • #2364769
    Le 15 janvier 2020 à 03:56 par RKrishna
    ONLI Hebdo #17 – La pédophilie et le cinéma

    Le pire avec Spielberg c’est le fameux ET. Il faut vraiment être aveugle pour ne pas voir toutes les allusions explicites quasi dans chaque scène du film (à ce niveau-là c’est juste chiant, et il faut se le taper à chaque Noël).
    Le pire c’est que même en expliquant chaque allusion aux gens, c’est tellement gros, qu’ils font une dissonnance cognitive et passent à autre chose.

     

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    • #2365225
      Le Janvier 2020 à 20:15 par RKrishna
      ONLI Hebdo #17 – La pédophilie et le cinéma

      Exemples :
      a) Tout le monde sait que E.T. est dessiné à partir de la forme d’un pénis.Dans le film le petit Elliott est mis en doute par son frère :
      Michael : Maybe it was a pervert or a deformed kid or something.
      Elliott : It was nothing like that, penis-breath !

      En fait "penis-breath" est une énorme insulte qui laisse tout le monde sans voix, car que faut-il faire pour avoir l’haleine qui pue le pénis à votre avis ?

      b) Au tout début du film, les amis de l’adolescent proposent de "niquer" sa mère en toute simplicité.

      c) A l’école, les camarades charie Elliott :
      Elliott : Yeah, he came back, but he’s not a goblin. He’s a spaceman.
      Tyler : Where is he from, Uranus ? Get it ? Your anus ?

      Et cette blagounette d’homme de l’espace qui sort de son cul s’étale si comme le spectateur n’avait pas encore compris.

      d) La mère est l’idiote utile qui ne sait rien ; incapable de voir que quelqu’un squatte chez elle (scène très symbolique), elle se fait indirectement traiter de pute par son fils :
      Elliott : I don’t know streets ! Mom always drives me !
      Michael : Son of a bitch.

      Bizarrement la jeune fille apprend les mots à la télé, et ils ont tous un rapport avec le pénis : BAT, BANANA, BALL etc.

      e) Elliott apprend la vie aux enfants :
      Elliott : The fish eat the fish food, and the shark eats the fish, and nobody eats the shark.
      On ne met pas ce genre de phrase dans la bouche d’un enfant pour rien. Ici est présenté la prédation en toute impunité, puisque personne ne mange les "requins", compris ?

      Et c’est ainsi pendant tout le film, dans chaque scène, je pourrais continuer indéfiniment, en citant entre autres la fin de la scène de la "libération" (sexuelle ?) des grenouilles avec les jambes de la petite fille qui se frottent de quoi ? à votre avis ? Ou encore le fait que c’est l’enfant qui initie l’étranger, tout d’abord en l’attirant avec des bonbons, puis en vérifiant son anatomie, puis en le travestissant. C’est affreusement chiant.

      Le pire c’est que les scènes citées sont des scènes cultes plébiscitées par les fans.

       
    • #2365265
      Le Janvier 2020 à 21:41 par RKrishna
      ONLI Hebdo #17 – La pédophilie et le cinéma

      Oh ! J’allais oublier le clou du spectacle : la scène où l’inconnu (alien) s’envoie en l’air avec 5 gamins, alors qu’il est drapé de blanc (innocent) dans un panier, et que le leader du groupe est le seul à porter une couleur vive, oui une capuche rouge... leur balade se terminant... dans les bois !
      Si vous ne comprenez pas, j’ai bien peur que vous ne compreniez jamais !
      (Remplacez E.T. par "inconnu" et peut-être commencerez-vous à réaliser de quoi parle réellement ce film) !

       
  • #2364885
    Le 15 janvier 2020 à 10:57 par Tom
    ONLI Hebdo #17 – La pédophilie et le cinéma

    Ouai enfin se baser sur les analyses de Peter Biskind à propos de Spielberg c’est comme (toutes propositions gardées) écouter le CRIF pour se faire une idée d’Alain Soral.

     

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  • #2364944
    Le 15 janvier 2020 à 12:27 par G.Babbeuf
    ONLI Hebdo #17 – La pédophilie et le cinéma

    Du bon boulot sur le fond et la forme.
    Toujours un plaisir de vous écouter !

     

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  • #2365083
    Le 15 janvier 2020 à 16:07 par sev
    ONLI Hebdo #17 – La pédophilie et le cinéma

    Comme toujours, émission précise et captivante.
    Pour étouffer à la marge, j’ajoute que dans :

    Sortez vos mouchoirs

    (1978) de B. Blier, Riton Liebman tient le rôle du garçonnet de 14 ans (son vrai âge à l’époque du tournage) qui couche avec Carole Laure (30 ans lors du tournage) et qui lui fait même un enfant !
    Un passage de Riton chez Ruquier il y a quelques temps confirmait par ailleurs que le Riton, devenu homme de 45 ans, n’est pas non plus très équilibré.

    Le Jupon Rouge

    (1987) de Geneviève Lefebvre, une certaine Guillemette Grobon - disparue des écrans depuis cet unique film - qui doit avoir environ 15/16 ans dans le film couche avec Marie-Christine Barrault qui dans le film en a bien 45 ans (scénario co-écrit avec une certaine Nicole Berckmans (?)

    Portrait de la jeune fille en feu

    (2019) de Céline Sciamma (par ailleurs compagne du 1er rôle Adèle Haenel), film à la photographie très esthétiquement réussie, est une apologie assumée du saphisme comme choix libérateur.

    On pourrait également développer sur l’époque des "Bilitis" de David Hamilton avec entre autres un certain Bernard Giraudeau et les oeuvres très discutables de Just Jaekin (79 ans aujourd’hui) qui fit dans les débuts du porno chic avec de très jeunes femmes/filles...

    C’est bien la phase 1 de la 68tardise qui se déploya grâce aux multiples réseaux culturels, industrie de formatage des nouvelles mentalités, ce qui allait exploser aujourd’hui... la pornographie morbide et obscène qui envahit le net et l’espace public, l’homosexualité comme remplacement "normal" (sans rire) de l’hétérosexualité ontologique, les dérives LGBT+++ où se vautre les paumés de l’identité et les saloperies gerbatoires avec les réseaux pédocriminels.

    Ils sont encore nombreux ceux qui, malgré l’éveil actuel, volontairement décalé (pour évincer l’énormité Epstein et Weinstein et autres horreurs encore planquées), vont toujours faire "leur marché d’éphèbes" du côté du Maroc... personnellement, j’en connais... ils se font le plus discrets possible...

     

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  • #2366170
    Le 17 janvier 2020 à 11:18 par anonyme
    ONLI Hebdo #17 – La pédophilie et le cinéma

    Perso je boycotte énormément de films actuels notamment à cause du quantitatif de propagande pro-pédo et LGBT qui a pris le pas sur le qualitatif et l’interêt artistique. Du coup je puise dans tous les vieux films que je n’ai pas encore vus et heureusement pas encore effacés par Big Brother.

    D’autre part, je trouve bien beau de s’indigner (ou de feindre de s’indigner) du monde pervers du cinéma ou du « show-baiz », mais quid des comportements des parents-maquereaux qui vendent leur progéniture dans ce milieu notoirement pourri ? Qui sont les plus pervers entre ces fournisseurs et ces consommateurs ? Hélas tant que les spectateurs contribueront à alimenter ce réseau incriminé, rien ne changera.

     

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    • #2368555
      Le Janvier 2020 à 02:34 par Michelly58
      ONLI Hebdo #17 – La pédophilie et le cinéma

      Tout à fait les parents devraient être condamnés autant que les agresseurs, ils ont vendus leurs enfants au diable pour du fric se ne sont que des Thénardier. Je recommande l’excellent film Bellisima de Visconti sur se sujet d’ailleurs.

       
  • #2367805
    Le 19 janvier 2020 à 08:47 par mohamed71
    ONLI Hebdo #17 – La pédophilie et le cinéma

    un grand merci pour ce décrassage de l’info, précis, sans détour et très professionnel..... décidément à ER ce n’est que de la qualité

     

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  • #2368335
    Le 19 janvier 2020 à 20:42 par Enki
    ONLI Hebdo #17 – La pédophilie et le cinéma

    Les thèmes abordés dans la filmographie de Claude Miller – fils de Léon et Olga Miller né à Paris dans une famille juive laïque – « cinéaste de l’intime selon Marie-Noëlle Tranchan du Le Figaro », aborde d’une manière implicite, en creux ces questions de pédophilie autour de l’enfance, de l’enfant.

    Quant à « Garde à vue », très grand film français, un huis-clos entre Lino Ventura, Michel Serrault, et Guy Marchand sur des dialogues de ... Michel Audiard et une musique de Georges Delerue, de par son intensité dramatique, une ambiguïté lancinante, quasi étouffante à laquelle le personnage de Chantal Martinaud interprétée magnifiquement par Romy Schneider, ne veut-il pas nous dire autre chose justement en creux, dénoncer la perversion de cette bourgeoisie de notables de Province ?

    En effet, bien que le criminel soit un gars du peuple, un pervers, Claude Miller semble vouloir nous suggérer bien autre chose tout au long du film avec une extrême et subtile intelligence pour détourner notre attention précisément comme nous éloigner des monstres de la haute bourgeoisie en « smoking », un soir de Réveillon autour d’un buffet avec le Préfet et les représentants locaux de la république franc-maçonne&con-sorts !

    Le suspens du film tourne justement autour de ça ! Mais l’inversion accusatoire est bien cependant de mise.

    Un miroir où l’on demande au gentils « goyim » de se plonger pour pervertir leurs âmes encore bien trop innocentes au gré de ces anti-Chrétiens.

    La haute bourgeoisie friquée fait de la promotion de ses valeurs décadentes à elle pour inoculer subtilement ce poison au peuple.

     

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  • #2372474
    Le 24 janvier 2020 à 22:26 par Pierre Loup
    ONLI Hebdo #17 – La pédophilie et le cinéma

    Vivement un autre épisode sur ce sujet du coup ! Car effectivement c’est incroyable l’ampleur de ce phénomène sur les sociétés occidentales le tout par on sait qui encore une fois !

     

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  • #2372864
    Le 25 janvier 2020 à 15:48 par Bachar
    ONLI Hebdo #17 – La pédophilie et le cinéma

    24:05’’ : Catherine Breillat a bien fait tourner Alain Soral dans un film mais le film parle d’une histoire d’amour entre adultes :

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Parfa...

    On peut même voir qu’Alain Soral, au début de la scène, est au lit avec la comédienne Isabelle Renauld, qui avait notamment joué dans Opération Corned Beef avec Jean Réno :

    https://www.youtube.com/watch?v=REA...

     

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