Il est indéniable que la France s’est longtemps distinguée par sa capacité à façonner des champions, à la fois dans le travail et les loisirs, au service d’un idéal collectif. Le sport, tout comme l’effort, a été un pilier du rayonnement national, une source de fierté et d’unité. Mais aujourd’hui, une ombre se profile, celle de l’influence grandissante des puissances du Golfe, perçues comme une menace sournoise pour la pureté de la culture française. Alors que l’on se perd dans les discussions futiles autour du football, on semble oublier que derrière ces enjeux sportifs se cachent des questions bien plus profondes sur l’intégrité de notre nation, sur ce que signifie réellement être français.
Peut-être est-il temps de relever le regard, de dépasser les passions éphémères, et de revenir à ce qui a toujours fait la force de ce pays : sa capacité à se défendre et à se préserver face aux influences extérieures.
Je n’ai jamais eu de sympathie pour Mbappé, mais il reste un fils de la France, un de ces visages qui incarnent, malgré tout, une partie de notre identité. Pourtant, face aux manœuvres insidieuses des puissances du Golfe, qui s’immiscent sournoisement dans nos affaires, sapant les fondements mêmes de notre nation, la question se pose avec une violence inéluctable : jusqu’où tolérer l’effritement de ce qui nous est cher ? Si un jour, ces intrusions venaient à porter atteinte aux nôtres, à notre culture, à notre patrie, il ne resterait alors qu’une réponse radicale. Et dans la fureur des circonstances, c’est avec une résolution sombre qu’il faudrait agir, sans détour, pour préserver ce qui nous est le plus sacré.
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