@Ludovic
Ce que vous appelez "religion catholique" est la religion oecuménique de Vatican II, une contre église dans l’ Eglise , une usurpation et une contrefaçon de l’Eglise de St Pierre.
C’est une Eglise infestée, prémice et prototype de la religion universelle du N.O.M., siège prévu de l’Antéchrist.
Tous les prophètes St jean, la Tradition de l’Eglise ont prophétisé ce kidnapping de l’Eglise aux derniers temps.
Un moine érudit français, oublié aujourd’hui, Pierre le vénérable, ayant vécu au XI siècle a apporté cette précison rationae temporis : "ces choses (la contre église dans l’Eglise) arriveront quand il y aura deux papes à Rome. Alors, les catholiques seront expulsés de l’Eglise et l’Eglise le siège de ses ennemis"
Nous y sommes.
Et maintenant, pour répondre à votre argumentation sur la nécessité de la "nouveauté" , je répondrai que ce qui est "nouveau" pour un catholique est faux. et seuls les ennemis de la Vérité (et donc de la Justice) pour les besoins de leurs mensonges vous font accroire le contraire.
Voici pourquoi :
La Vérité est unique ou elle n’est pas. Les vérités relatives sont des mensonges grimés.
Dès lors que la Vérité est unique elle est éternelle et universelle (le temps, l’espace), ou elle n’est pas.
La Vérité unique , donc éternelle et universelle a les attributs de son Créateur, Dieu unique éternel et infini.
Rajouter, retrancher ou modifier la Vérité est une atteinte à son intégrité, c’est habiller la Vérité de son contraire le mensonge, habiller Dieu avec les oripeaux de Satan.
Aussi, entre deux propositions, la Vérité toujours connue et reçue comme telle et son contraire, la vérité "nouvelle" pour sacrifier à l’adaptation pseudo moderniste du monde, sans crainte, restez sur la première car pécher contre la vérité connue est la péché contre l’Esprit Saint.
Le seul qui ne soit jamais remis
le péché donc qui a les préférences et toutes les attentions du Séducteur pour notre perte.
Et je vous le prouve par son modus opérandi : toujours depuis la pomme, il nous enseigne l’erreur en s’appuyant sur notre vanité personnelle : il nous flatte en nous disant que nous sommes l’égal de Dieu, et nous présente la nouveauté qu’il nous soumet, comme une vérité concurrente et égale à celle de Dieu, nous promettant de faire de nous par l’adoption de la nouveauté proposée un dieu au même titre que Dieu..
Voici la réponse à lui opposer : "Je ne veux faire que la Volonté de mon Père qui est dans les Cieux"