Marine Le Pen est en compétition avec quatre compères dont les noms finissent par ON, quatre sacrées têtes de compétents, mais pas seulement.
C’est aussi un regroupement onomatopéique ésotérique, le ON signifiant dans la Science Secrète la contrefaçon du son de la Gloire, le OM sans la vibration, qui est déjà la corruption du AUM initial.
« ON est un Âne ! » disait-on autrefois. L’Âne qui herbeille dans l’enclos d’Hereb, le principe centripète qui induit l’accablement solitaire et les désintégrations collectives.
Mais passons, je ne peux ici en dire plus.
Quelle est la signification profane des ces 4 noms du N.O.M ?
Commençons par Monsieur Fillon, à qui ON tente par tous les moyens de couper les ailes pour les faire pousser au Macron.
On voit bien qu’un Fillon sans L devient un fion, un fion maigrichon mis en examen pour être farci par un Anus Artificiel, nécessaire au Gros Merdiat qui nous défèque sans arrêt du plomb durci sur la figure par la lucarne à gogoy.
Ce T.D.C artificiel porte un nom qui ne se prononce qu’entre initiés du Microcosme.
Or donc Monsieur Macron se sent pousser des ailes. Le prétendant très prétendant, très prétentieux et très ignare, ne sait même pas qu’il y a une culture française.
Pour lui la Guyane est une île et la « France un hôtel » du libre échange.
Il consacrera la fin du Politique, déjà largement ravalé à une activité de police ou d’attaché de presse, ce qui revient au même.
Après un larbin de la finance nous aurons la finance directement, un opérateur boursier au pouvoir, un Golden boy président !
Ce sera l’État Rothschild sans fioritures, la Banque qui saisira directement tous les aspects de l’existence dans ses tenailles de fer comptables.
Souvenons nous que la plus atroce dictature d’Amérique latine fut concoctée par les Chicago-boys, d’autres Traders comme Macron.
A priori, la bourgeoisie ne veut pas de ce bellâtre pour étudiante d’école de commerce. C’est le Fillon qu’elle veut la masse bourgeoise, même sans L, car il est de son milieu.
Tel est le sens ultime de la fronde Fillon. Sinon sa ténacité serait fuite en avant inconsidérée.
Les deux autres qu’on a
Étudions maintenant un peu les deux autres qu’on arbore, si le bore, métalloïde dur et noir avait ici la moindre utilité.
Ben Hamon, fils de Mammon, est un Hollande lifté. Rappelez vous, le hideux Hollander volant qui fut le Nafissatou de la Phynance. On retrouvera la lettre Phi dans un instant.
Issu du plus répugnant « gouvernement » que la France ait jamais eu à supporter, il en garde à jamais l’odeur, la caque sent toujours le hareng.
Ce Rose doit se raser cinq fois par jour pour ne plus avoir les joues bleues, la Gestapo féministe apprécie ce désir de peau lisse.
Sa porte-parole, Laura Slimani, psalmodie la litanie classique contre les vieux mâles blancs !
Le maire de Montpellier, Philippe Saurel, étant passé chez le Macron, Slimani se réjouit dans un touit de voir « un autre vieux mâle blanc libéral en moins » dans le camp du « candidat féministe » Hamon.
Un peu réprimandée pour ce touit banalement féministe, Slimani a répondu avec brio : « Dire actuellement que les responsables politiques de notre pays sont majoritairement des hommes, blancs, de plus de 50 ans, libéraux est malheureusement la stricte réalité. (...) Qui peut prétendre que cela représente la société française ? Qui peut prétendre que ce n’est pas le fruit d’une histoire de discriminations raciales, sexuelles et sociales ? »
Elle a aussi du nez la porte parole, car dit-elle : « Malheureusement, dès que l’on parle de discrimination, cela déclenche des réactions nauséabondes. »
Où va-t-elle chercher des mots pareils ? Si bien senti !
En dehors de l’éradication olfactive des mâles blancs, le programme de Hamon c’est cannabis pour tous, et revenu universel pour se le payer.
Et depuis que la candidature unique avec le Mélenchon est à jamais révolue il feint d’être aussi pour l’abrogation de la Loi Valls-Komhri.
Le Sénateur Mélenchon, qui fait de l’abolition de la loi El Khomri l’axe de sa campagne, possède un petit côté out of the system, qui, bien que factice, nous le rend moins émétique que le Hamon.
Il dit être en marche vers la Sixième Ripoublique, dont il deviendrait le Général de gauche ! Mystérieusement son signe est celui de la philosophie.
Par ce φ, il propose aux travailleurs d’aller se faire mettre une démocratie chez les Grecs. Comme Alexis Tsipras avec Syriza ?
C’est un faux Lion, mais un vrai Bichon le Mélenchon.
Il porte le dévoiement du φ, qui est le signe du Nombre d’Or, mais deviendra celui du Golden-Boy.
Son refus obstiné d’une candidature inique avec Ben Hamon prouve qu’il est en Marche pour l’Employé de Rothschild. L’Humanité du 9 mars fustigeait ceux qui voudraient « voter Emmanuel Macron dès le premier tour comme si on était déjà au second » ! Un peu patience quand même ! Au premier tour il faut quelques miettes pour Notre Sauveur Suprême !
Marine Le Pen
Marine Le Pen ne les dépasse pas seulement par la taille mais aussi par la stature politique.
Preuve cette émission de politique infantile [1] dans laquelle, seule, elle refusa de se commettre.
Devant l’entendement à peine ébauché de petits enfants, les 4 autres se sont déshonorés davantage, s’il se peut.
Et comme il fallait s’y attendre le préféré des tout-petits fut le fringant employé de banque, jeune et dynamique, chou-chou des organisateurs de l’émission.
Pendant ce temps Marine Le Pen jouait dans la cour des grands :
Cette farce électorale va déboucher sur une situation rien moins que farce.
Le suffrage universel c’est le droit pour les exploités de choisir « une fois tous les trois ou six ans quel membre de la classe dirigeante va les représenter et fouler aux pieds le peuple au Parlement » écrivait Marx.
D’où la logique inévitable du droit de vote des dames, puisque les critères deviennent de plus en plus des critères de séduction personnels – personnaliser la politique pour dépolitiser les personnes en lice.
Eh bien, je vais vous dire, puisque tout le monde porte son petit féminisme à soi,
Il y aurait un féminisme idéal, un idéal du féminisme, en dehors des faits et gestes des féministes, en dehors du féminisme institué, qui serait intrinsèquement bon. Ainsi tout le monde porte son petit féminisme à soi, sa petite idée du féminisme ; dans féminisme il y a féminin, c’est donc qu’il doit bien contenir une part aimable, une défense des femmes, de la « condition de la Femme », n’est-ce pas ? Prendre le mot pour la chose. [2]
Dans ce cas, moi, féministe absolument, je vais voter pour la seule femme qui pourrait les battre ceux qu’elle dépasse d’une tête.
Tout le monde, tout ce qui compte dans le monde qui compte, prévoit un duel final Marine-Macron.
L’Élection du MacrON serait la fin de tout. À dater de ce moment le désespoir en politique serait d’une lucidité absolue.
Si Marine était l’élue, ce ne serait pas un dénouement mais un commencement.
Les plus grands combats seraient alors devant nous.
La Théogonie récente, récit mythologique d’une sodomie, ne fut qu’une répétition générale, un exercice de simulation des exactions à venir de la cinquième colonne immigrée. À cette occasion les bandes supplétives attifées en antifa en ont profité aussi pour s’exercer.
Pour nous, à ce moment là, il nous faudrait impérativement devenir « plus fort, plus méchant, plus profond. »
— « Plus fort plus méchant plus profond » ? demandai je effrayé._ Oui, répéta-t-il, plus fort, plus méchant, plus, profond ! »_ Et le dieu tentateur souriait de son sourire alcyonien, comme si il venait de dire une gentillesse. [3]
Plus fort, plus méchant, plus profond que « le mâle blanc » ordinaire comme l’est Don Juan dans L’Enfer de Don Juan , livre trop fort, trop méchant, trop profond pour être lu par des domestiques.
Comment pourraient-ils le supporter ?
Comment un organisme d’herbivore pourrait-il le digérer ?
Ne manquez pas L’Enfer de Don Juan, chez Kontre Kulture :