L’enfant ne participe pas à la transmission du covid. L’aggravation des brimades sanitaires des enfants sera inefficace et dangereuse. Le masque prolongé est toxique et les injections géniques inefficaces et dangereuses.
Pour élargir leur marché et pousser à la vaccination des enfants qui ne peuvent en espérer aucun bénéfice, les marchands de vaccins et leurs complices prétendent que l’enfant est facteur de transmission de la maladie et instrumentalisent l’amour des enfants pour leurs grands-parents. « Vaccinez-vous pour ne pas risquer de contaminer papy et mamie. »
Ils n’ont pas hésité à les effrayer en montrant à la télé une fiction montrant une grand-mère dans un lit de réanimation « parce que son petit-fils lui a rendu visite une semaine auparavant sans être vacciné ».
Pour accréditer cette fable certains propagandistes des pseudo-vaccins (comme K. Lacombe ou Jean Castex), ont même accusé publiquement leurs enfants d’être à l’origine de leur maladie pour ne pas reconnaître que la vraie responsable est l’inefficacité des deux injections qu’ils ont reçues.
Propagande doublement mensongère car l’enfant ne constitue pas un vecteur de contamination significatif et qu’en plus les pseudo-vaccins anti-covid sont incapables de protéger des contaminations.
L’enfant atteint est habituellement contaminé par ses parents.
Les enfants sont moins sensibles à la contamination par le SARS-CoV-2 mais peuvent être atteints. Lors de la première vague, les enfants et adolescents de moins de 19 ans représentaient seulement 1 % des cas anglais et 2 % et des cas de covid recensés dans le monde. Les moins de 15 ans représentent 1 à 5 % des cas des grandes séries internationales publiées. [1] [2] [3]
Au début de l’épidémie, les chaînes de contamination étaient beaucoup plus faciles à analyser car l’incidence dans la population était faible, minorant le risque d’un contact infectieux méconnu. Pour cette raison nous avons focalisé nos recherches sur les enquêtes épidémiologiques des premiers mois de l’épidémie, beaucoup plus probante que les tentatives d’analyses tardives lorsque l’incidence de la maladie était élevée.
L’origine familiale de la contamination des enfants est retrouvée dans la quasi-totalité des cas. La transmission se fait essentiellement par voie aérienne dans des locaux petits et peu aérés mais peut aussi utiliser le contact des surfaces contaminées en particulier des chambres et salles de bain partagées par les membres d’une même famille lors de l’isolement d’un malade au domicile familial que ce soit en Corée [4], à Singapour [5] ou en Chine [6] [7] [8].
Madewell ZJ. [9] Dans sa méta-analyse de 54 études regroupant 77 758 patients conclut :
« les environnements intérieurs surpeuplés, tels que les ménages, sont des environnements à haut risque pour la transmission du coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SARS-CoV-2). Étant donné que les personnes suspectées ou confirmées d’infection sont référées pour être isolées à domicile, les ménages continueront d’être un lieu important de transmission du SRAS-CoV-2. »
La contamination quasi exclusive des enfants par des contacts familiaux suggère que l’activité scolaire, diminuant le temps passé à domicile, est ainsi susceptible de diminuer le risque de contamination des enfants.
Les enfants ne contaminent pas les autres
Au 3 décembre 2021 la recherche sur PubMed avec les items « Children Covid transmission » fait apparaître une liste de près de 2 800 articles qui tous démontrent spécifiquement l’extrême rareté de la transmission du Covid par les enfants.
Quelques articles, écrits par des auteurs qui ne traitent pas de malades et très repris par les médias accusent les enfants d’être responsables de la propagation de l’infection sans présenter de faits avérés. Il s’agit le plus souvent de virologues ou de mathématiciens très liés aux fabricants de vaccins ou aux organismes responsables des campagnes de vaccinations qui ne traitent pas de patients et se basent sur des résultats de laboratoires ou des simulations fausses pour suggérer que les enfants pourraient contaminer autrui.
Leurs conclusions, le plus souvent prudemment écrites au conditionnel, sont diffusées par les médias à l’indicatif et présentées comme des preuves pour amplifier la peur. Revenons au monde réel.
Après 20 mois d’épidémie, et plus de 262 millions d’infectés comptabilisés par l’OMS seuls quelques cas (moins de dix) de transmission du virus par un enfant infecté ont été rapportés.
Plus de 20 études épidémiologiques dans une dizaine de pays (dont au moins 4 en France) ont recherché opiniâtrement des contaminations à partir d’enfants de moins de 18 ans : aucune n’a pu mettre en évidence un seul exemple réellement probant.
– L’étude de l’Inserm [10] est très démonstrative. L’enfant des Contamines, premier cas infantile français, infecté par un adulte revenant de Singapour, a été en contact, alors qu’il était malade, avec 172 personnes dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club. Il n’a contaminé personne, ni même les deux autres enfants de sa fratrie.
– L’étude de l’institut Pasteur [11] a porté sur 1 340 personnes de la région de Creil, dont 139 infectées. Parmi 510 enfants, ils en ont identifié trois qui étaient infectés au moment où les écoles étaient encore ouvertes. Aucun de ces trois enfants n’a contaminé quiconque, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.
– L’étude Coville [12], du groupe Activ (Association clinique et thérapeutique infantile du Val-de-Marne) dirigé par le professeur Robert Cohen, vice-président de la Société française de pédiatrie, a porté sur 605 enfants, de la naissance à l’âge de 15 ans, conclut : « sans histoire de covid parental, l’enfant n’a rien. »
Fabienne Cahn-Sellem, membre du bureau de l’Association française de pédiatrie ambulatoire précise :
« Concernant les enfants de moins de dix ans, nous nous appuyons sur les études qui ont déjà eu lieu. Selon l’étude Covid, pour laquelle nous avons fait 500 prélèvements, les enfants ne se contaminent pas entre eux et ne contaminent pas l’adulte. C’est dans l’autre sens : ce sont les adultes qui contaminent les enfants. L’école, les crèches, ont continué pour les enfants de soignants. Or nous n’y avons pas plus d’infections. » « si un enseignant contamine l’enfant, l’enfant n’est pas contaminant. » [13]
L’absence de contamination à partir des enfants a été également constatée aux Pays-Bas [14], en Irlande [15], en Australie [16], en Finlande [17], en Grèce [18], en Corée du Sud [19], à Singapour, en Israël [20].
En Angleterre Ladhani et al. responsables de l’analyse de la première vague de l’épidémie concluent : « nos résultats fournissent des preuves supplémentaires contre le rôle des enfants dans l’infection et la transmission du SRAS-CoV-2. » [21]
Benjamin Lee et William V. Raszka confirment dans la grande revue pédiatrique américaine : transmission du COVID-19 et enfants : « L’enfant n’est pas à blâmer. » [22]
L’aggravation des protocoles sanitaires imposés aux enfants n’a donc aucune chance de limiter la diffusion de l’épidémie, aucune justification. Ces brimades inutiles obèrent la qualité de l’enseignement, leur bien-être et leur santé physique et psychologique.
Par rapport aux adultes, l’incidence et la gravité de la maladie du Covid-19 sont très faibles chez les enfants, et leur rôle dans la propagation de la maladie est infime.
Par conséquent, pour justifier la vaccination des enfants, les pseudo-vaccins Covid-19 devraient avoir une sécurité et une efficacité pleinement démontrées dans la prévention, non seulement des complications mais de la transmission. Ce qui est contraire aux faits scientifiquement établis en décembre 2021.
Si nos dirigeants voulaient vraiment stopper l’épidémie de cas, ils devraient encourager les traitements précoces (qui ont fait leurs preuves comme les antipaludéens en Afrique tropicale) des malades cliniques et les traitements préventifs des personnes en contact prolongé et direct, ou l’ivermectine en Inde, et abandonner la politique du « tout pseudo-vaccin » actuellement inefficace. [23]