« Panthéonisée » par Emmanuel Macron le 30 novembre 2021, la danseuse américaine Joséphine Baker est devenue « la première femme noire à rejoindre le temple républicain ». Mais derrière la première couche de vernis progressiste féministo-antiraciste, que découvre-t-on ?
L’idée viendrait de ce grand défenseur de la laïcité et de la franc-maçonnerie qu’est Régis Debray (qui « a un grand-père juif » selon Wikipédia) et l’initiative serait de l’essayiste Laurent Kupferman, juif et franc-maçon, auteur de nombreux livres sur la franc-maçonnerie écrits en collaboration avec l’avocat Emmanuel Pierrat (qui est lui très lié au lobby LGBT, pour ne pas dire plus ; il est notamment l’ancien avocat de Pierre Bergé)...
Joséphine Baker doit sa nationalité française à son troisième mariage (premier mariage à 13 ans, second mariage à 15 ans), celui qu’elle fait à l’âge de 31 ans avec Jean Lion (de son vrai nom Jean Lévy), un industriel et courtier de 27 ans qui a fait fortune dans le sucre raffiné...
Durant les trois années de leur union, Joséphine Baker se convertira au judaïsme. Si cette « conversion de pure forme n’a pas duré », Joséphine Baker gardera un profond attachement « au sort des juifs » et à Israël. Elle s’engagea d’ailleurs auprès de la LICA (Ligue internationale contre l’antisémitisme), ancêtre de la LICRA...
En 1960, Joséphine Baker est initiée au sein de la loge maçonnique « La Nouvelle Jérusalem » de la Grande Loge féminine de France. Elle en sera radiée en 1964 pour « défaut de paiement »...
Joséphine Baker était bisexuelle. Parmi ses amantes célèbres figurent l’écrivaine française Colette ou encore Frida Kahlo. [1]
Bref, on est loin de l’émancipation !
Joséphine Baker, c’est encore i24news qui en parle le mieux !