Ce jeudi 2 décembre, L’Heure des pro-vaccination recevait Christian Vélot, enseignant-chercheur, biologiste spécialiste de génétique moléculaire, bien connu des milieux proches de l’écologie pour sa lutte contre les OGM. Il expose ici ses réserves sur les "vaccins" de dernière génération, à savoir les mieux nommées injections d’ARN messager (ou ARNm). Une position qui lui a valu d’être indésirable partout où la censure peut s’exercer.
Mais ne nous y trompons pas, il y a la censure traditionnelle, reconnaissable par tous, et celle qui invite sans laisser parler et en s’indignant des propos tenus. La lourdeur et l’incompétence de ces demi-intellectuels ne trompent guère, cependant. Ou quand la faculté rencontre le café du commerce. Pour la prochaine fois, on conseille à monsieur Vélot le café des sports, il y rencontrera à coup sûr plus de bon sens. Et peut-être même des gens qui lui apporteront la contradiction là où il y a lieu…
« Je ne suis pas vacciné, parce que je considère qu’il est de la responsabilité collective des personnes qui ne sont pas vulnérables vis-à-vis des vaccins [du virus, NDLR] de ne pas se faire vacciner. Aujourd’hui, on nous dit "les personnes qui ne sont pas vaccinées sont des égoïstes qui ne pensent pas à la collectivité. […] Parce que le propre d’un virus, c’est de varier, de muter ou de recombiner pour échapper au système immunitaire. Et évidemment, comme c’est pour échapper au système immunitaire, plus il y a d’entraves lors de la multiplication du virus – des embûches, des anticorps –, plus il va essayer de les esquiver, plus on va générer de variants. Si vous avez une population non vaccinée, le virus va circuler et les gens vont le choper ; alors évidemment si ça donne nue maladie grave il faut faire quelque chose, mais si les gens ne sont pas fragiles, ils vont développer leur immunité naturelle. Si on a une vaccination digne de ce nom, c’est-à-dire un vaccin qui anéantit le virus, qui le bloque, pas de problème de faire une vaccination massive, aucun problème, mais lorsqu’on a un vaccin aussi imparfait que ceux qu’on nous propose, devrais-je dire ceux qu’on nous impose, qui sont les vaccins génétiques aujourd’hui, qui ne protègent ni de la contamination ni de la contagion, donc qui laissent circuler le virus, […] donc si on fait une vaccination massive avec un vaccin qui laisse circuler le virus, on se place dans des conditions d’émergence et de sélection de virus variants. »
La vidéo commence automatiquement à 22:56 ; l’entretien avec le généticien prend fin à 46:22.