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Jean-Michel Vernochet sur la Grèce et l’actualité européenne

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11 Commentaires

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  • #1101801
    Le 25 janvier 2015 à 20:12 par Philippe - Nice
    Jean-Michel Vernochet sur la Grèce et l’actualité européenne

    le nom de la devise a adopter n’est-il pas un faux debat ... ? ... dussions-nous meme conserver l’Euro dans une "europe" des nations qui ne soit plus infeodee au dictat FMI-UKSA, l’objectif doit etre la souverainete monetaire et l’annulation des dettes dites "publique" ... oui/non ?

     

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    • #1101870

      La dette publique en France est souscrite indirectement par les épargnants français.

      Ils risquent de ne pas être contents de ce programme politique.

       
    • #1102077
      Le Janvier 2015 à 07:40 par bravo l’islande
      Jean-Michel Vernochet sur la Grèce et l’actualité européenne

      je cite : " dussions-nous meme conserver l’Euro dans une "europe" des nations qui ne soit plus infeodee au dictat FMI-UKSA"
      Comment croire qu’une construction pensé , organisée , financé par les USA puisse être transformé en "un machin " non inféodé aux élites oligarchiques mondialistes qui sont pour la destruction des nations , dont la nation France . La nation qui théoriquement "protége " son peuple par des dirigeants " non corrompus " aux pouvoirs bancaires . La souveraineté monétaire OUI l’annulation des dettes OUI puisque ceux qui ont a perdre le plus d’une annulation de la dettes , ce n’est pas " le petit épargnant avec son livret A ou son assurance vie placé dans les produits financiers toxiques ( il se fera plumer d’une façon ou d’une autre ) mais les grands financiers . Pour cela , il faut un éveil des citoyens endormis par les mensonges constamment martelés suret par les médias alignés et une sortie au plus vite de l’UE de l’euro et de l’OTAN ,puist supprimer (en autre ) la lois du 3 janvier 1974…Même si cela créera des difficultés économiques , cela est le prix a payer pour ne pas subir l’explosion de l’UE et de l’euro qui seras autrement plus destructeur pour notre pays et son peuple .

       
  • #1101805

    Rien d’étonnant, l’europe est tellement haie des peuples que c’était prévisible.....
    On nous a vendu l’europe soi-disante "protectrice"dans les années 90, qui nous dissocierait de la mondialisation financière, alors que c’est sous la férule des US que l’économie s’est totalement déregulée, notre continent étant devenu une simple caisse enregistreuse de l’empire américain.
    Notons que Tsipras a bien spécifié qu’il ne sortirait pas de l’euro, ce qui laisse perplexe sur sa marge de manoeuvre......je le vois mal régler son compte aux banques........

     

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  • #1102116
    Le 26 janvier 2015 à 09:35 par anonyme
    Jean-Michel Vernochet sur la Grèce et l’actualité européenne

    Je ne connaissais pas celui qu’on croit devenir ministre des finances grec mercredi prochain, le sieur Yanis Varoufakis !
    je me suis tapé une de ses conférences, ca va vous plaire, il est des notres et pas content, pourrait-on dire : https://www.youtube.com/watch?v=A3u...

    Ce type la, si on le nomme vraiment, risque bien de d’etre un sacré baton dans les roues de la Troika !

    Il me donne beaucoup d’espoir mais je crains evidemment pour sa vie ! A ce niveau la, on rigole pas.

    J’espere que les francais seront solidaires des grecs meme quand on va nous chanter que c’est nous qui payions le trip de ces "faineants de marchands de kebab".
    Ce qu’on a payé surtout, ce sont les trips de Rothschild, JP morgan et goldman sachs, la vraie BANCO-CRATIE qui nous tue.

    Bientot Varoufakis VS Moscovici ! choisis ton camps camarade ;)

    Vive la Gréce, Vive les grecs, vive la France !

     

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  • #1102128
    Le 26 janvier 2015 à 10:01 par nicolasjaisson
    Jean-Michel Vernochet sur la Grèce et l’actualité européenne

    Il manque une analyse économique dans cet exposé qui reprend les grandes lignes des discussions politiques, mais fait fi des réalités économiques de la Grèce qui constituent pourtant l’arrière-fond des négociations concernant la dette publique grecque. Le parti Syriza prétend à la fois reprendre les programmes de dépenses publiques, sous la forme de l’embauche de fonctionnaires et de rétablissement des prestations sociales tout en dénonçant tout ou partie de la dette accumulée par l’Etat grec. Il y là comme une ambiguïté fondamentale, dans la mesure où il est impossible de conserver le même niveau de dépenses non productives, tout en refusant les obligations financières en découlant. La moindre des cohérences, lorsqu’un Etat veut se passer du financement par les marchés est de mettre en face de ses dépenses de nouvelles ressources financières autres que la dette. En l’occurrence, il s’agirait de remplacer le financement par la dette par le financement par les revenus du capital privé, autrement dit au lieu d’hypothéquer la richesse privée inexistante par l’émission de dettes, l’Etat grec reconstituerait les capacités productives du pays en facilitant la création d’entreprises et le développement d’un tissu de PME industriels adaptées aux besoins de l’économie grecque. Or de cela il n’est pas question, puisque Syriza veut poursuivre la politique engagée ces trente dernières années par le Pasok en pratiquant une politique de relance par l’offre monétaire passant par l’emballement des dépenses publiques et par une augmentation des impôts sur les entreprises et les hauts revenus. Certes il est louable de s’attaquer à l’oligarchie du grand capital accusée de faire le jeu des banquiers et de Bruxelles, mais encore faut-il se doter des moyens de sa politique, c’est-à-dire redonner du pouvoir économique et monétaire à la société civile en lui permettant de reconstituer son capital patrimonial confisqué au profit du capital financier et de l’oligarchie mondialiste depuis la fin de la monarchie dans les années cinquante. A l’époque la Grèce était encore un pays de négociants florissants entre l’Asie mineure et l’Europe qui animaient une foultitude de comptoirs commerciaux en Méditerranée de l’Est. C’est la perte de ces comptoirs commerciaux qui a entraîné la chute progressive de l’économie grecque satellisée dans la mouvance mondialiste. Gageons donc qu’une sortie de l’Euro n’est pas pour demain, car l’idéologie au pouvoir reste la même fondamentalement.

     

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  • #1102139
    Le 26 janvier 2015 à 10:21 par Renaud29
    Jean-Michel Vernochet sur la Grèce et l’actualité européenne

    Je remarque que pour Asselineau quand Cameron propose un référendum pour les calleque grecques et pour sortir de l’euro, c’est très bien ..... Quand le membre du parti grec a un discours au moins aussi ambigü que le FN sur le sujet .... c’est très bien aussi ...
    En fait pour Asselineau c’est toujours très bien sauf quand il sagit du FN, quoi qu’il dise. Vous prenez le parti grec et mettez bout à bout les déclarations, vous pouvez obtenir un article du genre "le FN ne veut pas quitter l’euro à la Asselineau, mais pour les grecs ...
    C’est quand même bizarre cette obsession du FN !!!! Pourquoi ce qui est valable pour le parti grec n’est plus valable pour le FN ? A quoi jouez-vous Monsieur Asselineau ?

     

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    • #1102987
      Le Janvier 2015 à 05:18 par Jojo l’Afreux
      Jean-Michel Vernochet sur la Grèce et l’actualité européenne

      https://www.facebook.com/notes/fran...
      L’UPR a pris contact avec le parti grec contestataire à l’occasion des élections Européennes. Syriza est l’équivalent Grec du PS. Les Grecs avait la chance d’être dirigé par une sorte de Sarkozy grec (agent des intérêts américains) et ils ont préféré le virer pour mettre à la place le PS en pensant que ça changerai les choses. Ils ont déjà eu des affaires Méric sous Sarkozy, mais la il faut qu’il s’attendent à avoir droit au mariage homo et à l’explosion des taxes foncières (qui partent de 0 en Grèce, il y a de la marge). Si vous ne me croyez pas vous noterez les similitudes indéniable : monsieur le nouveau premier ministre est allé à la City pendant sa campagne pour les rassurer en leur avouant qu’il n’était pas sérieux ! :)

       
  • #1102212
    Le 26 janvier 2015 à 12:23 par Fin Euro
    Jean-Michel Vernochet sur la Grèce et l’actualité européenne

    D’après Jacques Sapir, 2015 sera l’année de la disparition de l’euro. Pour la France, cela provoquera d’après lui une croissance de 5% 1 an après puis de 5,7% 2 ans après. L’Allemagne quant à elle sera en récession pendant deux ans.

     

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  • #1102285
    Le 26 janvier 2015 à 14:14 par Raynie
    Jean-Michel Vernochet sur la Grèce et l’actualité européenne

    J’apprécie beaucoup les analyses de M. Vernochet, merci.

     

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  • #1102309
    Le 26 janvier 2015 à 14:56 par Miville
    Jean-Michel Vernochet sur la Grèce et l’actualité européenne

    Les socialistes marxistes où qu’ils prennent le pouvoir trahissent toujours par principe tous les espoirs suscités à dessein chez les idiots utiles qui les élisent. Syriza promet la fin de l’austérité bancaire tout en gardant l’euro et une union européenne à ramener à sa vocation originelle de protection des droits sociaux ? Bien, l’austérité s’accentuera de plus belle avec cette fois-ci un argumentaire de type soviétique russe (il ne pourra en être autrement car la véritable raison de la chute du niveau de vie grec est une crise de ressources due au changement climatique et à la fin des matières premières d’extraction facile, et frappant en premier lieu les pays les plus limitrophes et récemment entrés dans l’empire : les populations ne veulent pas entendre cela et le système capitaliste préfère vendre toujours plus d’espoir en faisant croire que les empêcheurs de jouir sont de sombres vilains issus de ses propres rangs), l’euro sera abandonné au profit d’un drachme entièrement émis par la banque Goldman Sachs (qui émet déjà intégralement plusieurs monnaies, dont par exemple la gourde haïtienne depuis qu’elle existe), et l’unité de l’Europe commencera à se défaire dans le sens d’une balkanisation au profit de nouvelles petites nations ayant pour base les mafias et non les peuples. La Grèce avec Syriza sera offerte en proie littéralement à l’invasion africaine et islamique la plus directe, et peut-être même annexée au califat de l’Isis ou encore réunie à la Turquie, car pour un parti socialiste digne de ce nom le peuple local est toujours ce qu’il y a de plus malodorant, il faut toujours dans la mesure du possible appeler le premier pays envahisseur disponible pour le mater. Les socialistes russes eux-mêmes comptèrent le plus longtemps possible sur le bloc allemand pour annexer leur pays, quand la révolution allemande eut échoué ils firent l’URSS en désespoir de cause ; plus tard les socialistes français de Blum mirent en place le régime de Vichy et ceux de Mitterrand, désolés que l’URSS ne fût plus à la mesure de leurs attentes pour envahir leur pays et le soumettre à son austérité, se chargèrent de mettre fin à la générosité de l’état français dans le cadre de l’alliance atlantique reconduite. Même le socialisme suédois, si humaniste et modéré de réputation, n’a finalement bien payé son peuple que le temps de l’embrigader dans une entreprise de destruction morale, nationale et raciale devant servir de modèle à tout le nouvel ordre mondial.

     

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