Monsieur Soral,
Je me permets de me présenter : j’ai trente ans, diplômé d’un master 2 en histoire et archéologie, je suis passionné de géopolitique, et suis catholique pratiquant mais pas du tout vaticaniste.
Comme vous, je suis un petit bourgeois déclassé mais contrairement à vous, je n’ai jamais été marxiste mais davantage maurassien et appréciant la figure de Jean-Marie Le Pen.
Si je vous écris, c’est humblement pour vous dire un grand MERCI !
J’étais déjà un extraterrestre partout où je me rendais, mais après vous avoir découvert, suivi et lu, j’étais moi aussi devenu un monstre, un imbécile et un manipulé aux yeux des autres. Bizarrement, après un vent de tempête, de tout cela est ressorti que je suis mieux renseigné et bien plus heureux. La raison en est simple : vous avez permis que je comprenne mieux le monde dans lequel nous vivons. Cela n’a pas de prix.
Merci car contre vents et marées vous continuez, droit dans vos bottes, confiant dans la justesse de votre combat, à nous instruire grâce à votre sagacité et au professionnalisme de vos équipes.
Merci car malgré la lâcheté et la pusillanimité de vos ennemis (qui sont aussi les nôtres puisque ennemis de la France), vous persévérez.
Ce n’est pas du léchage de pied en règles mais sachez-le : un jour, la France vous érigera des statues. Comme nous le ferons pour tous ceux qui permettent la victoire de la Justice et de la Vérité en ce bas monde.
Comme dans le sketch des Inconnus, « Ne réveillez pas les couilles d’un flic qui dort », je pense que vous êtes un mec « qui a des couilles » ! Vous excuserez, je l’espère, la familiarité de mon ton mais vous ayant croisé à maintes reprises, je pense que vous ne serez pas homme à vous offusquer de mes propos.
Je prie Dieu tous les jours de vous garder, vous, Dieudonné, Hillard, Sigaut, Atzmon, Cohen (Jacob, et non Patrick), les gens avec lesquels vous travaillez, dans sa sainte et glorieuse garde.
Merci encore, Monsieur Soral, et que vienne le règne du Christ-Roi !
M.