Un grand bonjour à tous,

J’ai longtemps hésité à vous contacter, ne sachant pas si l’expression de mon soutien vous était nécessaire.

J’aime ce monde pour ce qu’il a de plus beau à offrir, par là je parle de sa diversité, de ses paysages et surtout de cette sensation inqualifiable qu’il nous procure dans la prise de conscience de son infinité, partant du fait que jamais nous ne saurons tout de lui. Par ce monde, l’Humanité a créé des sciences et des arts dont découlent une exaltation des sens difficilement descriptible par le langage, qui, comme les sciences et les arts, devrait être en constant progrès.

Seulement, l’Humanité se croit aujourd’hui immuable et dégénère.

Un sentiment de malaise me prenait en découvrant peu à peu la façon dont le monde fonctionnait et je ne savais plus dire si la société ne tournait pas rond ou si j’étais différent ou anormal de ne pas m’extasier devant le soit-disant merveilleux chemin qui se profilait vers l’avenir.

Ainsi, j’ai découvert un homme chauve sur un canapé rouge en train de refaire le monde comme j’avais l’habitude de le faire en étant saoul avec mes plus proches amis, je n’ai pas pu m’empêcher d’en rire, c’était vous, M. Soral.

Cependant, au fur et à mesure des entretiens je comprenais à quel point ces analyses étaient parfaitement révélatrices quant aux causes des symptômes que ce monde présentait. L’homme sérieux était sur un canapé rouge surveillé par une figurine de bulldog alors que de tristes clowns régissaient ce monde tordu et crachaient leur propagande sur la France entière dans de beaux locaux médiatiques.

Grâce à vous M. Soral, j’ai su faire les liens permettant la compréhension de ce système, j’ai su distinguer clairement les maçons qui érigeaient le plus grand mur que l’Humanité n’ait jamais vu entre l’Homme et la Vérité, ainsi, entre l’Humanité et son salut. Grâce à vous, moi qui n’avais jamais trouvé un humoriste actuel drôle, j’ai découvert Dieudonné.

Un conte chrétien que j’apprécie particulièrement raconte, d’après ma mémoire, ceci :

« Quatre bougies brillent dans une église alors qu’un enfant y entre. Trois d’entre elles se mettent à parler. La première : “Je suis la bougie de la paix et je ne saurais briller plus longtemps car la paix est morte ici bas.” Elle s’éteint. La seconde parle à son tour : “Je suis la bougie de l’amour, et voyons-le bien, l’amour n’est plus vrai.”. Elle s’éteint. Enfin la troisième : “Je suis la bougie de la foi et comment pourrais-je briller dans un monde où l’homme ne croit plus ?” À son tour cette troisième bougie s’éteint et l’enfant éclate en sanglots car la paix, l’amour et la foi semblent morts. Alors la quatrième bougie, qui s’était tenue silencieuse, demande : “Pourquoi pleures-tu, mon enfant ?” L’enfant répond : “Ne vois-tu pas que les trois bougies ne brillent plus ?” La bougie brille de mille feux : “Ne t’inquiète pas, tant que je serai allumée, tu sauras toujours ressusciter la flamme qui animait les trois autres !” L’enfant, rassuré, prend cette quatrième bougie et, une à une, rallume la bougie de la foi, de l’amour et de la paix. L’enfant interroge : “Mais qui es-tu, toi ?” La bougie, humble, répond : “Je suis la bougie de l’espoir !” »

Cette quatrième bougie ne doit jamais s’éteindre ! Vous, M. Soral, ainsi que Dieudonné, êtes un feu lui permettant de briller. Vous êtes justes et intègres, et quiconque doté d’un minimum d’intuition comprendra que vous l’êtes ! Bien plus que cette classe politicarde hypocritement bien-pensante et ces banksters pourris, gangrenés et purulents.

J’ai pris la décision d’envoyer ce message pour vous dire de rester prudents alors que les événements semblent s’accélérer et qu’il faut parfois savoir se retirer temporairement plutôt que de prendre des risques. La patience paie toujours.

Sachez que vous pouvez être fier de l’impact que vous avez eu sur l’avenir même de la France, sa jeunesse, dont je fais partie. De même cette jeunesse doit être fière d’être votre compatriote ainsi que de subir le « progrès » et la « modernité » de ce 21ème siècle avec vous. Je ne saurais parler pour tous, mais personnellement, je ne supporterais pas que vos familles soient mises en péril plus encore, quand bien même pour les plus belles causes qui soient, ces causes que vous savez défendre avec honneur : la vérité, la justice et la liberté.

Avec un profond respect, j’admire votre courage, vous présente mes remerciements les plus sincères et vous salue.

A. B

D’après les médias, sûrement un autre de ces jeunes, incapable de réfléchir pour être de ceux qui vous soutiennent. Dans ces conditions, il s’avère difficile de passer l’épreuve de la question de contrôle nécessaire à l’envoi du message.

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