1984 : chacun a le droit de trouver sa mode et son bon goût dans l’offre qui lui est proposée, au journal TV, on autorise un homme jeune beau et intelligent parler de ses grandes connaissances sur le sujet de la mode, prépondérant à l’époque, pour façonner sa propre personnalité. On aide pour ainsi dire "les parents" à avoir confiance en l’avenir pour leurs enfants. Autre sujet, plus difficile, le terrorisme juif en Israël. On dit la vérité aux gens, et on fait confiance en leur bon sens pour ne pas tomber dans "l’antisémitisme".
Depuis le 11 septembre 2001 : on inverse tout, et on fait parler des imbéciles sur des sujets qu’ils ne connaissent pas, et on ment en permanence sur qui sont "les terroristes." partout sur terre.
À l’époque on parlait des faits et on laissait le choix aux gens d’avoir peur ou pas , aujourd’hui on invente des faits et on impose aux gens d’en avoir peur . Et si par malheur quelques honnêtes gens pas encore lobotomisés bravent la peur du "terrorisme intellectuel imposé" alors on les fait rentrer dans la case "conspirationnistes" , afin que monsieur madame puisse encore avoir son bouc émissaire des maux de la société. Avant c’était les punks , les drogués, les dealers. Aujourd’hui ce sont les conspirationnistes.
Je me rappel encore que jusqu’à 2003, il était de bon ton d’être "pro- palestinien" dans les milieux populaires. Et puis les gens se sont retrouvés eux même palestiniens, et ont commencé à souffrir du syndrome de Stockholm...
On est donc passé d’une époque de bon sens commun, ou régnait certes aussi une certaine ignorance commune,
à une époque, extrêmement merdique, où tout le monde sait tout sur tout mais doit se méfier de son voisin, et même le dénoncer si il n’a pas l’air aussi con et hypocrite que "monsieur tout lmonde". (Surtout si il est blanc)
Alors merci Alain, grâce à toi on réalise bien chaque jour à quel point le monde à basculé dans la folie généralisée, et aussi à quel point "c’était mieux avant", quand monsieur madame tout le monde n’étaient pas encore devenus des terrorisés de leur propre pensée.
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