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Qui a maudit Michael Jackson ?

À l’occasion du 16e anniversaire de la mort du chanteur, nous publions cet article, augmenté d’un extrait d’une chanson créée par IA en 2025, Palestine, Don’t Cry, mais qui apporte de l’eau au moulin de la thèse défendue par Laurent Guyénot.

 

Selon cette source, Michael aurait enregistré cette chanson sur la Palestine en 1993, qui ne sera pas retenue par la major dans son album HIStory (sorti en 1995). Deux mois plus tard, les insinuations sur sa sexualité commençaient à diffuser dans la presse...

 

Oh Palestine, je mourrai pour toi...

[Je prierai pour toi,
Oh, Palestine
Oh, Palestine, je te porterai, oh, Palestine
Palestine, viens au fond de mon cœur
Je t’aimerai toujours
Palestine, ne pleure pas, je prierai pour toi,
Oh, Palestine, Oh, Palestine, Oh, Palestine
Dieu a une place pour toi, Oh, Palestine
Et, je crois en toi, Oh, Palestine, je mourrai pour toi.

Selon un internaute, cette chanson est bien une IA attribuée à MJ, mais ses ennuis avec les majors remontent à plus loin :

MJ never recorded this song but his issues with the J tribe stared in the 1980s. A J tribe member convinced MJ into all those facial surgeries (dating back to the 1980s), got him heavily into drugs (originally for counteracting pain stemming from the Pepsi commercial fire), the Chandlers were J tribe members, etc. MJ learned to connect the dots and realized who was at the feet of all of his troubles.

Traduction  : MJ n’a jamais enregistré cette chanson, mais ses problèmes avec la tribu J remontent aux années 1980. Un membre de la tribu J a convaincu MJ de subir toutes ces opérations du visage (qui remontent aux années 1980), l’a plongé dans la drogue (à l’origine pour soulager la douleur causée par l’incendie de la publicité Pepsi), les Chandler étaient des membres de la tribu J, etc. MJ a appris à relier les points et a compris qui était à l’origine de tous ses problèmes.

On le voit, chacun essaye de trouver les raisons du conflit entre MJ et les majors de la musique, liées aux médias mainstream. Laurent Guyénot apporte une explication plus factuelle.

La Rédaction d’E&R

 


 

La vidéo de Candace Owens, « Ce qui est vraiment arrivé à Michael Jackson », postée en septembre 2024, a rappelé l’immense influence de Michael Jackson (MJ) sur la communauté noire américaine, qui l’avait vu grandir depuis 1968 et voyait en lui beaucoup plus qu’un génie musical. Owens a aussi réactivé la controverse sur ses déboires judiciaires et sur sa fin tragique, en suggérant qu’il avait été victime d’un complot juif.

 

C’est ce que MJ avait lui-même suggéré dans les paroles de sa chanson They Don’t Care About Us, sortie en 1995, deux ans après les premières allégations d’attouchement sur des enfants :

« Jew me, sue me
Everybody, do me
Kick me, kike me
Don’t you black or white me. »

Kike est un équivalent péjoratif de jew, tous deux ici transformés en verbes ; sue signifie « poursuivre en justice ». Sony a masqué les mots offensants (jew et kike) par de gros sons de percussions, mais les paroles publiées sont restées non censurées, et la version originale peut encore être entendue sur YouTube.

 

 

Deux ans plus tôt, MJ avait été accusé d’avoir abusé sexuellement de Jordan Chandler, alors âgé de 13 ans. Il a été révélé plus tard que le père de Jordan, Evan Chandler, avait forcé son fils à faire ces allégations, et l’avait peut-être drogué pour cela. Un an plus tard, à l’âge de quatorze ans, Jordan demandera et obtiendra l’émancipation légale de ses deux parents.

Evan Chandler était un dentiste sanctionné pour fautes professionnelles, qui ambitionnait une carrière de scénariste pour Hollywood, et n’avait pas réussi à exploiter l’amitié de son fils pour MJ. En juillet 1993, il fut enregistré à son insu au téléphone par le mari de son ex-femme, expliquant, au sujet de l’avocat qu’il avait embauché pour détruire MJ :

« J’ai choisi le plus méchant des fils de pute que j’ai pu trouver. […] ça sera un massacre si je n’obtiens pas ce que je veux. […] ce type va détruire [MJ] de la manière la plus sournoise, la plus méchante et la plus cruelle qui soit. Et je lui ai donné les pleins pouvoirs pour le faire. […] La carrière de Michael sera terminée. […] Cet homme va être humilié au-delà de toute mesure. […] Il ne va pas croire ce qui lui arrive – au-delà de ses pires cauchemars. Il ne vendra plus un seul disque. […] Il y a d’autres personnes impliquées qui attendent mon coup de fil et qui vont intentionnellement occuper certaines positions. […] Tout se déroule selon un certain plan qui n’est pas seulement le mien. »

 

Par « si je n’obtiens pas ce que je veux », Evan Chandler entendait 20 millions de dollars, ce qu’il a fini par obtenir, même si MJ a été innocenté (MJ reconnaîtra plus tard avoir commis la pire erreur de sa vie en acceptant un règlement financier, ce qui a donné des idées à d’autres escrocs). Mais qu’entendait Chandler par « un certain plan qui n’est pas seulement le mien » ? De qui s’agit-il ?

Evan Chandler était juif (nom d’origine Charmatz). Le « plus méchant des fils de pute » qu’il trouva était l’avocat juif Barry Rothman, qui s’est associé au psychiatre juif Mathis Abrams pour monter le dossier. Une autre personnalité de confession juive s’est jointe au combat : Samuel Isaac Gordon, alors mari et manager de LaToya Jackson, la sœur de MJ, qui obligea LaToya à déclarer que son frère était un pédophile (elle avouera avoir menti).

Au début des années 1990, la presse commença à publier des articles très négatifs sur MJ, l’appelant « Wacko Jacko ». Il n’y avait pas de motivation commerciale à cette mauvaise presse, car l’image positive de MJ se vendait mieux que les critiques à son égard. Selon des journalistes cités par Monika Wiesak dans Michael Jackson : The Man, the Music, the Controversy, salir l’image de MJ était une politique éditoriale qui leur était imposée par les patrons de la presse. De toute évidence, certaines personnes puissantes avaient déclaré la guerre à MJ. Et de toute évidence, ces personnes avaient de l’influence, non seulement sur la presse, mais sur la justice et la police. Celle-ci interrogea près de trente enfants et leurs familles et environ deux cents témoins au total, enquêtant jusqu’aux Philippines et en Australie. Plusieurs parents se sont plaints que les policiers leur avaient affirmé que MJ avait abusé de leurs enfants, bien que ces derniers aient nié les faits. MJ a été soumis à une inspection à nu humiliante, pour photographier ses organes génitaux et ses fesses.

Il en fut très ébranlé, mais il s’est battu avec son album HIStory, qui inclut la chanson They Don’t Care About Us citée plus haut. L’un des clips de cette chanson le montre en prison, parfois menotté. Une autre chanson, Tabloid Junkie, traite de la manipulation des médias, qui le « torturent » et « crucifieraient le Seigneur s’ils le pouvaient ».

 

 

Bien que les enquêtes contre MJ n’aient débouché sur aucun chef d’accusation, les médias ont continué à le harceler. En 2003 fut diffusé le documentaire Living With Michael Jackson, réalisé par Martin Bashir, qui avait passé plusieurs mois avec MJ dans son ranch de Neverland, en Californie. En éditant les propos de MJ, ce film donne une image trompeuse de sa relation avec les enfants. Inspirés par l’exemple d’Evan Chandler, les parents d’un des enfants apparaissant dans le film, Gavin Arvizo, poussèrent celui-ci à accuser MJ d’attouchements. Ils étaient représentés par les avocats juifs William Dickerman et Larry Feldman, qui ont fait appel aux services du psychologue juif Stanley Katz. Le procès commença début 2005 et dura cinq mois, à l’issue duquel MJ fut déclaré totalement innocent. Gavin avouera plus tard que tout était faux.

Ce harcèlement judiciaire et médiatique eut de graves répercussions sur la santé mentale et physique de MJ, qui succomba le 25 juin 2009 d’une overdose de propofol, un dangereux anesthésique que lui administrait le docteur véreux Conrad Murray en guise de somnifère, MJ souffrant d’insomnie alors qu’il préparait une nouvelle tournée (Murray fut condamné pour homicide involontaire et passa deux ans en prison).

Il y avait dans cette guerre contre MJ un volet économique, car MJ était en conflit avec sa maison de disque Sony. En 2002, lors d’une rare apparition publique, il accusa l’industrie du disque d’exploiter les artistes noirs, citant le cas de James Brown et de quelques autres. On pense évidemment au cas récent de Kanye West, dénonçant lui aussi l’exploitation des artistes noirs par une industrie du divertissement dominée par des juifs américains. MJ était dur en affaires, et Paul McCartney en a fait l’expérience, qui avait confié à MJ vouloir racheter les droits des Beatles à Sony, et s’est fait doubler par MJ. Trump lui-même considérait MJ comme un homme d’affaires avisé, et l’on doit noter en passant qu’il l’a toujours défendu contre ses accusateurs.

Mais il s’agissait plus fondamentalement d’une guerre culturelle. MJ exerçait une influence positive sur les Noirs américains. Il avait déclaré à Oprah Winfrey, lors d’une interview mémorable en 1993 : « Je crois que tout art a pour but ultime l’union du matériel et du spirituel, de l’humain et du divin. Je crois que c’est la raison d’être de l’art. » MJ était en décalage complet avec l’esprit que les producteurs voulaient insuffler dans la culture noire américaine, à travers le rap notamment. Commentant la récente performance satanique de Sam Smith aux Grammy’s 2023, vue par des millions d’enfants, le neveu de Michael a tweeté :

« Qu’est-ce qui se passe dans notre monde ?!!! Des gens/organisations essaient d’annuler (cancel) quelqu’un qui a chanté “Heal the World”, “Man in the Mirror” et “We are the World”, mais ils sont d’accord pour que ce type, @samsmith, fasse ce lavage de cerveau satanique à nos jeunes... Non, merci. »

 

La chanson Heal the World véhicule un message certes naïf mais plein de bonté et d’espoir. Le clip vidéo montre des enfants de toutes origines (juifs et palestiniens entre autres) courant au milieu des soldats, qui déposent leurs armes. Dans Man in the Mirror, extrait de l’album Bad (1988), MJ nous exhorte : « Si vous voulez rendre le monde meilleur, regardez-vous et changez. » Et nous nous souvenons tous du single caritatif We Are the World (1985), écrit par MJ avec l’aide de Lionel Richie (ici la version démo originale de MJ), et interprété par quarante-quatre stars au profit de l’Éthiopie ravagée par la famine. Ce fut un phénomène mondial, qui marqua le point culminant de l’influence de MJ sur l’industrie musicale. Une influence qu’on peut proprement qualifier de spirituelle.

 

 

Michael Jackson a peut-être été détruit parce que ses refrains appelant à la paix et à l’unité n’étaient pas du goût des puissances qui capitalisent sur la division et à la violence. Sa bonté était dangereusement contagieuse. Et elle l’est toujours. Des millions de personnes l’aiment et le pleurent encore aujourd’hui. C’est probablement la raison pour laquelle les médias continuent de le vilipender. Début 2019 a été diffusé le documentaire télévisé calomnieux Leaving Neverland, basé sur les interviews de deux hommes adultes, Wade Robson et James Safechuck, qui affirment avoir été violés par MJ. Dans une sorte d’assassinat posthume, la presse a relayé ces accusations sans la moindre réserve, réclamant à cor et à cri l’« annulation » (cancellation) du roi de la pop.

Notons que, parmi ces voix se trouvait celle du rabbin Schmuley Boteach, auteur du best-seller Kosher Sex. En 2000, MJ s’était confié à Boteach, et en 2009, Boteach capitalisa sur la mort de MJ en se présentant comme son conseiller spirituel dans un livre basé sur les enregistrements de leur conversation, The Michael Jackson Tapes : A Tragic Icon Reveals His Soul in Intimate Conversation. Selon Dieter Wiesner, ex-manager de MJ, MJ avait rédigé à la fin de sa vie une liste de personnes qu’il soupçonnait de vouloir le détruire. Boteach y figurait aux côtés d’autres personnalités juives comme Uri Geller, qui avait présenté Martin Bashir à MJ. Boteach est aujourd’hui omniprésent sur la scène politico-médiatique (aux côtés de Robert Kennedy Jr. par exemple) comme défenseur d’Israël et pourfendeur d’antisémites. Il est probable que sa véritable fonction soit celle d’un maître-chanteur.

En fin de compte, la destruction de MJ a également été une démonstration de force. Le pouvoir qui règne en maître sur l’industrie du divertissement a prouvé que personne, fût-il le roi de la pop, ne pouvait le défier sans en payer le prix fort.

Il est important de se rappeler cette histoire d’un homme bon et innocent accusé de pédophilie, à la lumière des révélations d’aujourd’hui sur le rappeur P. Diddy (Sean Combs), dont la carrière de vrai pervers et maître-chanteur a été protégée pendant trente ans.

Détail troublant : on apprend que le chef de la sécurité de P. Diddy, Faheem Muhammad, que P. Diddy appelait son « nettoyeur », ayant « le pouvoir de faire disparaître les gens et les problèmes », avait assuré la sécurité de MJ durant les sept derniers mois de sa vie. Quatre jours avant sa mort, MJ demanda à Muhammad d’appeler l’infirmière Cherilyn Lee, qui l’avait mis en garde contre le propofol que lui administrait le Dr Murray. Lee a dit à Muhammad qu’elle serait là le 25 juin pour aider Michael, et qu’en attendant, Muhammad devait emmener Michael à l’hôpital immédiatement. Muhammad n’a pas emmené Michael à l’hôpital et a déclaré à la barre qu’il ne se souvenait pas de la demande de Lee.

Laurent Guyénot

 

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Le cas Kanye West

 
 






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17 Commentaires

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  • #3547178
    Le 25 juin à 10:11 par Sedetiam
    Qui a maudit Michael Jackson ?

    Comme il se trouve des cohanim à se faire absolutistes, voilà encore un Chandler homonyme à pondre des listes...

     

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  • #3547180
    Le 25 juin à 10:13 par RÉSISTANCE
    Qui a maudit Michael Jackson ?

    Je n’ai jamais cru un instant aux mensonges proférés sur MJ, ça ne collait pas, ça ne pouvait pas être lui quand tu connais l’artiste et son engagement profond et humain. Il a fait beaucoup pour aider les gosses JUSTEMENT parce qu’il a un cœur. Je suis heureuse de cet article qui honore sa mémoire et rétablit enfin la vérité. IL LE MÉRITE. Paix sur ton âme MJ. Je pense que nous devons également rétablir la vérité pour l’artiste PRINCE, assassiné également pour avoir dénoncé la vaccination ( mort de son fils) et les chemtrails. PRINCE parlait de JÉSUS CHRIST dans ces concerts. Paix sur son âme. Amen.

     

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  • #3547183
    Le 25 juin à 10:37 par Martin Gale
    Qui a maudit Michael Jackson ?

    Désolé mais là je ne mange pas de ce pain là. La chanson Palestine, prétendument écrite par Mickael Jackson est une IA. Je pourrais m’arrêter là, mais je vais argumenter un peu. Rien que le timbre de la voix est synthétique, avec les petites éclaboussures à peine audibles mais tellement caractéristiques de ce genre de création virtuelle. Que dire de la production ? la on est sur de la production low cost faite à l’arrière d’une voiture sur smartphone. Avec vocodeur a l’appui ?? Mickael avait pas besoin de ça. Bref C’est pas Quincy Jones quoi… ! Et alors concernant le style, je veux bien que The King of Pop ait été en avance sur son temps, voir visionnaire, mais la, mais c’est de la daube de 2020, Mickael c’était un peu plus raffiné que ça. C’est pas de la pop c’est de la merde comme dirait JpKopf ! Bref, a la rigueur qu’il ait écrit les paroles, pourquoi pas, et même ça c’est pas son style, mais pour le reste, c’est encore un narratif qui sert à noyer les vrais infos dans les fausses. Par pitié, apprenons à séparer le bon grain de l’ivraie… !

     

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    • #3547224
      Le 25 juin à 12:18 par JSAlma
      Qui a maudit Michael Jackson ?

      Non, ce n’est pas un fake, mais ce n’est pas une chanson officielle non plus.

      Michael Jackson a effectivement écrit un poème intitulé «  Palestine, Don’t Cry  » vers 1993, pendant les sessions de l’album History. Ce texte a été authentifié et vendu aux enchères en 2014. Donc, le texte est bien réel et de sa main.

      En revanche, il n’a jamais été enregistré en studio, et aucune version officielle chantée par MJ n’existe. Les vidéos audio qu’on voit sur YouTube ou TikTok sont souvent des fakes ou des reconstitutions avec l’intelligence artificielle ou des imitateurs vocaux.

       
  • #3547187
    Le 25 juin à 10:45 par Miles davis
    Qui a maudit Michael Jackson ?

    "1993 : Michael enregistre cette chanson sur la Palestine, qui ne sera pas retenue par la major...". Le business de la musique est comme le cinéma, les producteurs sont tous juif.

     

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  • #3547200
    Le 25 juin à 11:26 par NiVaxNiCharlieNiUkraine
    Qui a maudit Michael Jackson ?

    On pourrait également se pencher sur la fin de Prince, lequel avait (et a encore) une image importante auprès de la communauté noire au delà de son rôle musical.

    Lui il avait carrément remis en cause le racket des producteurs (très bon sujet traité récemment dans F&D) au point de retrouver ses droits sur sa musique ...quelques jours avant sa mort.

    Lui aussi était victime de la dépense aux opiacés, mais comme pour MJ on peut se demander si on ne l a pas aidé également...

    Une fois que le jouet de divertissement ne répond plus aux attentes, on n’hésite pas à l’éliminer, quel que soit sa notoriété.

     

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  • #3547207
    Le 25 juin à 11:43 par Dautrelieu
    Qui a maudit Michael Jackson ?

    En tant qu’utilisateur de générateur de musique par IA, c’est de la musique générée par IA, pas un original. Possiblement Riffusion ou Suno.

     

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  • #3547208
    Le 25 juin à 11:44 par Gigi
    Qui a maudit Michael Jackson ?

    Une chose est sûre : l’antisemitisme a de très très beaux jours devant lui. On peut remercier Netanyahu d’avoir permis d’ouvrir la boite noire interdite sur le lobby juif. C’est terrible, mais quelque part, les voisins d’Israel se sacrifient pour éveiller notre conscience…

     

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  • #3547211
    Le 25 juin à 11:54 par SOCRADE
    Qui a maudit Michael Jackson ?

    Ce texte est extrêmement important et l’idéal serait d’en produire une video en anglais. Ca informerait beaucoup plus de gens sur l’existence des tortionnaires du Monde, ici bien sûr ça fait longtemps qu’on a compris grâce à Soral.

     

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  • #3547212
    Le 25 juin à 11:57 par MJ
    Qui a maudit Michael Jackson ?

    Plus tu montes, plus tu as de l’influence, plus tu es riche, et plus tu seras surveillé pour que tu ne sortes pas vers des sentiers interdits.

     

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  • #3547259
    Le 25 juin à 14:23 par Parka
    Qui a maudit Michael Jackson ?

    Merci Laurent Guyénot, super texte ! J’apprends tout ça, jamais entendu parler.

    (oui la musique puait l’IA (autotune vocoder, son 2000s...), mais après quelques recherches, le texte est authentique, il figure sur le site officiel de MJ)

     

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