Merci à Xavier Moreau, beau comme un mannequin Hugo Boss : ah, ce charme germano-anatolien.

Deux remarques :

 Si le monde ne marchait pas sur la tête et que seuls les paramètres objectifs de la superficie, de la vitalité économique, du PIB, et du désendettement étaient pris en considération, la Russie serait le chef de file de cette grande lépreuse d’Union Européenne : la Russie est victime de racisme anti-Blanc institutionnel globalisé.

 Le recul du rayonnement de la diplomatie française depuis 8 ans oblige à un constat : l’Italie est en train de remplacer la France sur la scène mondiale, en qualité d’interlocuteur fiable. L’Algérie et les États-Unis ne supportent plus notre arrogance : la France de 2025 est en train de subir un grand remplacement de son influence sur la scène internationale.

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Le va-t-en guerre Macron appel à la paix en Ukraine !

Je note un changement radical dans le discours français.
Hier, Bruno Maire haranguait de façon autoritaire : "On va mettre la Russie à genoux", en supposant que la puissance dominante était franco-otanienne.

Aujourd’hui, le président Macron demande avec respect : "Il doit répondre à la question qu’on lui pose" (la paix), ce qui suppose que les cartes du jeu sont entre les mains de la Russie.

Alors que Bruno (et Boris Johnson) s’en lave les mains, Macron est relégué à la caste des quémandeurs.

Sans être devin, la honte et le discrédit vont s’abattre sur l’Europe et ses dirigeants dans une ou deux années. Lorsque l’Europe entérinera un plan de paix imposé par la Russie et sans qu’elle n’ait son mot à dire !
Une sorte de capitulation par procuration.

La morale de ce jeu de billard à trois bandes, vient de Bismarck qui disait « Dans un système à trois puissances, il faut être l’une des deux ».

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