L’équipe de France a voulu offrir à ses abonnés sur Twitter la possibilité de russiser leur nom ce vendredi via un bot informatique. Elle n’aurait pas dû. Si la thèse du piratage a d’abord été évoquée devant l’avalanche de tweets comportant la mention « voici ton nom en russe ! », il n’en était rien.
Le département communication des Bleus a vu de nombreux trolls venir « pourrir » ce petit jeu, ce qui a donné lieu à de nombreux débordements. Il y a eu des choses rigolotes et légères…
[...]
Puis c’est complètement parti en sucette…
Le compte de l'Équipe de France est en roue libre pic.twitter.com/IIrG5CyJSu
— Paul Aveline (@PaulAveline) 22 juin 2018
Le compte @equipedefrance a rapidement retiré le tweet qu’il suffisait de retweeter pour découvrir son nom en russe tout en arrêtant les réponses automatiques générées par le bot. Trop tard, le mal était fait.
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Cependant, au milieu de toutes ces horreurs footballistiques, le pire n’a pas été le tweet sur « Ménès gros porc » ou celui sur « La chatte à ta mère », mais bien celui-ci :
Comment est-ce encore possible, après l’intense et coûteux travail des associations antiracistes depuis près de 40 ans ? Ce travail aurait dû nous libérer de ce genre d’abjection, mais force est de constater qu’il y a des petits malins qui sont passés entre les mailles du filet.
Que fait la répression sioniste ?
On attend avec impatience les représailles du CRIF et de la LICRA, qui attendent probablement le feu vert de Netanyahou sur la synergie char-avions pour la destruction du Sud-Liban, de Gaza et de l’Internet français non aligné.