"Une bonne affaire : acheter toutes les femmes au prix qu’elles valent et
les revendre au prix qu’elles s’estiment."
Jules Renard.

Les écoféministes peuvent se vendre deux fois plus cher encore.

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A Neuilly sur Seine, il y a aussi de la diversité :
Il y a des très très riches, et des très riches, des riches tout court et des un peu moins riches. Faut pas déconner quand même, ces pauvres, toujours en train de se plaindre !
Salauds de pauvres !

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Ça serait drôle si ce n’était pas réel.
Je me souviens d’une comme ça aux cheveux bleus (S. Édouard en a parlé) qui, pendant qu’elle se faisait tripoter et prendre son porte-feuille, crevait d’envie de leur dire (ou même leur a dit !!) "C’est vous les victimes de l’esstrème-droite" ou un truc similaire, d’une intelligence sidérante.

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Ca ne vaut pas Zoé de Guerilla.

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par l’insu-porté
Ce portrait magnifique de la délicieuse éco féministe qu’on aime tant (décrire)... Nous les blancs cisgenres encore couillus sans être assez infra-humanoido-compatible, donc ultra minoritaires, mais encore trop visibles pour Julie et ses ami.e.s ("ainsi que pour ses patrons, malgrés la petite place qu’ils nous laissent dans les chiottes publques d’une de leurs matrices sataniquées, comme une cible avec écrit "trop fiers de vouloir quitter le navire tel des rats, tous contre eux, signalons et tuons les tous ensemble d’une seule et même voix de synthèse")

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L’ironie française sur Toktok, qui l’eût cru ?!

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Au metro stalingrad parmi ses amis migrants mineurs de trente ans au milieu de la tournante julie est enfin heureuse.
Oh pardon je voulais dire la tourmente

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Plusieurs fois volé dans le métro en rentrant ivre de soirée, au mieux ploté si il y a un peu de forme, ces femmes modernes affrontent avec courage le véritable ennemi, un climat devenu patriarcale, oppressant, il fait chaud en été, il neige en hiver, et le pire, il pleut en automne...

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Un français à l’ancienne ça fait plaisir. Y me fait penser à Ventura, Gabin... à cette époque quoi !

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Du Desproges inversé, du Professeur Rollin de Palace, de la brève de comptoir, mais même cela finit par me lasser : presque me fatiguer si je venais à insister.
Et puis qu’est-ce que tu veux que le gars qui vit son estive dans un buron au fin fond du Cantal saisisse à tout cela ? Et puis ça y est, quelques flocons de neige ont fait leur apparition pour colorer les pâturages, saupoudrer les sapins : il va falloir affronter la rigueur de l’hiver. Et comme l’époque du maçon, du charbon et des canons au zinc des bistrots est passée de mode, ce n’est pas demain que l’on verra le Bougnat remonter à Paris.
Que l’élite auto-proclamée et les bobos qui l’encensent se débrouillent avec la faune qu’ils importent et surtout, qu’ils aillent tous se faire inoculer...

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