Il fallait bien une femme noire au CV sans tâche pour rattraper les penchants pédophiles du vieux Joe Biden, le pire candidat que l’Amérique ait jamais porté.
« L’ancienne magistrate possède de nombreux points d’accords avec Joe Biden, à commencer par la volonté de réformer le système judiciaire, qu’ils jugent trop défavorable aux Noirs américains. Ainsi, ces derniers vont en moyenne plus souvent en prison, et pour des peines moyennes plus longues également. » (CNews)
Pour s’attirer les voix noires le 3 novembre en cette sombre période de Black Lives Matter, les démocrates ne reculent devant rien, même pas ce grossier calcul raciste.
Quant au petit carnet où Joe-la-pelote a inscrit ses mots élogieux pour sa probable colistière, il ne manque plus que « noire », c’est-à-dire « black » ou « nigga ».
On aimerait maintenant que les journalistes bien-pensants farfouillent dans l’autre carnet – celui-ci intime – de Joe-la-pelote, pour relever ses impressions sur les petites filles qu’il a tripotées.
On aura peut-être droit à « talentueuse », « grand respect pour elle », mais aussi à « mignonne », « pelotable » et autres « prendre rendez-vous avec ses parents ».
Sauf surprise, la sénatrice noire de 55 ans affrontera, derrière Joe Biden, Donald Trump dans les urnes le 3 novembre. En cas de victoire du candidat démocrate, elle deviendrait la première femme vice-présidente des États-Unis.
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Depuis les débuts de sa carrière, cette fille d’un immigré jamaïcain et et d’une immigrée indienne accumule en effet les titres de pionnière : après deux mandats de procureur à San Francisco (2004-2011), elle avait été élue, deux fois, procureur de Californie (2011-2017), devenant alors la première femme, mais aussi la première personne noire, à diriger les services judiciaires de l’État le plus peuplé du pays. En janvier 2017, le procureur innove à nouveau en prêtant serment au Sénat à Washington.
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Son ascension, Kamala Harris l’a débutée à Oakland, dans la Californie progressiste des années 1960 où elle a grandi, fière de la lutte pour les droits civiques de ses parents. Lors d’un débat démocrate en 2019, elle avait d’ailleurs raconté comment, petite fille, elle était dans l’un des bus amenant les écoliers noirs dans les quartiers blancs.
Joe Biden, lui, semble avoir déjà fait son choix. Il y a quelques jours, des photographes ont capturé le carnet que celui-ci tenait en main. En zoomant, ils ont découvert des commentaires écrits sous le nom de Kamala Harris. Parmi eux : « Talentueuse », « Grand respect pour elle » ou encore « D’une grande aide pour la campagne ».
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