Jeudi 24 janvier 2019 la cour d’appel de Paris a relaxé Alain Soral du délit d’apologie de crime de guerre.
En 2016 la XVIIème chambre avait condamné l’écrivain à la fois pour apologie de crime de guerre et pour apologie de crime contre l’humanité pour ses propos au sujet de la décoration des époux Klarsfeld (« Voilà ce qui arrive quand on ne finit pas le boulot »).
La décision avait été confirmée une première fois en appel (2017), mais annulée par la cour de cassation en ce qui concernait l’apologie de crime de guerre (2018).
Les montants des réparations s’en trouvent diminués.
Nous ne disposons pas encore des motifs de la décision pour savoir ce qu’ont considéré les juges.