En 1960, on peut dire que la France était blanche [1] et chrétienne, n’y voyez aucune provocation religieuse ou raciale. Les années 1958-1962 sont une période charnière très importante pour la France et l’Afrique francophone : les indépendances, réclamées par les leaders nationalistes des pays africains sous domination française, se mettent en mouvement. Beaucoup de Français quittent le Maghreb, on pense évidemment à l’Algérie avec l’exode des pieds-noirs, beaucoup restent dans les pays d’Afrique noire, parce qu’ils y ont des intérêts économiques. Des intérêts économiques parfois partagés, parfois pas. C’est un autre débat, qui selon nous n’a pas de solution simple.
50 ans plus tard, la France n’est plus si blanche et ni si chrétienne. Il y a 6 millions – simillon, simillon ! – de musulmans, une dizaine de millions d’immigrés de fraîche date – qu’est-ce que c’est, un demi-siècle, au regard de l’histoire d’un pays ? C’est trois générations –, le Français traditionnel a été déstabilisé par les décisions politiques. Après la mort du Général, les pouvoirs successifs ont ouvert les vannes à l’Afrique blanche et noire. Un choix oligarchique que les Français de base ont payé, que ce soit au sens propre et au sens figuré.
Aujourd’hui, l’immigration n’est plus une nécessité économique, mais les officines mondialistes nous la vendent comme une nécessité démographique, ce qui constitue une fake news de première : un pays peut vieillir sans mourir, ou se renouveler selon son énergie du moment. Regardez la Russie, que les démographes ont enterrée maintes fois, et qui repart dans le bon sens. Il n’y a pas de fatalité dans ce domaine. Cependant, le dynamisme démographique est aujourd’hui au sud, bien aidé en cela par les progrès de la médecine du nord.
Les instances européistes nous promettent 50 millions d’Africains à l’horizon 2050, disséminés dans toute l’Europe. Si cette projection correspond aux besoins des grandes entreprises transnationales et des déstabilisateurs plus profonds, elle fait fi de l’opinion politique mouvante des peuples. Les peuples européens ont vécu, du moins à l’ouest, presque sans guerre intérieure depuis la Seconde Guerre mondiale, mais les chocs migratoires subis depuis 2015 sont assimilables à une guerre culturelle, à une guerre contre la culture occidentale, celle qui a pourtant rendu nos pays plus que vivables.
Conséquence, les peuples autrefois tolérants, ou rendus tolérants par l’apathie et la consommation, se rebiffent. Italie, Autriche, Hongrie, un message fort monte du sud et de l’est : stop, on ne veut pas devenir une colonie africaine. L’ingénierie sociale qui consiste à changer en douceur le contenu humain des pays pas assez « mondialisés » – comprendre soumis au Nouvel Ordre mondial – fonctionne de moins en moins. D’autant que pour tenir ces peuples habitués à la contestation sociale en respect, on leur inflige des blessures terroristes. Qui viennent prétendument d’autres pays, en majorité musulmans.
Voilà un paradoxe mondialiste qui ne favorise pas l’acceptation des colonnes de migrants qui débarquent par milliers via les navires affrétés par les ONG ! D’un côté on tente de faire se tenir tranquilles les peuples européens par le chômage de masse et des frappes terroristes (c’est-à-dire de la répression sous faux drapeau), de l’autre on enjoint ces mêmes peuples à accepter des étrangers difficilement assimilables...
Les vidéos qui suivent ne concernent évidemment pas tous les étrangers qui viennent ou qui sont venus en France, mais le niveau de violence est un indicateur de la difficulté de certains à vivre selon les lois françaises. Des lois que les gouvernements successifs ont pourtant bien allégées, voire neutralisées...
Ici une bagarre entre Africains à Béziers, la ville du très droitiste Robert Ménard, et laboratoire de la France d’après :
#Beziers : Bagarre entre africains en plein centre ville.
Je ne savais pas que l'Afrique était au cœur de ce 50ème anniversaire de la Féria pic.twitter.com/EOeLZknvHH— G2Gن (@SarkoChristX) 16 août 2018
On notera la résistance des immigrationnistes, aux ordres du pouvoir profond depuis plus de 40 ans, contre l’avis des peuples :
Il y a bien deux visions du monde qui s'affrontent en #Europe. Celle des nationalistes de @matteosalvinimi, qui étaient prêts à laisser 250 personnes mourir en mer aujourd'hui et celles des progressistes, qui ont trouvés des solutions pour les accueillir #Aquarius @EmmanuelMacron
— Aurélien Taché (@Aurelientache) 14 août 2018
Conséquence politique de ces micro ou macro-événements, la montée du populisme de droite, qui a été contenu in extremis lors des dernières élections probablement trafiquées :
VIDEO⚡️@Stephane_Ravier :« Avec quel argent une association arrive à louer l'#Aquarius ?J'ai déposé au #Sénat une demande de Commission d'Enquête pour faire la lumière entre ces #ONG “humanitaires” & la mafia des #passeurs qui s'est enrichie de 7Mds€ en 2017 sur ce trafic humain » pic.twitter.com/CdKUBFl5K3
— fandetv (@fandetv) 16 août 2018
Le mot de la fin au sage Kofi Yamgnane, secrétaire d’État à l’Intégration sous Mitterrand (1991-1993), qui a sa petite idée sur la colonisation, du moins au Togo :