Tout à fait, monsieur, et leur folie est nécessaire, car la folie des hommes est mortellement ennuyeuse. La folie des femmes est, elle, divertissante. À travers elle, on peut apprendre beaucoup de choses. Comme la colère, la folie est un moyen d’expression. Entrez dans le monde étonnant des femmes.
Les femmes à la maison ont besoin d’un animal de compagnie qui leur réchauffe le cœur toute la sainte journée. L’araignée géante tiendra votre épouse en respect, et l’obligera à respecter la feuille de route des tâches quotidiennes que ses consoeurs indépendantes rechignent à faire, depuis que la presse féminine leur a dit qu’elles étaient géniales et qu’on était tous des salauds. Dès qu’on arrive au pouvoir, on interdit la presse féminine (et les araignées géantes).
Un changement de profil sur Viadeo, sur LinkedIn, ou tout simplement physique, peut accélérer une carrière. Avant, Audrey était rousse et on ne la voyait pas. Un jour, ses seins explosent comme un marché à Bagdad et elle tourne dans un court-métrage, Les Seins de ma prof d’anglais, avec des élèves qui reluquent l’impressionnante poitrine de la remplaçante de la prof moche et méchante, genre Christine Boutin. Nos réals ont du talent. Depuis, on la voit partout : dans Engrenages, la série bien tordue de Canal+, et Intouchables, le film où un Noir sans cerveau s’associe avec un Blanc sans jambes pour faire un Frankenstein sympa, un Français de la diversité parfait.
Horreur malheur, les photos à poil d’un tas d’actrices américaines se sont retrouvées sur le Net. La faute à un petit goret de hacker, et à la porosité du Cloud d’Apple. Où l’on découvre que les actrices américaines disposent d’un gros stock de photos olé-olé. Mais bon dieu, à quoi peuvent-elles bien servir ? C’est pas destiné aux producteurs et autres réalisateurs pétés de dollars et de coke, quand même ? Ça serait indigne et déplacé, et pourrait être considéré comme un délit d’initiée. Normalement, une actrice trouve un travail parce qu’elle joue bien, et que son CV est truffé de stages pénibles d’art dramatique. Sur ce cliché, Mary Elizabeth Winstead – Destination finale 3, Boulevard de la mort – tente une figure difficile : elle lève le doigt (de pied) pour demander au cadreur l’autorisation de faire pipi.
Sandra, alias madame Elouarghi-Thévenoud, est devenue célèbre grâce aux petites bêtises que son mari a faites avec les impôts, mais que celui qui n’a jamais fraudé le fisc lui jette la première pierre. Sur ce cliché, pris sur le vif, on peut apprécier toute la culture politique de la jolie brune (autrefois au service de Moscovici), qui est en train de goûter une crème à la vanille, ou alors de se brosser les incisives avec le doigt, à la manière d’Al Pacino dans Scarface. Avec les femmes, surtout les brunes, rien n’est jamais très clair, non plus.
Certaines femmes en font parfois un peu trop pour nous plaire. Mais la séduction est dans l’ADN de ces créatures. Même la Fourest a un nerf sexy, quand elle provoque le puissant Zemmour en plateau avec son féminisme (pourtant les deux sont d’accord sur le dos des islamistes) : violente scène de ménage devant ces enfants de téléspectateurs qui préfigure une sacrée réconciliation sur l’oreiller… Et Natacha Polony, malgré sa coupe Johnny Rotten de droite, exerce une séduction dévastatrice sur Aphatie, qui d’habitude lorgne vers les blondes à 500 (de TP), ainsi que sur de Caunes, qui reluque les gars, qui le changent un peu des femmes. La séduction, c’est le Diable, disaient nos ancêtres, qui s’y connaissaient en sorcellerie. Une fois qu’on y succombe, c’est foutu, on ne peut plus revenir en arrière.
Ça, c’est un couple royal. Trierweiler & Hollande, ils faisaient bonniche & loufiat à côté. La noblesse ne s’hérite ni ne se décide, elle s’acquiert. Entre le roitelet employé des puissances occultes et la courtisane passée reine de la dénonciation crapuleuse, notre choix est vite fait : on garde les lions.
On se demande si Caro, depuis qu’elle sert la soupe sioniste aux Français, n’aurait pas des cheveux plaqués or… Il faut bien rétribuer la trahison, non ? On ignore comment Judasse va finir, mais on espère qu’Israël lui gardera une place au chaud quand la France aura repris ses esprits. Sinon, c’est le chômage. À moins que Judasse ne retourne sa veste ! On a bien vu Philippe Val passer de la gauche à l’OTAN et abandonner les jeunes lecteurs crédules de Charlie pour se rapprocher de Carla, une couguar de compétition… En amour, comme en politique, tout est possible.
Les gonzesses n’en loupent pas une. Tous les prétextes sont bons pour se foutre à poil : la malbouffe, le vilain nucléaire, la fourrure animale, la plage sous le soleil, la coupe de cheveux de Pujadas, les fautes de français de Fogiel… Aujourd’hui, nous les hommes on en est presque à se précipiter sur les femmes pour les empêcher de se dessaper en pleine rue. Si on les laissait faire, elles se rouleraient par terre comme des chattes en chaleur. Merde, du temps de Staline, ça se passait pas comme ça. Les femmes savaient se tenir, même quand leur homme partait en Sibérie, pour des vacances de 10 ou 15 ans. Les congés payés, c’était du lourd, à l’époque !
Palestiniennes, Syriennes, Libyennes… les femmes arabes n’arrêtent pas de gueuler et de chialer. C’est leur mode d’expression préféré. Jamais personne n’a vu de femme arabe calme, assise, en train de lire un livre, le dernier BHL par exemple. C’est un truc que les médias préfèrent ne pas nous montrer. Car ils sont tenus par les islamistes ! Les médias français sont pro-palestiniens, on le sait tous : est-ce cela qui explique la fuite des cerveaux (de trafics en tout genre) de l’Hexagone vers Israël ?
Enfin, les ABCD de l’homosexualité reviennent dans nos écoles ! Ces délicieuses maîtresses, au préalable testées par Irina & Caro, vont enseigner à nos enfants, sous la houlette de la jeune Belkasotte, les rudiments du viol, de l’exhibition, de la prostitution, et de la masturbation. Toutes choses utiles pour la vie en société post-68tarde. De sacrées séances de plaisir en perspective ! Une question nous taraude : comment vont vieillir les Femen ? Le milieu gay, qui pratique la gérontophobie, les rejettera aussi sûr que deux et deux font une partie carrée. À notre humble avis, et selon nos calculs, seule l’Eglise aura assez de grandeur d’âme pour ouvrir ses portes à un troupeau de pathétiques incontinentes abandonnées. Ne pissez pas sur votre avenir, les filles.
Ces femmes indiennes semblent se partager le bébé gras d’un couple de touristes américains, vraisemblablement très amoureux des coutumes locales. L’Inde est ce pays où les femmes sont souvent violées, et prises pour de la merde. Au moins, le communisme chinois a-t-il permis d’élever ses femmes à un autre niveau. Avec les débordements que l’on sait, Jiang Qing, la « chienne de Mao », exerçant un pouvoir délirant lors de la Révolution culturelle. Heureusement, Deng la foutra en taule en 1981. Mais l’Inde est aussi ce pays curieux qui a propulsé démocratiquement à 15 ans de présidence Indira, la fille de Nehru, l’homme de l’indépendance. Il y a donc femme et femme.
Les femmes adorent adorer. Cette fan de Robin Williams rend un dernier hommage au plus gros aspirateur à coke de tout l’ouest du Pecos en déposant un nounours, symbole d’amour maternel un peu nunuche. « À cause de ce connard, parfois, tout le showbiz était en manque », nous révèle un animateur qui présente une émission le soir sur Canal+, la chaîne du cinéma. Mais ce n’est pas la coke qui donnait son talent à Robin, sinon tous les comédiens français – hommes politiques compris – seraient excellents, ce qui est loin d’être le cas. La coke servait à Robin de médicament… un médicament qui n’a pas de médicament.
Ce qu’on ne sait pas, c’est que les adolescentes américaines, les fameuses peenagers, peuvent vomir un quart de leur poids, soit 40/45 kilos de nourriture après une secousse. De gauche à droite, Truya, quatre ans et demi, un quart de tonne, Graissa, cinq ans, 130 kilos, et Gerba, bientôt six ans, 200 kilos. Les oestrogènes en surdose contenus dans les laitages des interminables rayons de supermarchés sont facteurs d’obésité et de règles précoces. Les populations pauvres, donc noires, sont les plus touchées. Mais la crise fait grossir de plus en plus de Blancs. C’est l’égalité à la sauce US.
A y est ! Angela a terminé son gâteau ! Un gâteau spécial, la Testikeltorte, une grosse tarte à la crème fourrée aux couilles des dirigeants européens qu’elle a castrés. Les testicules toujours fertiles de notre Président bien-aimé sont en rose, qui a viré un peu au rouge, sur la photo. François Hollande s’est non seulement refusé à toute déclaration, mais en plus à assister à la dégustation. Tant pis, ce sont les gloutonnes Jeunesses merkeliennes qui se le partageront. Aujourd’hui, le Deutsche Mark, qu’on appelle aussi Euro, pour pas vexer les autres pays européens, a reconquis l’Europe d’est en ouest, exactement comme en 1941, les panzers et stukas en moins. C’était pas la peine de foutre autant le bordel. On aurait pu arriver au même résultat dans le calme et la bonne humeur, les Kameraden.
Ces militantes américaines qui ont osé manifester contre le régime capitalisto-sioniste de Washington feront 20 000 heures de TIG (travaux d’intérêt général). Chacune. Ici, elles doivent faire croire à une baleine de 20 tonnes appartenant à Greenpeace, l’antenne flottante de la CIA, qu’elle est au fond de l’océan. Il faudra près de 2 millions de seaux. La résistance sociale aux Etats-Unis est morte depuis les fusillades de 1893 (grève anti-Pullman brisée par 12 000 soldats sous le prétexte de « trouble à l’ordre public »), et l’interdiction de la grève dans le service public depuis 1947. Social, prononcez « sauchaul », est un mot qui n’existe plus, outre-Atlantique. Il a disparu, comme les bisons et les Indiens.