« Les marches, repeintes aux couleurs de la Pride, symbolisaient les combats des personnes lesbiennes, gays, bisexuelles, trans et intersexes. L’œuvre, qui devait être pérennisée, a été saccagée et barbouillée de blanc. La Ville porte plainte. »
C’est l’horreur absolue, les mots nous manquent pour exprimer le sentiment profond qui nous ravage le cœur, les entrailles, la cervelle : un ou des individus malintentionnés, et surtout pas complètement normalisés-mondialisés, ont osé souiller une œuvre homo-humaniste appelant à l’amour humain, des hommes, entre les hommes, entre les gays.
Les marches multicolores de la rue Beaurepaire en partie barbouillées de blanc. Ce n’est pas l’œuvre d’un peintre vu la qualité plus que douteuse du travail... #gaypride pic.twitter.com/rAJpl32Zfs
— Sarah Boucault (@SarahBoucault) 14 juin 2018
« C’est scandaleux. » Pascal Bolo, adjoint à la maire de Nantes, condamne fermement l’acte de vandalisme qui a eu lieu cette nuit du 13 au 14 juin. Les marches de la rue Beaurepaire, à deux pas de la place du Cirque à Nantes, ont été partiellement barbouillées de blanc. À la va-vite.
Cette « œuvre » est un escalier multicolore aux couleurs LGBT. Ouest-France a raison d’interroger Jacqueline, ce témoin essentiel, qui exprime ce que tous les Nantais ne peuvent exprimer, du fond de leur cœur meurtri :
« Je trouvais ça joli et je m’étais dit, tiens je vais descendre par cet escalier, confie Jacqueline. Mais c’est tout saccagé. »
Bon, trêve de plaisanteries, vous l’aurez compris, de la propagandiste urbaine immonde déguisée en art vivant a été contre-souillée par des esprits sains qui refusent le diktat LGBT. Car bientôt, si on suit leur logique, ce sera pédophilie pour tous, royal au bar avec les mômes. C’est pourtant ce qui se profile.
« Hier, mercredi 13 juin, déjà, un tag “Légalisez la pédophilie” était visible sur l’une des marches, recouvert depuis. C’est la stupeur qui domine parmi les passants, qui n’en finissent pas de se retourner sur les marches salies de blanc. »
Le « blanc » qui salit les couleurs arc-en-ciel... intéressant. Et symbolique.
Ouest-France se fait le porte-parole de cette France soumise à la dictature mondialiste qui tente de détruire le consensus de la majorité, qui elle souhaite paix, amour et travail, en exacerbant le pouvoir déjà délirant de minorités qui ne sont intéressées qu’à la guerre, au désœuvrement et à la division.
Nous ne laisserons pas notre pays aux mains de sorciers sataniques qui veulent détruire l’œuvre française. Nous ne visons évidemment pas les idiots utiles ou les esprits simples qui relayent les ordres venus de Très haut sans rien comprendre de l’intention globale qui se résume en un désordre absolu, et qui pensent œuvrer pour le Bien. Totalement intoxiqués, ils croient à la vertu du Vice et on leur donne tous les moyens pour cela :
« Katell Favennec, conseillère municipale déléguée à la lutte contre l’homophobie et au suivi des associations LGBT, se dit “un peu désespérée. Ça m’énerve beaucoup que le seul motif d’indignation soit des marches peintes aux couleurs de l’arc-en-ciel.” Elle affirme que, vu le caractère homophobe de l’acte, la Ville de Nantes a porté plainte et se dit favorable à l’installation d’une caméra pour empêcher ce vandalisme. »
Où l’on comprend que la société de surveillance-répression est lancée par les mêmes pour empêcher la majorité, dominée par une association de minorités, d’exprimer son intérêt et ses besoins. Nous sommes bien en période d’installation d’une dictature, soft pour ceux qui ne la voient pas – ou qui refusent de la voir – et dure pour ceux qui l’identifient.
Noé Parpet, président de l’association Nosig, n’est pas surpris. “C’était prévisible. Deux jours avant la Marche des fiertés, des groupes fachos voulaient déjà repeindre de croix celtiques, se désole-t-il. L’homophobie n’est pas morte et cela montre que ces ‘réacs’ n’aiment pas la couleur au-delà du symbole.”
Aujourd’hui, ce sont les fascistes des lobbies aux commandes qui traitent les résistants de « fachos ». Il ne leur reste que l’inversion accusatoire et l’arnaque à l’euphémisme pour continuer à faire croire qu’ils sont le camp du Bien. La grande majorité des Français, a-réactifs ou impuissants devant cette ingénierie sociale, n’ont pas encore assez souffert pour réagir. Mais cela viendra.