Des origines du Covid-19 aux conseils de défense sous McKinsey...
L’affaire d’État (le terme scandale est un peu faible) McKinsey–Macron permet de comprendre mieux encore le rôle profond du Président, élu de manière inexplicable le 7 mai 2017 et qui cherche malgré le désastre objectif de son quinquennat à se faire réélire, éventuellement pour 7 ans.
Une fois réélu , macron va reprendre la campagne de vaccination Cette fois , c est le tour des 5/11 ans pic.twitter.com/aOqwraIeRp
— santa luccia (@LucciaSanta) April 12, 2022
Mais avant de nous replonger dans cette affaire d’État, intéressons-nous aux origines du covid à partir d’un article que nous aurions pu écrire... il y a deux ans de cela. Il émane du Monde, totalement aligné sur la ligne Buzyn-Véran en matière sanitaire, c’est-à-dire la ligne Kinsey-Pfizer, pour résumer. Eh bien Le Monde, cet organe des Lobbies et des Marchés qui se dit « indépendant », qui ne fait pas de politique mais qui appelle à voter contre Marine Le Pen dans un édito ravageur de Jérôme Fenoglio, s’est aligné sur une théorie qu’il qualifiait tranquillement de « complotiste » en mars-avril 2020.
Depuis le début de la pandémie de Covid-19, une ONG américaine, l’alliance EcoHealth, et le zoologue britannique qui la préside, Peter Daszak, chantre de la stratégie « One Health », sont sous les feux des critiques. Vouée à la recherche sur la prévention des épidémies, cette ONG a collaboré activement avec l’Institut de virologie de Wuhan, en Chine – là où semble avoir démarré la pandémie.
Cette collaboration implique aussi les Instituts américains de la santé (NIH). En 2014, ils ont accordé une subvention de 3,7 millions de dollars à EcoHealth pour un projet, « Comprendre le risque d’émergence des coronavirus de chauve-souris », visant à dépister la présence de ces virus chez des chauves-souris sauvages ou captives en Chine, à analyser en laboratoire leurs séquences génomiques et à évaluer leur risque d’infecter les humains.
Le clou américain (et non plus français) arrive dans le 3e paragraphe :
L’Institut de virologie de Wuhan était un acteur-clé de ce projet, mais « les travaux menés là-bas ont été suffisamment controversés pour que les NIH suspendent leur subvention en juillet 2020 », rappelle la revue Vanity Fair dans une récente enquête sur Peter Daszak. Il semblerait, en effet, que cette subvention ait notamment servi à construire deux coronavirus « chimériques » (c’est-à-dire combinant des fragments de différents virus) similaires à celui qui provoque le SARS-1. Or cette maladie respiratoire, apparue en 2002, est d’une grande sévérité : l’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime que son taux de létalité est de 15 % et peut dépasser 50 % chez les plus de 65 ans.
Le reste de l’article est payant, nous respecterons donc le contrat de non-divulgation de l’information, mais la chute est savoureuse :
Une chose apparaît certaine : si les preuves définitives en faveur d’un scénario ou de l’autre font défaut, la piste d’une fuite de laboratoire, à l’origine de la plus vaste pandémie humaine jamais connue, n’est plus, aujourd’hui, balayée d’un revers de main.
Je perd mes patients vaxx les uns après les autres d’AVC massif, de crise cardiaque, de cancer fulgurant…. Quand j’évoque le vaxx on me fait des gros yeux ronds
Ils vont à la 4ème sans soucis , mon cœur saigne de voir autant d’ignorance voulue au final— Flo2 Mars (@donaldjfktrump) April 14, 2022
Ce virus chimérique mortel à 50 % pour les plus de 65 ans est peut-être ce prochain virus dont nous a parlé Bill Gates et ses servants de l’OMS : l’entrée par prophéties auto-réalisatrices successives dans un feuilleton de plus en plus létal, et prévu de A à Z par les tenants de la nouvelle gouvernance mondialiste qui ne se cache plus. En 2015, déjà, la chose était sur les rails...
À sa tête, Bill Gates, ou Jacques Attali, si l’on veut rester dans une certaine fierté nationale. En d’autres temps, le système médiatico-politique français était fier comme un coq d’avoir DSK à la tête du FMI, puis Lagarde... On a vu le résultat.
Dans le GM (gouvernement mondial), on voit évidemment Bancel & Bourla à la Santé – sinon Fauci – ou à la Réduction de population, c’est kif-kif ; à l’Économie, Schwab ou Lagarde ; à la Défense, Stoltenberg évidemment, l’OTAN étant déjà de facto le nom de l’armée mondialiste ; aux Finances, un Rothschild, forcément ; aux Affaires étrangères, un Soros (père ou fils), sinon un BHL ; à l’Intérieur, Sarkozy, bien dans l’axe américano-sioniste, ou la dingue Jacinda Ardern, capable d’enfermer toute une ville pour UN cas de covid ; au Divertissement (plus proche de la réalité que la Culture), un représentant des progressistes des César et des Oscars élu à la majorité, on pense à Omar Sy ; et enfin aux Mœurs, ou directement à la Sexualité sans tabous (la SST), la paire Macron-Trudeau, flanqués de leurs premières… euh… dames.
On l’admet, ça fait un peu équipe du Monde très française, mais notre sentiment national a du mal à se cacher.
La paire de mondialistes sublimes Macron-Trudeau nous permet de revenir à McKinsey, avec une nouvelle révélation dérangeante pour le pouvoir visible français.
❌ SCANDALE ❌@olivierveran a reconnu la présence de consultant #McKinsey dans les « conseil de défense sanitaire » OR, d’après le site de l’Élysée lui même, seuls les ministères concerné et des acteurs PUBLICS, peuvent participer à ces réunions.
On fait quoi la ?— Georges Jordito (@JordiPasAlba) March 31, 2022
Que fait un cabinet de conseil (privé) dans le Conseil de défense (sanitaire) d’une République une et indivisible ?
La réponse gouvernementale est simple : expertise. Cependant, la pieuvre McKinsey est reliée aux plus grandes multinationales de la planète, du Big Pharma au Big Tech, qui toutes engrangent de gigantesques profits sur la politique sanitaire (désastreuse pour nous, juteuse pour eux) de la Macronie.
Donc toute cette campagne vaccinale et son lot de vies gâchées n’est que le résultat d’un algorithme délivré par des experts inhumains mais calés en statistiques. Effrayant et révoltant ! pic.twitter.com/Tc2ZmhRW07
— Alain Houpert (@alainhoupert) April 8, 2022
La responsabilité personnelle de Macron
Dès le début de l'épidémie, E. Macron a mis sur la touche toutes les institutions de santé publique. Il a créé des cabinets de "conseillers" à sa botte, comme il s’était créé son propre service de sécurité avec Benalla, en attaquant la République. #McKinseyMacronGate ⬇️ [2/6] pic.twitter.com/jfrGKfrLhB
— Barbara Stiegler (@B_Stiegler) March 28, 2022
Au nom de notre santé, du vaccin et du Covid, il a aussi offert, la même année, des millions d'euros à McKinsey, cabinet de prédateurs véreux et incompétents, qui restera le symbole de ce gouvernement. #ConseilConstitutionnel #McKinseyMacronGate ⬇️ [4/6] pic.twitter.com/XW4mRuISyB
— Barbara Stiegler (@B_Stiegler) March 28, 2022
Qui peut encore croire que ce Président se soucie de notre santé ? Il doit maintenant répondre de son bilan : avoir transformé la santé publique en un champ de ruines. Et l’avoir fait, comble de la manipulation et de la perversité, "au nom de la santé". #McKinseyMacronGate [6/6] pic.twitter.com/IgxDn55S9W
— Barbara Stiegler (@B_Stiegler) March 28, 2022
Ne soyons pas naïfs, l’objectif de la Direction de la santé et du ministère était double : enrichir les multinationales de l’injection qui ont les moyens de corrompre tous les gouvernements ou presque, et détruire la santé publique française, afin de privatiser le soin en France. Les grands assureurs français (qui tiennent les cliniques privées) et les riches fonds de pension américains sont à l’affût, prêts à se jeter sur le cadavre encore tiède, encore vivant !
L hôpital est en train de tomber j ai été hospitalisé il y a un mois voilà ma chambre et mon repas ! Et j ai attrapé le Covid à l hôpital en + LAMENTABLE !!! On pourras pas redressé la situation @EmmanuelMacron #hdpros pic.twitter.com/vC2G8Dx2it
— li-liza (@FillatreIle) April 13, 2022
Le ver (bancaire) est dans le fruit (public)
Emmanuel Macron, issu de la banque Rothschild, est bien la passerelle, le chaînon manquant entre le public et le privé, entre les multinationales et la République, entre la nation et le mondialisme, d’où son grand écart permanent entre actes et paroles, la schizophrénie comme politique.
C’est le virus politique concocté dans les laboratoires du mondialisme par lequel notre pays est altéré, soumis, racketté, disloqué.