Son dernier édito ouvre des pistes.
Rivarol p. 1 (n°3395) : deux collègues trucidés "à l’intérieur des locaux de la Direction du renseignement... et dans des conditions peu claires, chaque bureau étant en principe isolé des autres par des portes closes avec code d’accès. Ce qui pose la question d’éventuelles complicités"....
En effet, les codes d’accès dont disposait le suspect informaticien étaient à propos d’autres choses.
Ou c’était juste pas lui, et impossible de désigner le vrai coupable vu qu’il était muet...
Après tout, il y a bien eu un faux suicide à l’Elysée (de Grossouvre. Où est passé l’assassin ?). Et après la mutation du garde du corps de Bérégovoy, le cabinet de l’Elysée (Védrine ?) a bien réussi à faire taire ses collègues qui se demandaient où il avait été muté : "vous occupez pas de cette affaire !"
C’était donc trop gros...
Un père de deux jeunes enfants (comme certains suspects du 7 juillet 2005 à Londres) qui assassine 4 collègues en 7 minutes.
L’infox du couteau en céramique.
(Bon il aurait acheté 2 couteaux à midi, dont un à huître, tout petit, quoi, même si c’est vrai. Et dans quel but, une commande ?).
Le gars qui aurait dit "bien fait" après Charlie Hebdo, sans être plus blâmé ou surveillé que ça...
La coïncidence de cette attaque juste après le lancement des poursuites de cette même préfecture contre Epstein & co.
Le fait, à lire Wikipedia, que Panamza mettait en lien, que la hiérarchie d’un membre du groupe informatique de la DRPP lui aurait demandé de post-dater le signalement de l’assassin du prêtre de Saint-Etienne du Rouvray au vu de ses agissements sur le réseau Telegram.(Mathieu Suc, « Comment les renseignements ont étouffé leur raté après l’attentat de Saint-Etienne-du-Rouvray » [archive], mediapart.fr, 4 janvier 2018.
Bref la hiérarchie d’Harpon n’est pas des plus claires ...
Alerte-vigilance manips niveau orange à 5 mois des élections municipales ? ...
Pour préciser, je ne suis pas un radicalisé afghan, quand bien même mon nom aurait pour signification "lion" en afghan ;-)